Facteurs socioprofessionnels et pratique de l’allaitement exclusif par les primipares à Abidjan (Côte d’Ivoire) / Amed Coulibaly in Santé publique, n° 4 ([01/07/2014])

Public ISBD [article]  inSanté publique > n° 4 [01/07/2014] . - p. 555-562 Titre : Facteurs socioprofessionnels et pratique de l’allaitement exclusif par les primipares à Abidjan (Côte d’Ivoire) Type de document : Article Auteurs : Amed Coulibaly, Auteur ; Odile Ake-Tano, Auteur ; Joseph Vroh Benie-Bi, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 555-562 Langues : Français (fre) Mots-clés : AFRIQUE ALLAITEMENT MATERNEL COTE D'IVOIRE ETUDE FACTEUR SOCIODEMOGRAPHIQUE Résumé : Objectif : Pour réussir une adhésion totale des primipares à la pratique de l’allaitement maternel exclusif, il faut comprendre les facteurs susceptibles d’influencer cette pratique. L’objectif de cette étude était de déterminer les facteurs socioprofessionnels liés à l’allaitement maternel exclusif chez le nourrisson de moins de six mois de mère primipare. Méthodes : Il s’agit d’une étude transversale à visée descriptive et analytique sur une période de deux mois allant du 4 juin au 6 août 2012 dans trois structures sanitaires de la ville d’Abidjan. À l’aide d’un questionnaire, 188 primipares ont été enquêtés par la technique de l’entrevue directe en face à face. Résultats : La moyenne d’âge des primipares était de 26,56 ± 5,05 ans. La majorité soit 76,60 % avait une vie de couple et 40,43 % avait un niveau d’instruction supérieur. Celles qui exerçaient une activité libérale représentaient 36,17 % tandis que 23,94 % était élève ou étudiante. L’allaitement maternel exclusif était pratiqué par seulement 33,51 % d’entre elles. Les taux de pratique diminuaient progressivement pendant que l’âge des enfants augmentait, allant de 46,67 % à un mois à 16,67 % à six mois. Les facteurs de la non pratique de l’allaitement exclusif étaient le mariage, l’emploi dans le secteur public ou privé, l’accouchement dans une structure privée, l’accouchement par césarienne, la résidence à Cocody, et le fait de n’avoir pas entendu parler de l’allaitement exclusif. Conclusion : La prise en compte des facteurs socioprofessionnels dans l’élaboration de stratégies visant à augmenter le taux de pratique de l’allaitement maternel exclusif et sa poursuite jusqu’à six mois chez les mères primipares à Abidjan, s’avère indispensable. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] Facteurs socioprofessionnels et pratique de l’allaitement exclusif par les primipares à Abidjan (Côte d’Ivoire) [Article] / Amed Coulibaly, Auteur ; Odile Ake-Tano, Auteur ; Joseph Vroh Benie-Bi, Auteur ; et al., Auteur . - 2014 . - p. 555-562. Langues : Français (fre) in Santé publique > n° 4 [01/07/2014] . - p. 555-562 Mots-clés : AFRIQUE ALLAITEMENT MATERNEL COTE D'IVOIRE ETUDE FACTEUR SOCIODEMOGRAPHIQUE Résumé : Objectif : Pour réussir une adhésion totale des primipares à la pratique de l’allaitement maternel exclusif, il faut comprendre les facteurs susceptibles d’influencer cette pratique. L’objectif de cette étude était de déterminer les facteurs socioprofessionnels liés à l’allaitement maternel exclusif chez le nourrisson de moins de six mois de mère primipare. Méthodes : Il s’agit d’une étude transversale à visée descriptive et analytique sur une période de deux mois allant du 4 juin au 6 août 2012 dans trois structures sanitaires de la ville d’Abidjan. À l’aide d’un questionnaire, 188 primipares ont été enquêtés par la technique de l’entrevue directe en face à face. Résultats : La moyenne d’âge des primipares était de 26,56 ± 5,05 ans. La majorité soit 76,60 % avait une vie de couple et 40,43 % avait un niveau d’instruction supérieur. Celles qui exerçaient une activité libérale représentaient 36,17 % tandis que 23,94 % était élève ou étudiante. L’allaitement maternel exclusif était pratiqué par seulement 33,51 % d’entre elles. Les taux de pratique diminuaient progressivement pendant que l’âge des enfants augmentait, allant de 46,67 % à un mois à 16,67 % à six mois. Les facteurs de la non pratique de l’allaitement exclusif étaient le mariage, l’emploi dans le secteur public ou privé, l’accouchement dans une structure privée, l’accouchement par césarienne, la résidence à Cocody, et le fait de n’avoir pas entendu parler de l’allaitement exclusif. Conclusion : La prise en compte des facteurs socioprofessionnels dans l’élaboration de stratégies visant à augmenter le taux de pratique de l’allaitement maternel exclusif et sa poursuite jusqu’à six mois chez les mères primipares à Abidjan, s’avère indispensable. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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Pratiques alimentaires des diabétiques de type 2 suivis au Centre Antidiabétique d’Abidjan / Odile Ake-Tano in Santé publique, n° 3 ([01/06/2017])

Public ISBD [article]  inSanté publique > n° 3 [01/06/2017] . - p. 423-435 Titre : Pratiques alimentaires des diabétiques de type 2 suivis au Centre Antidiabétique d’Abidjan Type de document : Article Auteurs : Odile Ake-Tano, Auteur ; Franck Kokora Ekou, Auteur ; Yao Eugène Konan, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 423-435 Langues : Français (fre) Mots-clés : AFRIQUE ALIMENTATION COTE D'IVOIRE DIABETE EDUCATION NUTRITIONNELLE Résumé : Objectifs : La prévalence du diabète augmente rapidement en Afrique sub-saharienne. Les mesures hygiéno-diététiques jouent un rôle primordial dans le contrôle du déséquilibre glycémique et des complications cardiovasculaires du diabète. Les objectifs de cette étude étaient de décrire le profil des patients diabétiques de type 2 suivis au Centre Antidiabétique d’Abidjan (CADA), décrire leurs pratiques alimentaires et identifier les facteurs influençant celles-ci. Méthodes : Il s’agissait d’une étude transversale à visée descriptive et analytique qui s’est déroulée en 2014 au CADA. Au total, 384 diabétiques ont été inclus. Résultats : Les patients avaient un âge moyen de 56,2 (ET : 11,7) ans et étaient diabétiques depuis en moyenne 8,6 ans. Les principales comorbidités étaient la surcharge pondérale (56,8 %) et l’hypertension artérielle (45,3 %). Plus de la moitié des patients soit 60,7 % n’avaient pas une bonne connaissance des aliments déconseillés aux diabétiques. Concernant leurs pratiques alimentaires, 88,5 % ne prenaient pas leur repas à des heures fixes, 11,7 % affirmaient grignoter et 61,5 % se restauraient hors de la maison. Par ailleurs 60,4 % affirmaient avoir consommé au moins un aliment déconseillé au cours de la semaine ayant précédé l’enquête. Les aliments les plus concernés étaient les préparations grasses et fritures (31,5 %). Les patients qui ignoraient que la consommation de préparations grasses et de fritures était déconseillée aux diabétiques avaient trois fois plus de risque de consommer de tels aliments (p Conclusions : Le renforcement de la prise en charge nutritionnelle à travers des séances d’éducation thérapeutique est primordial pour améliorer les pratiques alimentaires des diabétiques de type 2 en Côte d’Ivoire. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] Pratiques alimentaires des diabétiques de type 2 suivis au Centre Antidiabétique d’Abidjan [Article] / Odile Ake-Tano, Auteur ; Franck Kokora Ekou, Auteur ; Yao Eugène Konan, Auteur . - 2017 . - p. 423-435. Langues : Français (fre) in Santé publique > n° 3 [01/06/2017] . - p. 423-435 Mots-clés : AFRIQUE ALIMENTATION COTE D'IVOIRE DIABETE EDUCATION NUTRITIONNELLE Résumé : Objectifs : La prévalence du diabète augmente rapidement en Afrique sub-saharienne. Les mesures hygiéno-diététiques jouent un rôle primordial dans le contrôle du déséquilibre glycémique et des complications cardiovasculaires du diabète. Les objectifs de cette étude étaient de décrire le profil des patients diabétiques de type 2 suivis au Centre Antidiabétique d’Abidjan (CADA), décrire leurs pratiques alimentaires et identifier les facteurs influençant celles-ci. Méthodes : Il s’agissait d’une étude transversale à visée descriptive et analytique qui s’est déroulée en 2014 au CADA. Au total, 384 diabétiques ont été inclus. Résultats : Les patients avaient un âge moyen de 56,2 (ET : 11,7) ans et étaient diabétiques depuis en moyenne 8,6 ans. Les principales comorbidités étaient la surcharge pondérale (56,8 %) et l’hypertension artérielle (45,3 %). Plus de la moitié des patients soit 60,7 % n’avaient pas une bonne connaissance des aliments déconseillés aux diabétiques. Concernant leurs pratiques alimentaires, 88,5 % ne prenaient pas leur repas à des heures fixes, 11,7 % affirmaient grignoter et 61,5 % se restauraient hors de la maison. Par ailleurs 60,4 % affirmaient avoir consommé au moins un aliment déconseillé au cours de la semaine ayant précédé l’enquête. Les aliments les plus concernés étaient les préparations grasses et fritures (31,5 %). Les patients qui ignoraient que la consommation de préparations grasses et de fritures était déconseillée aux diabétiques avaient trois fois plus de risque de consommer de tels aliments (p Conclusions : Le renforcement de la prise en charge nutritionnelle à travers des séances d’éducation thérapeutique est primordial pour améliorer les pratiques alimentaires des diabétiques de type 2 en Côte d’Ivoire. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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