Dépouillements

DE LA QUALITE / Hervé Moizan in Ethique et santé, n° 4 ([01/12/2010])

Public ISBD [article]  inEthique et santé > n° 4 [01/12/2010] . - p. 184-2011 Titre : DE LA QUALITE Type de document : Article Auteurs : Hervé Moizan, Auteur ; Simon Schraub, Auteur ; Philippe Mouret, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 184-2011 Mots-clés : CANCEROLOGIE DOULEUR CHRONIQUE ETHIQUE QUALITE QUALITE DE VIE TOXICOMANIE VECU Résumé : Sommaire : - L'évaluation de la qualité de vie en cancérologie des voies aérodigestives supérieures passées au crible des odontologistes hospitaliers français. - Réflexions éthiques autour du vécu des patients atteints de douleurs chroniques - Critique de la notion de qualité de vie - Doit-on opérer un patient toxicomane pour un changement de valve cardiaque? Ancien numéro de notice : 8481503 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] DE LA QUALITE [Article] / Hervé Moizan, Auteur ; Simon Schraub, Auteur ; Philippe Mouret, Auteur ; et al., Auteur . - 2010 . - p. 184-2011. in Ethique et santé > n° 4 [01/12/2010] . - p. 184-2011 Mots-clés : CANCEROLOGIE DOULEUR CHRONIQUE ETHIQUE QUALITE QUALITE DE VIE TOXICOMANIE VECU Résumé : Sommaire : - L'évaluation de la qualité de vie en cancérologie des voies aérodigestives supérieures passées au crible des odontologistes hospitaliers français. - Réflexions éthiques autour du vécu des patients atteints de douleurs chroniques - Critique de la notion de qualité de vie - Doit-on opérer un patient toxicomane pour un changement de valve cardiaque? Ancien numéro de notice : 8481503 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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LA SEDATION DANS UNE PHILOSOPHIE DE L'ACTION / E.F Fourneret in Ethique et santé, n° 4 ([01/12/2010])

Public ISBD [article]  inEthique et santé > n° 4 [01/12/2010] . - p. 175-178 Titre : LA SEDATION DANS UNE PHILOSOPHIE DE L'ACTION Type de document : Article Auteurs : E.F Fourneret, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 175-178 Mots-clés : ETHIQUE SEDATION Résumé : Beaucoup de personne considèrent la sédation soit comme une euthanasie, soit comme un acte de prendre soin de quelqu’un. En d’autres termes, certains d’entre eux préfèrent distinguer les actes quand d’autres les considèrent équivalents. Mais notre propos propose de mettre en avant la spécificité de la sédation sans se référer directement à l’euthanasie. Nous n’argumenterons pas pour ou contre une position. Nous préférons faire remarquer trois points qui déterminent la sédation. Il se peut que cette analyse soit insatisfaisante pour plaider pour un accord mutuel. C’est pourquoi, nous n’affirmerons pas clore le débat. Maintenant, nous voulons décrire quelque peu ce que sera notre discussion : nous ferons référence à deux disciplines : l’épistémologie et la philosophie de l’action. Tout d’abord, nous développerons la sédation dans une logique de « remède ». Ensuite, nous mettrons en avant sa structure arborescente et dynamique. À partir de là, nous montrerons un processus logicotemporel qui devrait permettre d’introduire la distinction entre action intentionnelle et non intentionnelle d’une nouvelle façon Ancien numéro de notice : 8481103 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] LA SEDATION DANS UNE PHILOSOPHIE DE L'ACTION [Article] / E.F Fourneret, Auteur . - 2010 . - p. 175-178. in Ethique et santé > n° 4 [01/12/2010] . - p. 175-178 Mots-clés : ETHIQUE SEDATION Résumé : Beaucoup de personne considèrent la sédation soit comme une euthanasie, soit comme un acte de prendre soin de quelqu’un. En d’autres termes, certains d’entre eux préfèrent distinguer les actes quand d’autres les considèrent équivalents. Mais notre propos propose de mettre en avant la spécificité de la sédation sans se référer directement à l’euthanasie. Nous n’argumenterons pas pour ou contre une position. Nous préférons faire remarquer trois points qui déterminent la sédation. Il se peut que cette analyse soit insatisfaisante pour plaider pour un accord mutuel. C’est pourquoi, nous n’affirmerons pas clore le débat. Maintenant, nous voulons décrire quelque peu ce que sera notre discussion : nous ferons référence à deux disciplines : l’épistémologie et la philosophie de l’action. Tout d’abord, nous développerons la sédation dans une logique de « remède ». Ensuite, nous mettrons en avant sa structure arborescente et dynamique. À partir de là, nous montrerons un processus logicotemporel qui devrait permettre d’introduire la distinction entre action intentionnelle et non intentionnelle d’une nouvelle façon Ancien numéro de notice : 8481103 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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LE TEMPS ET LE DROIT / Marie-France Callu in Ethique et santé, n° 4 ([01/12/2010])

Public ISBD [article]  inEthique et santé > n° 4 [01/12/2010] . - p. 212-215 Titre : LE TEMPS ET LE DROIT Type de document : Article Auteurs : Marie-France Callu, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 212-215 Mots-clés : DROIT TEMPS Résumé : Le droit ne peut ignorer l’écoulement du temps. La difficulté est de savoir quelle place il peut lui donner. Trois grandes hypothèses se rencontrent : la prise en compte du passé . C’est le cas des usages et des coutumes, c’est-à-dire des habitudes d’un groupe humain. Sous certaines conditions, ces usages seront utilisés par le droit. Lorsque le droit prend en compte les coutumes, il ne s’arroge pas la possibilité de les juger sous leur angle anthropologique. Il ne cherche qu’à savoir comment, éventuellement, en tirer des avantages ou des obligations ; le poids du présent . C’est le plus simple et le champ d’application habituel du droit : normer les rapports entre les humains. Tous les aspects de la vie vont être concernés par cette dimension temporelle ; l’approche du futur . Évidence que l’on ne connaît pas encore, mais dont le droit doit se saisir, par anticipation. Ce sont, à titre d’exemple, les délais qu’il convient d’aménager, les mandats de protection future qu’il faut construire. L’art du juriste est de réussir à conjuguer ces trois dimensions Ancien numéro de notice : 8481703 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] LE TEMPS ET LE DROIT [Article] / Marie-France Callu, Auteur . - 2010 . - p. 212-215. in Ethique et santé > n° 4 [01/12/2010] . - p. 212-215 Mots-clés : DROIT TEMPS Résumé : Le droit ne peut ignorer l’écoulement du temps. La difficulté est de savoir quelle place il peut lui donner. Trois grandes hypothèses se rencontrent : la prise en compte du passé . C’est le cas des usages et des coutumes, c’est-à-dire des habitudes d’un groupe humain. Sous certaines conditions, ces usages seront utilisés par le droit. Lorsque le droit prend en compte les coutumes, il ne s’arroge pas la possibilité de les juger sous leur angle anthropologique. Il ne cherche qu’à savoir comment, éventuellement, en tirer des avantages ou des obligations ; le poids du présent . C’est le plus simple et le champ d’application habituel du droit : normer les rapports entre les humains. Tous les aspects de la vie vont être concernés par cette dimension temporelle ; l’approche du futur . Évidence que l’on ne connaît pas encore, mais dont le droit doit se saisir, par anticipation. Ce sont, à titre d’exemple, les délais qu’il convient d’aménager, les mandats de protection future qu’il faut construire. L’art du juriste est de réussir à conjuguer ces trois dimensions Ancien numéro de notice : 8481703 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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REFLEXION POUR UNE PHILOSOPHIE PRATIQUE DE LA PRUDENCE EN PREVENTION / Isabelle Fodor Puel in Ethique et santé, n° 4 ([01/12/2010])

Public ISBD [article]  inEthique et santé > n° 4 [01/12/2010] . - p. 179-183 Titre : REFLEXION POUR UNE PHILOSOPHIE PRATIQUE DE LA PRUDENCE EN PREVENTION Type de document : Article Auteurs : Isabelle Fodor Puel, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 179-183 Mots-clés : ETHIQUE PHILOSOPHIE PREVENTION SANTE Résumé : La prévention a pris son essor au xixe siècle en raison des grands progrès de la médecine. Des stratégies économiques et politiques de prévention se sont développées avec l’idée de respecter la liberté individuelle mais aussi l’intérêt collectif. Celle-ci nous apparaît nécessaire pour préserver et améliorer la santé de l’homme. Nous mesurons que la valeur accordée à notre santé s’inscrit depuis longtemps dans une vertu, la prudence. Le concept étudié par Platon, Aristote et Kant comme une vertu nous donne un éclairage : inéluctablement, nous sommes face au dilemme éthique de penser le bien pour l’autre afin d’éviter un mal incertain. Dans le service de protection maternelle et infantile (PMI) où nous exerçons, nous distinguons une éthique singulière chez le professionnel de santé, acteur de soins préventifs. Une éthique liée au principe de bienfaisance et la responsabilité d’autrui face à l’incertitude d’un réel bénéfice pour sa santé. Ainsi, le professionnel doit inviter à un changement de comportement, parfois il est obligé de signaler un défaut de soin. Son écoute privilégiée permet de proposer un acte de prévention adaptée au contexte de la personne. Deux limites nous interpellent particulièrement, celle du choix des critères d’intervention et de la précarité. Tout l’art pour le professionnel serait de cultiver à la lumière de grands philosophes de la prudence, la tempérance grâce à une bonne distance et la juste mesure entre trop de vigilances et trop d’imprudences Ancien numéro de notice : 8481303 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] REFLEXION POUR UNE PHILOSOPHIE PRATIQUE DE LA PRUDENCE EN PREVENTION [Article] / Isabelle Fodor Puel, Auteur . - 2010 . - p. 179-183. in Ethique et santé > n° 4 [01/12/2010] . - p. 179-183 Mots-clés : ETHIQUE PHILOSOPHIE PREVENTION SANTE Résumé : La prévention a pris son essor au xixe siècle en raison des grands progrès de la médecine. Des stratégies économiques et politiques de prévention se sont développées avec l’idée de respecter la liberté individuelle mais aussi l’intérêt collectif. Celle-ci nous apparaît nécessaire pour préserver et améliorer la santé de l’homme. Nous mesurons que la valeur accordée à notre santé s’inscrit depuis longtemps dans une vertu, la prudence. Le concept étudié par Platon, Aristote et Kant comme une vertu nous donne un éclairage : inéluctablement, nous sommes face au dilemme éthique de penser le bien pour l’autre afin d’éviter un mal incertain. Dans le service de protection maternelle et infantile (PMI) où nous exerçons, nous distinguons une éthique singulière chez le professionnel de santé, acteur de soins préventifs. Une éthique liée au principe de bienfaisance et la responsabilité d’autrui face à l’incertitude d’un réel bénéfice pour sa santé. Ainsi, le professionnel doit inviter à un changement de comportement, parfois il est obligé de signaler un défaut de soin. Son écoute privilégiée permet de proposer un acte de prévention adaptée au contexte de la personne. Deux limites nous interpellent particulièrement, celle du choix des critères d’intervention et de la précarité. Tout l’art pour le professionnel serait de cultiver à la lumière de grands philosophes de la prudence, la tempérance grâce à une bonne distance et la juste mesure entre trop de vigilances et trop d’imprudences Ancien numéro de notice : 8481303 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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