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Anomalies du RCF précocement au cours du travail : intérêt du pH au scalp / B. Renevier in Revue sage-femme (La), n° 6 ([01/12/2011])
[article]
Titre : Anomalies du RCF précocement au cours du travail : intérêt du pH au scalp Type de document : Article Auteurs : B. Renevier, Auteur ; Camille Le Ray, Auteur ; D. Cabrol, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 266-271 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCOUCHEMENT
ANOMALIE
CESARIENNE
FOETUS
MORBIDITE
NEONATOLOGIE
RYTHME CARDIAQUERésumé : Objectif
En cas d’anomalies du rythme cardiaque fœtal (RCF) précocement au cours du travail, le risque de césarienne est élevé. L’objectif de ce travail est d’évaluer, chez les femmes présentant des anomalies du RCF répétées en première partie du travail (≤5cm), l’intérêt du pH au scalp, en particulier concernant le mode d’accouchement.
Patientes et méthodes
Il s’agit d’une étude rétrospective dans un centre de type III. Tous les dossiers des femmes avec un fœtus unique, vivant, en présentation céphalique, à terme et ayant eu un pH au scalp au cours du travail entre janvier et juillet 2009 ont été revus. Nous avons comparé les taux d’accouchements par voie basse et de morbidité néonatale en fonction de la dilatation au moment de la réalisation du premier pH au scalp (≤5 ou >5cm). La morbidité néonatale était définie par un pH à la naissance inférieur ou égal à 7,10 et/ou un score d’Apgar à cinq minutes inférieur ou égal à 7 et/ou un transfert en néonatologie.
Résultats
Pendant la période d’étude, 108 femmes ont eu au moins un pH au scalp, soit 8,5 % des patientes correspondant aux critères d’inclusion. Parmi celles-ci, 46 (42,6 %) ont eu un premier pH au scalp à ou avant 5cm. Le taux global d’accouchement par voie basse parmi les 108 femmes était de 62 % et augmentait avec la dilatation cervicale au moment de la réalisation du premier pH au scalp (p Conclusion
Dans cette étude, en cas d’anomalies du RCF répétées avant 5cm, la réalisation d’un pH au scalp permet à la moitié des femmes d’accoucher par voie basse sans augmenter le risque de morbidité néonatale.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 6 [01/12/2011] . - p. 266-271[article] Anomalies du RCF précocement au cours du travail : intérêt du pH au scalp [Article] / B. Renevier, Auteur ; Camille Le Ray, Auteur ; D. Cabrol, Auteur ; et al., Auteur . - 2011 . - p. 266-271.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 6 [01/12/2011] . - p. 266-271
Mots-clés : ACCOUCHEMENT
ANOMALIE
CESARIENNE
FOETUS
MORBIDITE
NEONATOLOGIE
RYTHME CARDIAQUERésumé : Objectif
En cas d’anomalies du rythme cardiaque fœtal (RCF) précocement au cours du travail, le risque de césarienne est élevé. L’objectif de ce travail est d’évaluer, chez les femmes présentant des anomalies du RCF répétées en première partie du travail (≤5cm), l’intérêt du pH au scalp, en particulier concernant le mode d’accouchement.
Patientes et méthodes
Il s’agit d’une étude rétrospective dans un centre de type III. Tous les dossiers des femmes avec un fœtus unique, vivant, en présentation céphalique, à terme et ayant eu un pH au scalp au cours du travail entre janvier et juillet 2009 ont été revus. Nous avons comparé les taux d’accouchements par voie basse et de morbidité néonatale en fonction de la dilatation au moment de la réalisation du premier pH au scalp (≤5 ou >5cm). La morbidité néonatale était définie par un pH à la naissance inférieur ou égal à 7,10 et/ou un score d’Apgar à cinq minutes inférieur ou égal à 7 et/ou un transfert en néonatologie.
Résultats
Pendant la période d’étude, 108 femmes ont eu au moins un pH au scalp, soit 8,5 % des patientes correspondant aux critères d’inclusion. Parmi celles-ci, 46 (42,6 %) ont eu un premier pH au scalp à ou avant 5cm. Le taux global d’accouchement par voie basse parmi les 108 femmes était de 62 % et augmentait avec la dilatation cervicale au moment de la réalisation du premier pH au scalp (p Conclusion
Dans cette étude, en cas d’anomalies du RCF répétées avant 5cm, la réalisation d’un pH au scalp permet à la moitié des femmes d’accoucher par voie basse sans augmenter le risque de morbidité néonatale.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Classification de Robson : un outil d'évaluation des pratiques de césarienne en France / Camille Le Ray in Revue sage-femme (La), n° 5 ([01/11/2015])
[article]
Titre : Classification de Robson : un outil d'évaluation des pratiques de césarienne en France Type de document : Article Auteurs : Camille Le Ray, Auteur ; C. Prunet, Auteur ; Catherine Deneux-Tharaud, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 199-207 Langues : Français (fre) Mots-clés : CESARIENNE
CLASSIFICATION
EPIDEMIOLOGIE
MATERNITERésumé : Objectif
Fournir une description des taux de césariennes en France en 2010 suivant la classification de Robson pour évaluer les pratiques au sein de maternités de même type.
Matériel et méthodes
L’enquête nationale périnatale fournit un échantillon représentatif des accouchements en France en 2010 (n =14 165). Ses données ont été stratifiées selon le type (type 1, 2 ou 3) de la maternité. Les femmes ont été classées en 12 groupes selon la classification proposée par Robson, en fonction des caractéristiques maternelles et fœtales. Pour chaque type de maternité et pour chaque groupe, ont été calculés la taille relative du groupe, son taux brut de césarienne et sa contribution au taux de césarienne global.
Résultats
Le taux global de césarienne en 2010 en France était de 20,8 % dans les maternités de type 1, 21,1 % dans celles de type 2 et 20,0 % dans celles de type 3. Dans les trois types, les principaux contributeurs au taux global de césariennes étaient les primipares qu’elles soient en travail spontané (groupe 1 ; contribution au taux global de césarienne : 3,5 % dans les types 1, 2,2 % dans les types 2, 2,7 % dans les types 3) ou déclenchées (groupe 2a ; contribution au taux global de césarienne : 2,9, 2,5 et, 3,0 %, respectivement) et les multipares porteuses d’un utérus cicatriciel (groupe 5 ; contribution au taux global de césarienne : 5,8, 5,3 et 6,0 %, respectivement). Les singletons prématurés (groupe 10) contribuaient à 0,8 % du taux global de césarienne dans les types 1, 1,4 % dans les types 2 et 3,5 % dans les types 3.
Conclusion
La classification de Robson est un outil simple d’utilisation. Chaque maternité peut comparer ses résultats à ceux des maternités de même type et identifier éventuellement des groupes de femmes ayant des taux de césariennes anormalement élevés.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 5 [01/11/2015] . - p. 199-207[article] Classification de Robson : un outil d'évaluation des pratiques de césarienne en France [Article] / Camille Le Ray, Auteur ; C. Prunet, Auteur ; Catherine Deneux-Tharaud, Auteur ; et al., Auteur . - 2015 . - p. 199-207.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 5 [01/11/2015] . - p. 199-207
Mots-clés : CESARIENNE
CLASSIFICATION
EPIDEMIOLOGIE
MATERNITERésumé : Objectif
Fournir une description des taux de césariennes en France en 2010 suivant la classification de Robson pour évaluer les pratiques au sein de maternités de même type.
Matériel et méthodes
L’enquête nationale périnatale fournit un échantillon représentatif des accouchements en France en 2010 (n =14 165). Ses données ont été stratifiées selon le type (type 1, 2 ou 3) de la maternité. Les femmes ont été classées en 12 groupes selon la classification proposée par Robson, en fonction des caractéristiques maternelles et fœtales. Pour chaque type de maternité et pour chaque groupe, ont été calculés la taille relative du groupe, son taux brut de césarienne et sa contribution au taux de césarienne global.
Résultats
Le taux global de césarienne en 2010 en France était de 20,8 % dans les maternités de type 1, 21,1 % dans celles de type 2 et 20,0 % dans celles de type 3. Dans les trois types, les principaux contributeurs au taux global de césariennes étaient les primipares qu’elles soient en travail spontané (groupe 1 ; contribution au taux global de césarienne : 3,5 % dans les types 1, 2,2 % dans les types 2, 2,7 % dans les types 3) ou déclenchées (groupe 2a ; contribution au taux global de césarienne : 2,9, 2,5 et, 3,0 %, respectivement) et les multipares porteuses d’un utérus cicatriciel (groupe 5 ; contribution au taux global de césarienne : 5,8, 5,3 et 6,0 %, respectivement). Les singletons prématurés (groupe 10) contribuaient à 0,8 % du taux global de césarienne dans les types 1, 1,4 % dans les types 2 et 3,5 % dans les types 3.
Conclusion
La classification de Robson est un outil simple d’utilisation. Chaque maternité peut comparer ses résultats à ceux des maternités de même type et identifier éventuellement des groupes de femmes ayant des taux de césariennes anormalement élevés.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Comment définir la date présumée de l’accouchement et le dépassement de terme ? / Camille Le Ray in Revue sage-femme (La), n° 1 ([01/02/2012])
[article]
Titre : Comment définir la date présumée de l’accouchement et le dépassement de terme ? Type de document : Article Auteurs : Camille Le Ray, Auteur ; Olivia Anselem, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 48-53 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCOUCHEMENT
DECLENCHEMENT
GROSSESSE
RECOMMANDATION
TEMPSRésumé : La durée de la grossesse se situe entre 280 et 290jours à partir du 1er jour de la date des dernières règles et varie, dans la littérature, selon les auteurs, les modes de calculs et les caractéristiques des femmes. En supposant que la date de début de grossesse soit connue, la date présumée d’accouchement (DPA) varie en fonction de la durée de la gestation. Ainsi, dans la littérature et dans la pratique obstétricale, il n’y a pas de consensus sur la définition de la DPA (avis d’experts). D’un point de vue médical, il semble cependant important de fixer la date à partir de laquelle la surveillance de fin de grossesse devra débuter et celle à partir de laquelle un déclenchement devra être envisagé. Ainsi, de façon arbitraire, on peut considérer que le terme correspond à un intervalle de temps situé entre 37+0 SA et 41+6 SA et que le dépassement de terme débute à partir de 42+0 SA. Les risques maternels et fœtaux augmentent en fin de grossesse. Ainsi, de façon arbitraire, on peut parler de grossesse prolongée à partir de 41+0 SA (avis d’experts). Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 1 [01/02/2012] . - p. 48-53[article] Comment définir la date présumée de l’accouchement et le dépassement de terme ? [Article] / Camille Le Ray, Auteur ; Olivia Anselem, Auteur . - 2012 . - p. 48-53.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 1 [01/02/2012] . - p. 48-53
Mots-clés : ACCOUCHEMENT
DECLENCHEMENT
GROSSESSE
RECOMMANDATION
TEMPSRésumé : La durée de la grossesse se situe entre 280 et 290jours à partir du 1er jour de la date des dernières règles et varie, dans la littérature, selon les auteurs, les modes de calculs et les caractéristiques des femmes. En supposant que la date de début de grossesse soit connue, la date présumée d’accouchement (DPA) varie en fonction de la durée de la gestation. Ainsi, dans la littérature et dans la pratique obstétricale, il n’y a pas de consensus sur la définition de la DPA (avis d’experts). D’un point de vue médical, il semble cependant important de fixer la date à partir de laquelle la surveillance de fin de grossesse devra débuter et celle à partir de laquelle un déclenchement devra être envisagé. Ainsi, de façon arbitraire, on peut considérer que le terme correspond à un intervalle de temps situé entre 37+0 SA et 41+6 SA et que le dépassement de terme débute à partir de 42+0 SA. Les risques maternels et fœtaux augmentent en fin de grossesse. Ainsi, de façon arbitraire, on peut parler de grossesse prolongée à partir de 41+0 SA (avis d’experts). Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible L’épisiotomie en France en 2010 : variations des pratiques selon le contexte obstétrical et le lieu d’accouchement / Anne-Lise Chuilon in Revue sage-femme (La), n° 5 ([01/11/2016])
[article]
Titre : L’épisiotomie en France en 2010 : variations des pratiques selon le contexte obstétrical et le lieu d’accouchement Type de document : Article Auteurs : Anne-Lise Chuilon, Auteur ; Camille Le Ray, Auteur ; C. Prunet, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 228-237 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCOUCHEMENT
DISPARITE REGIONALE
EPISIOTOMIE
FRANCE
MATERNITERésumé : But
Analyser comment les taux d’épisiotomie varient suivant les caractéristiques des femmes et des maternités et étudier la variabilité des taux entre les maternités et les régions en France.
Matériel et méthodes
Notre étude comprenait toutes les femmes ayant accouché par voie basse dans l’enquête nationale périnatale réalisée en France en 2010 (n =11 322). Nous avons estimé les risques relatifs ajustés d’épisiotomie (RRa), selon les caractéristiques des femmes et des maternités, et analysé la variabilité des taux entre maternités et entre régions par des régressions de Poisson multiniveaux, stratifiées sur la parité.
Résultats
En 2010, 26,8 % des femmes ont eu une épisiotomie (44,7 % des primipares, 14,2 % des multipares). Les principaux facteurs associés à la réalisation d’une épisiotomie étaient l’origine asiatique (primipares : RRa=1,32 [1,16–1,51] ; multipares : RRa=2,30 [1,67–3,16]), le siège (primipares : RRa=2,14 [1,87–2,21] ; multipares : RRa=3,32 [2,52–4,38]) et la voie basse instrumentale (primipares : RRa=2,04 [1,89–2,11] ; multipares : RRa=3,19 [2,74–3,72]). Les autres facteurs associés étaient : un indice de masse corporelle élevé, l’administration d’ocytocine pendant le travail, une voie basse spontanée réalisée par un obstétricien, un poids de naissance élevé et chez les multipares, un antécédent de césarienne sans voie basse antérieure et une analgésie péridurale. Les taux variaient entre les régions (primipares : de 17 à 64 % ; multipares : de 3 à 21 %). La variance était significative entre les régions et entre les maternités.
Conclusion
Les différences entre régions et entre maternités sont peu expliquées par les caractéristiques des femmes et des nouveau-nés. Il serait utile d’étudier les attitudes et les points de vue des obstétriciens et des sages-femmes vis-à-vis de la protection du périnée pour mieux comprendre ces différences.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 5 [01/11/2016] . - p. 228-237[article] L’épisiotomie en France en 2010 : variations des pratiques selon le contexte obstétrical et le lieu d’accouchement [Article] / Anne-Lise Chuilon, Auteur ; Camille Le Ray, Auteur ; C. Prunet, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p. 228-237.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 5 [01/11/2016] . - p. 228-237
Mots-clés : ACCOUCHEMENT
DISPARITE REGIONALE
EPISIOTOMIE
FRANCE
MATERNITERésumé : But
Analyser comment les taux d’épisiotomie varient suivant les caractéristiques des femmes et des maternités et étudier la variabilité des taux entre les maternités et les régions en France.
Matériel et méthodes
Notre étude comprenait toutes les femmes ayant accouché par voie basse dans l’enquête nationale périnatale réalisée en France en 2010 (n =11 322). Nous avons estimé les risques relatifs ajustés d’épisiotomie (RRa), selon les caractéristiques des femmes et des maternités, et analysé la variabilité des taux entre maternités et entre régions par des régressions de Poisson multiniveaux, stratifiées sur la parité.
Résultats
En 2010, 26,8 % des femmes ont eu une épisiotomie (44,7 % des primipares, 14,2 % des multipares). Les principaux facteurs associés à la réalisation d’une épisiotomie étaient l’origine asiatique (primipares : RRa=1,32 [1,16–1,51] ; multipares : RRa=2,30 [1,67–3,16]), le siège (primipares : RRa=2,14 [1,87–2,21] ; multipares : RRa=3,32 [2,52–4,38]) et la voie basse instrumentale (primipares : RRa=2,04 [1,89–2,11] ; multipares : RRa=3,19 [2,74–3,72]). Les autres facteurs associés étaient : un indice de masse corporelle élevé, l’administration d’ocytocine pendant le travail, une voie basse spontanée réalisée par un obstétricien, un poids de naissance élevé et chez les multipares, un antécédent de césarienne sans voie basse antérieure et une analgésie péridurale. Les taux variaient entre les régions (primipares : de 17 à 64 % ; multipares : de 3 à 21 %). La variance était significative entre les régions et entre les maternités.
Conclusion
Les différences entre régions et entre maternités sont peu expliquées par les caractéristiques des femmes et des nouveau-nés. Il serait utile d’étudier les attitudes et les points de vue des obstétriciens et des sages-femmes vis-à-vis de la protection du périnée pour mieux comprendre ces différences.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Grossesse à 43 ans et plus : risques maternels et périnataux / A. Vincent-Rohfritsch in Revue sage-femme (La), n° 5 ([01/11/2012])
[article]
Titre : Grossesse à 43 ans et plus : risques maternels et périnataux Type de document : Article Auteurs : A. Vincent-Rohfritsch, Auteur ; Camille Le Ray, Auteur ; Olivia Anselem, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 226-233 Langues : Français (fre) Mots-clés : CESARIENNE
ECLAMPSIE
GROSSESSE TARDIVE
HYPERTENSION ARTERIELLE
PREMATURITE
RISQUERésumé : La proportion de femmes ayant un âge avancé à l’accouchement augmente régulièrement, avec une augmentation du nombre de femmes très âgées, au-delà de 40, voire 45ans, en raison notamment des progrès des techniques d’assistance médicale à la procréation. La morbidité maternelle est connue pour augmenter avec l’âge, tandis que les données sur les issues périnatales sont contradictoires. Il est possible que les risques maternels et périnataux des femmes très âgées soient particulièrement élevés. Afin de les quantifier, nous avons comparé un groupe de femmes de 43ans et plus à un groupe témoin de femmes entre 25 et 35ans, âge traditionnellement considéré comme à bas risque de complication. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 5 [01/11/2012] . - p. 226-233[article] Grossesse à 43 ans et plus : risques maternels et périnataux [Article] / A. Vincent-Rohfritsch, Auteur ; Camille Le Ray, Auteur ; Olivia Anselem, Auteur ; et al., Auteur . - 2012 . - p. 226-233.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 5 [01/11/2012] . - p. 226-233
Mots-clés : CESARIENNE
ECLAMPSIE
GROSSESSE TARDIVE
HYPERTENSION ARTERIELLE
PREMATURITE
RISQUERésumé : La proportion de femmes ayant un âge avancé à l’accouchement augmente régulièrement, avec une augmentation du nombre de femmes très âgées, au-delà de 40, voire 45ans, en raison notamment des progrès des techniques d’assistance médicale à la procréation. La morbidité maternelle est connue pour augmenter avec l’âge, tandis que les données sur les issues périnatales sont contradictoires. Il est possible que les risques maternels et périnataux des femmes très âgées soient particulièrement élevés. Afin de les quantifier, nous avons comparé un groupe de femmes de 43ans et plus à un groupe témoin de femmes entre 25 et 35ans, âge traditionnellement considéré comme à bas risque de complication. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité - Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Pratique de l'accouchement / François GoffinetPermalinkQuoi de neuf concernant les interventions obstétricales lors du travail et de l’accouchement normal ? / Camille Le Ray in Revue sage-femme (La), n° 5 ([01/10/2014])Permalink