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Allaitement maternel (partie 1) : fréquence, bénéfices et inconvénients, durée optimale et facteurs influençant son initiation et sa prolongation. Recommandations pour la pratique clinique / A.A. Chantry in Revue sage-femme (La), n° 1 ([01/02/2016])
[article]
Titre : Allaitement maternel (partie 1) : fréquence, bénéfices et inconvénients, durée optimale et facteurs influençant son initiation et sa prolongation. Recommandations pour la pratique clinique Type de document : Article Auteurs : A.A. Chantry, Auteur ; I. Monier, Auteur ; L. Marcellin, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 41-50 Langues : Français (fre) Mots-clés : AGE
ALLAITEMENT MATERNEL
ARGUMENTATION
ASTHME
CESARIENNE
DECISION
DEPRESSION POSTNATALE
DERMATOLOGIE
DEVELOPPEMENT DE L'ENFANT
FACTEUR SOCIODEMOGRAPHIQUE
GROSSESSE
ICTERE NEO-NATAL
INFECTION
MALADIE CARDIO-VASCULAIRE
MATERNITE
MERE
MORT SUBITE
NOUVEAU-NE
OBESITE
PEAU
PERE
POIDS
PROCREATION ARTIFICIELLE
PROFESSION DE SANTE
QUALITE DES SOINS
RECOMMANDATION POUR LA PRATIQUE CLINIQUE
RETOUR A DOMICILE
SEIN
SEXUALITE
SOIN A DOMICILE
TEMPSRésumé : Objectif
Les objectifs de ce travail étaient de faire le point, d’une part, sur la fréquence et la durée de l’allaitement maternel (AM) en France, et, d’autre part, sur ses bénéfices et inconvénients, ainsi que d’étudier les facteurs influençant son initiation et sa prolongation.
Matériel et méthode
Recherche bibliographique par consultation des banques de données Medline, Google Scholar et Cochrane Library.
Résultats
L’allaitement maternel concerne en France près de 70 % des enfants à la naissance (NP2). Sa durée médiane est de 15 semaines et de 3 semaines et demi pour l’allaitement exclusif. À 3 mois, seul un tiers des enfants allaités à la naissance le sont encore (NP2). Que cela s’explique par la composition du lait maternel ou par le comportement des mères avec leur enfant ou encore par leur niveau socio-culturel, voire même par toutes ces composantes à la fois, l’allaitement maternel est associé à un meilleur développement cognitif des enfants (NP2). Cet effet est d’autant plus renforcé que les mères allaitent de façon exclusive et prolongée (NP2). Dans le cadre de la prévention d’un grand nombre de maladies à plus ou moins long terme (otites, infections gastro-intestinales, maladies atopiques, obésité et maladies cardio-vasculaires…), un allaitement maternel exclusif et prolongé (grade B) de 4 à 6 mois est recommandé (accord professionnel). L’allaitement maternel n’est pas un moyen de prévention de la dépression du post-partum (accord professionnel). Pour réduire l’incidence du cancer du sein, un allaitement maternel prolongé est recommandé (grade B). Dans le but d’augmenter le taux d’initiation de l’allaitement maternel ainsi que sa durée, il est recommandé que les professionnels de santé accompagnent les mères dans leur projet (grade A), que les messages de promotion de l’allaitement intègrent des messages à destination des conjoints (grade B), ainsi que de promouvoir un allaitement maternel à la demande sans intervalle fixe entre les tétées (grade B). En revanche, on ne dispose pas de suffisamment de données pour recommander d’employer une position particulière lors des tétées, d’utiliser un sein ou deux lors des tétées ou encore de les débuter précocement (accord professionnel).
Conclusion
L’AM exclusif et prolongé est recommandé (grade B) entre 4 et 6 mois (accord professionnel).Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 1 [01/02/2016] . - p. 41-50[article] Allaitement maternel (partie 1) : fréquence, bénéfices et inconvénients, durée optimale et facteurs influençant son initiation et sa prolongation. Recommandations pour la pratique clinique [Article] / A.A. Chantry, Auteur ; I. Monier, Auteur ; L. Marcellin, Auteur . - 2016 . - p. 41-50.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 1 [01/02/2016] . - p. 41-50
Mots-clés : AGE
ALLAITEMENT MATERNEL
ARGUMENTATION
ASTHME
CESARIENNE
DECISION
DEPRESSION POSTNATALE
DERMATOLOGIE
DEVELOPPEMENT DE L'ENFANT
FACTEUR SOCIODEMOGRAPHIQUE
GROSSESSE
ICTERE NEO-NATAL
INFECTION
MALADIE CARDIO-VASCULAIRE
MATERNITE
MERE
MORT SUBITE
NOUVEAU-NE
OBESITE
PEAU
PERE
POIDS
PROCREATION ARTIFICIELLE
PROFESSION DE SANTE
QUALITE DES SOINS
RECOMMANDATION POUR LA PRATIQUE CLINIQUE
RETOUR A DOMICILE
SEIN
SEXUALITE
SOIN A DOMICILE
TEMPSRésumé : Objectif
Les objectifs de ce travail étaient de faire le point, d’une part, sur la fréquence et la durée de l’allaitement maternel (AM) en France, et, d’autre part, sur ses bénéfices et inconvénients, ainsi que d’étudier les facteurs influençant son initiation et sa prolongation.
Matériel et méthode
Recherche bibliographique par consultation des banques de données Medline, Google Scholar et Cochrane Library.
Résultats
L’allaitement maternel concerne en France près de 70 % des enfants à la naissance (NP2). Sa durée médiane est de 15 semaines et de 3 semaines et demi pour l’allaitement exclusif. À 3 mois, seul un tiers des enfants allaités à la naissance le sont encore (NP2). Que cela s’explique par la composition du lait maternel ou par le comportement des mères avec leur enfant ou encore par leur niveau socio-culturel, voire même par toutes ces composantes à la fois, l’allaitement maternel est associé à un meilleur développement cognitif des enfants (NP2). Cet effet est d’autant plus renforcé que les mères allaitent de façon exclusive et prolongée (NP2). Dans le cadre de la prévention d’un grand nombre de maladies à plus ou moins long terme (otites, infections gastro-intestinales, maladies atopiques, obésité et maladies cardio-vasculaires…), un allaitement maternel exclusif et prolongé (grade B) de 4 à 6 mois est recommandé (accord professionnel). L’allaitement maternel n’est pas un moyen de prévention de la dépression du post-partum (accord professionnel). Pour réduire l’incidence du cancer du sein, un allaitement maternel prolongé est recommandé (grade B). Dans le but d’augmenter le taux d’initiation de l’allaitement maternel ainsi que sa durée, il est recommandé que les professionnels de santé accompagnent les mères dans leur projet (grade A), que les messages de promotion de l’allaitement intègrent des messages à destination des conjoints (grade B), ainsi que de promouvoir un allaitement maternel à la demande sans intervalle fixe entre les tétées (grade B). En revanche, on ne dispose pas de suffisamment de données pour recommander d’employer une position particulière lors des tétées, d’utiliser un sein ou deux lors des tétées ou encore de les débuter précocement (accord professionnel).
Conclusion
L’AM exclusif et prolongé est recommandé (grade B) entre 4 et 6 mois (accord professionnel).Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Allaitement maternel (partie III) : complications de l’allaitement – Recommandations pour la pratique clinique / L. Marcellin in Revue sage-femme (La), n° 3 ([01/06/2016])
[article]
Titre : Allaitement maternel (partie III) : complications de l’allaitement – Recommandations pour la pratique clinique Type de document : Article Auteurs : L. Marcellin, Auteur ; A.A. Chantry, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 148-155 Langues : Français (fre) Mots-clés : ALLAITEMENT MATERNEL
COMPLICATION
PRISE EN CHARGE
RECOMMANDATIONRésumé : Objectif
Élaborer des recommandations sur la prise en charge du sevrage des complications de l’allaitement maternel.
Matériels et méthodes
Recherche bibliographique entre 1972 et mai 2015 sur les bases de données Pubmed Medline, Google Scholar, Cochrane Library et consultation des recommandations internationales des sociétés savantes, avec établissement de niveaux de preuve (NP) et de grades de recommandation.
Résultats
Les techniques de préparation de stimulation du mamelon ou de correction d’une variation anatomique du mamelon avant la naissance ne sont pas recommandées pour diminuer les pathologies mamelonnaires, ou améliorer le succès de l’allaitement (grade B). Il semblerait que l’utilisation de lanoline et l’application de lait maternel aient un intérêt dans les affections du mamelon (NP4). Les données de la littérature actuelle sont insuffisantes pour conclure à l’efficacité des écrans mamelonnaires à court, moyen et long terme (accord professionnel). L’expression du sein de façon manuelle ou à l’aide d’un tire-lait semble avoir un intérêt dans la prévention de l’engorgement mammaire (accord professionnel). Un prélèvement bactériologique du lait en cas de mastite est nécessaire pour décider d’une antibiothérapie et d’interrompre l’allaitement par le sein infecté tout en poursuivant son drainage par un tire-lait (accord professionnel). L’incision et le drainage d’un abcès du sein sont recommandés (accord professionnel). La réalisation de ponctions itératives à l’aiguille est une alternative au drainage chirurgical dans les formes modérées (accord professionnel). L’allaitement des femmes ayant des antécédents de chirurgie esthétique des seins ou de cancer du sein n’est pas contre-indiqué (accord professionnel). Il n’y a pas d’argument scientifique pour recommander l’utilisation de tire-lait afin d’améliorer l’allaitement maternel (grade B). En raison des potentiels effets secondaires, les recours à la dompéridone et au métoclopramide ne sont pas recommandés dans la stimulation de la lactation (gradeC).
Conclusion
L’allaitement maternel expose les femmes à des complications spécifiques qui peuvent entraver la poursuite de l’allaitement. La mastite est une des affections dont la prévention est essentielle.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 3 [01/06/2016] . - p. 148-155[article] Allaitement maternel (partie III) : complications de l’allaitement – Recommandations pour la pratique clinique [Article] / L. Marcellin, Auteur ; A.A. Chantry, Auteur . - 2016 . - p. 148-155.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 3 [01/06/2016] . - p. 148-155
Mots-clés : ALLAITEMENT MATERNEL
COMPLICATION
PRISE EN CHARGE
RECOMMANDATIONRésumé : Objectif
Élaborer des recommandations sur la prise en charge du sevrage des complications de l’allaitement maternel.
Matériels et méthodes
Recherche bibliographique entre 1972 et mai 2015 sur les bases de données Pubmed Medline, Google Scholar, Cochrane Library et consultation des recommandations internationales des sociétés savantes, avec établissement de niveaux de preuve (NP) et de grades de recommandation.
Résultats
Les techniques de préparation de stimulation du mamelon ou de correction d’une variation anatomique du mamelon avant la naissance ne sont pas recommandées pour diminuer les pathologies mamelonnaires, ou améliorer le succès de l’allaitement (grade B). Il semblerait que l’utilisation de lanoline et l’application de lait maternel aient un intérêt dans les affections du mamelon (NP4). Les données de la littérature actuelle sont insuffisantes pour conclure à l’efficacité des écrans mamelonnaires à court, moyen et long terme (accord professionnel). L’expression du sein de façon manuelle ou à l’aide d’un tire-lait semble avoir un intérêt dans la prévention de l’engorgement mammaire (accord professionnel). Un prélèvement bactériologique du lait en cas de mastite est nécessaire pour décider d’une antibiothérapie et d’interrompre l’allaitement par le sein infecté tout en poursuivant son drainage par un tire-lait (accord professionnel). L’incision et le drainage d’un abcès du sein sont recommandés (accord professionnel). La réalisation de ponctions itératives à l’aiguille est une alternative au drainage chirurgical dans les formes modérées (accord professionnel). L’allaitement des femmes ayant des antécédents de chirurgie esthétique des seins ou de cancer du sein n’est pas contre-indiqué (accord professionnel). Il n’y a pas d’argument scientifique pour recommander l’utilisation de tire-lait afin d’améliorer l’allaitement maternel (grade B). En raison des potentiels effets secondaires, les recours à la dompéridone et au métoclopramide ne sont pas recommandés dans la stimulation de la lactation (gradeC).
Conclusion
L’allaitement maternel expose les femmes à des complications spécifiques qui peuvent entraver la poursuite de l’allaitement. La mastite est une des affections dont la prévention est essentielle.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Allaitement maternel (partie IV) : usages des médicaments, diététique et addictions – recommandations pour la pratique clinique / L. Marcellin in Revue sage-femme (La), n° 3 ([01/06/2016])
[article]
Titre : Allaitement maternel (partie IV) : usages des médicaments, diététique et addictions – recommandations pour la pratique clinique Type de document : Article Auteurs : L. Marcellin, Auteur ; A.A. Chantry, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 156-165 Langues : Français (fre) Mots-clés : ALCOOL
ALLAITEMENT MATERNEL
ANALGESIQUE
ANTIBIOTIQUE
ANTICOAGULANT
ANTIHYPERTENSEUR
CANNABIS
COCAINE
DIETETIQUE
DROGUE
MEDICAMENT
PSYCHOTROPE
TABAC
THERAPEUTIQUE MEDICAMENTEUSERésumé : Objectif
Décrire en cas d’allaitement maternel les aspects pratiques de l’utilisation des médicaments les plus couramment utilisés dans la période du post-partum, les mesures diététiques et la conduite à tenir en cas de conduite addictive.
Matériels et méthodes
Revue de la littérature entre 1972 et mai 2015 à partir des bases de données Medline, Google Scholar, Cochrane Library et des recommandations internationales des sociétés savantes.
Résultats
La précaution d’interrompre l’allaitement maternel en cas de prise médicamenteuse n’est pas justifiée dans de nombreuses situations (accord professionnel). L’aspirine est autorisée à dose « antiagrégante » alors qu’elle est contre-indiquée à dose antalgique ou anti-inflammatoire (accord professionnel). Les AINS ayant une demi-vie courte peuvent être utilisés (accord professionnel). Certaines précautions sont nécessaires en cas d’utilisation d’antalgiques de palier II et III (accord professionnel). Il n’est pas justifié de différer la mise en route de l’allaitement en cas d’analgésie locorégionale ou générale. La majorité des traitements antibiotiques ne justifient pas d’interrompre l’allaitement (accord professionnel). Les anxiolytiques de la classe des antihistaminiques H1 sédatifs tels que l’hydroxyzine ne doivent pas être prescrits en cas d’allaitement maternel (accord professionnel). Aucun examen d’imagerie (hors médecine nucléaire) ne justifie d’interrompre l’allaitement (accord professionnel). La consommation de tabac est déconseillée mais elle ne constitue pas une contre-indication à l’allaitement maternel (accord professionnel). Il est recommandé d’éviter la consommation de boissons alcoolisées (accord professionnel). En cas de consommation modérée et ponctuelle d’alcool, il est recommandé de respecter un délai minimum de 2heures avant la mise au sein (accord professionnel). La prise de cocaïne contre-indique l’allaitement maternel (accord professionnel), et l’allaitement maternel est déconseillé en cas de prise de cannabis (accord professionnel).
Conclusion
Rares sont les traitements médicamenteux qui ne sont pas compatibles avec l’allaitement qui peut être poursuivi dans la majorité des cas.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 3 [01/06/2016] . - p. 156-165[article] Allaitement maternel (partie IV) : usages des médicaments, diététique et addictions – recommandations pour la pratique clinique [Article] / L. Marcellin, Auteur ; A.A. Chantry, Auteur . - 2016 . - p. 156-165.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 3 [01/06/2016] . - p. 156-165
Mots-clés : ALCOOL
ALLAITEMENT MATERNEL
ANALGESIQUE
ANTIBIOTIQUE
ANTICOAGULANT
ANTIHYPERTENSEUR
CANNABIS
COCAINE
DIETETIQUE
DROGUE
MEDICAMENT
PSYCHOTROPE
TABAC
THERAPEUTIQUE MEDICAMENTEUSERésumé : Objectif
Décrire en cas d’allaitement maternel les aspects pratiques de l’utilisation des médicaments les plus couramment utilisés dans la période du post-partum, les mesures diététiques et la conduite à tenir en cas de conduite addictive.
Matériels et méthodes
Revue de la littérature entre 1972 et mai 2015 à partir des bases de données Medline, Google Scholar, Cochrane Library et des recommandations internationales des sociétés savantes.
Résultats
La précaution d’interrompre l’allaitement maternel en cas de prise médicamenteuse n’est pas justifiée dans de nombreuses situations (accord professionnel). L’aspirine est autorisée à dose « antiagrégante » alors qu’elle est contre-indiquée à dose antalgique ou anti-inflammatoire (accord professionnel). Les AINS ayant une demi-vie courte peuvent être utilisés (accord professionnel). Certaines précautions sont nécessaires en cas d’utilisation d’antalgiques de palier II et III (accord professionnel). Il n’est pas justifié de différer la mise en route de l’allaitement en cas d’analgésie locorégionale ou générale. La majorité des traitements antibiotiques ne justifient pas d’interrompre l’allaitement (accord professionnel). Les anxiolytiques de la classe des antihistaminiques H1 sédatifs tels que l’hydroxyzine ne doivent pas être prescrits en cas d’allaitement maternel (accord professionnel). Aucun examen d’imagerie (hors médecine nucléaire) ne justifie d’interrompre l’allaitement (accord professionnel). La consommation de tabac est déconseillée mais elle ne constitue pas une contre-indication à l’allaitement maternel (accord professionnel). Il est recommandé d’éviter la consommation de boissons alcoolisées (accord professionnel). En cas de consommation modérée et ponctuelle d’alcool, il est recommandé de respecter un délai minimum de 2heures avant la mise au sein (accord professionnel). La prise de cocaïne contre-indique l’allaitement maternel (accord professionnel), et l’allaitement maternel est déconseillé en cas de prise de cannabis (accord professionnel).
Conclusion
Rares sont les traitements médicamenteux qui ne sont pas compatibles avec l’allaitement qui peut être poursuivi dans la majorité des cas.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Association entre les intervalles d’augmentation de l’oxytocine pendant le travail et le risque d’hémorragie du post-partum / C. Loscul in Revue sage-femme (La), n° 5 ([01/11/2016])
[article]
Titre : Association entre les intervalles d’augmentation de l’oxytocine pendant le travail et le risque d’hémorragie du post-partum Type de document : Article Auteurs : C. Loscul, Auteur ; A.A. Chantry, Auteur ; L. Caubit, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 238-245 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCOUCHEMENT
HEMORRAGIE
HORMONE
POST PARTUMRésumé : Objectif
Évaluer l’association entre la durée des intervalles d’augmentation de l’oxytocine au cours du travail spontané et le risque d’hémorragies du post-partum (HPP).
Matériel et méthodes
Étude de cohorte rétrospective, de primipares en travail spontané ayant reçu de l’oxytocine pendant le travail (n =454). Les modalités d’administration de l’oxytocine ont été analysées, en particulier la durée des intervalles entre deux augmentations du débit d’oxytocine (
Résultats
La durée des intervalles d’augmentation de l’oxytocine était inférieure à 20minutes pour 43,8 % des patientes. Une durée des intervalles inférieure à 20minutes était associée à une incidence accrue des hémorragies du post-partum (9,1 % vs 3,5 % ; p =0,014), à une utilisation plus fréquente du sulprostone (6,5 % vs 3,5 % ; p =0,013). L’association entre la durée des intervalles inférieure à 20minutes et l’hémorragie du post-partum restait significative après ajustement sur les autres facteurs de risque d’HPP (OR ajusté=3,48, 95 % IC [1,45–8,34]). Le score d’Apgar et le pH à la naissance semblaient moins bons chez les nouveau-nés appartenant au groupe dont les intervalles étaient inférieurs à 20minutes (pH≤7,10 à la naissance ou score d’Apgar≤7 à 5minutes de vie, 12,1 % vs 4,3 % ; p =0,002).
Conclusion
Notre étude a montré une augmentation du risque d’hémorragies du post-partum lorsque les intervalles d’augmentation de l’oxytocine étaient inférieurs à 20minutes.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 5 [01/11/2016] . - p. 238-245[article] Association entre les intervalles d’augmentation de l’oxytocine pendant le travail et le risque d’hémorragie du post-partum [Article] / C. Loscul, Auteur ; A.A. Chantry, Auteur ; L. Caubit, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p. 238-245.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 5 [01/11/2016] . - p. 238-245
Mots-clés : ACCOUCHEMENT
HEMORRAGIE
HORMONE
POST PARTUMRésumé : Objectif
Évaluer l’association entre la durée des intervalles d’augmentation de l’oxytocine au cours du travail spontané et le risque d’hémorragies du post-partum (HPP).
Matériel et méthodes
Étude de cohorte rétrospective, de primipares en travail spontané ayant reçu de l’oxytocine pendant le travail (n =454). Les modalités d’administration de l’oxytocine ont été analysées, en particulier la durée des intervalles entre deux augmentations du débit d’oxytocine (
Résultats
La durée des intervalles d’augmentation de l’oxytocine était inférieure à 20minutes pour 43,8 % des patientes. Une durée des intervalles inférieure à 20minutes était associée à une incidence accrue des hémorragies du post-partum (9,1 % vs 3,5 % ; p =0,014), à une utilisation plus fréquente du sulprostone (6,5 % vs 3,5 % ; p =0,013). L’association entre la durée des intervalles inférieure à 20minutes et l’hémorragie du post-partum restait significative après ajustement sur les autres facteurs de risque d’HPP (OR ajusté=3,48, 95 % IC [1,45–8,34]). Le score d’Apgar et le pH à la naissance semblaient moins bons chez les nouveau-nés appartenant au groupe dont les intervalles étaient inférieurs à 20minutes (pH≤7,10 à la naissance ou score d’Apgar≤7 à 5minutes de vie, 12,1 % vs 4,3 % ; p =0,002).
Conclusion
Notre étude a montré une augmentation du risque d’hémorragies du post-partum lorsque les intervalles d’augmentation de l’oxytocine étaient inférieurs à 20minutes.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Complications fœtales et néonatales des grossesses prolongées / A.A. Chantry in Revue sage-femme (La), n° 1 ([01/02/2012])
[article]
Titre : Complications fœtales et néonatales des grossesses prolongées Type de document : Article Auteurs : A.A. Chantry, Auteur ; Emmanuel Lopez, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 54-62 Langues : Français (fre) Mots-clés : COMPLICATION
FOETUS
GROSSESSE
NEONATOLOGIE
PERINATALITE
RISQUERésumé : Objectif
Évaluer le risque de complications fœtales et néonatales en cas de grossesse prolongée.
Méthode
Recherche bibliographique effectuée par consultation de la banque de données PubMed et les recommandations des sociétés savantes.
Résultats
Le fœtus issu d’une grossesse prolongée (≥ 41+0 SA) présente une augmentation du risque de morbidité comme la macrosomie (poids de naissance>4000g), qui concerne près de 6 % des grossesses post-terme (≥42+0 SA) ou l’oligoamnios décrit dans près de 10 à 15 % des cas, qui s’accompagne lui-même d’anomalies du rythme cardiaque fœtal (ARCF) et d’émission méconiale in utero. La fréquence des décès fœtaux à partir de 42+0 SA est estimée entre 1,6 et 3,0 pour 1000 naissances vivantes selon les pays. Le nouveau-né post-terme (âge gestationnel ≥42+0 SA) comparé au nouveau-né à terme présente une augmentation du risque de pH artériel au cordon bas, de score d’Apgar inférieur à 7 à cinq minutes ou d’admissions en unité de soins intensifs néonatales et du risque d’asphyxie périnatale. Le nouveau-né post-terme présente un risque majoré de complications neurologiques (convulsions néonatales, encéphalopathie anoxo-ischémique, infirmité motrice cérébrale, troubles du développement psychomoteur et épilepsie dans l’enfance). Le risque de syndrome d’inhalation méconiale et de sepsis néonatal est augmenté chez le nouveau-né post-terme. Les nouveau-nés post-terme présentent une augmentation du risque de traumatismes obstétricaux (dystocie des épaules et fractures osseuses). La mortalité périnatale est plus importante chez le nouveau-né post-terme, surtout chez le nouveau-né post-terme hypotrophe. Les causes principales de décès néonataux sont l’asphyxie périnatale et le syndrome d’inhalation méconiale.
Conclusions
Le fœtus issu d’une grossesse prolongée et le nouveau-né post-terme présentent une augmentation du risque de morbidité et de mortalité périnatale.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 1 [01/02/2012] . - p. 54-62[article] Complications fœtales et néonatales des grossesses prolongées [Article] / A.A. Chantry, Auteur ; Emmanuel Lopez, Auteur . - 2012 . - p. 54-62.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 1 [01/02/2012] . - p. 54-62
Mots-clés : COMPLICATION
FOETUS
GROSSESSE
NEONATOLOGIE
PERINATALITE
RISQUERésumé : Objectif
Évaluer le risque de complications fœtales et néonatales en cas de grossesse prolongée.
Méthode
Recherche bibliographique effectuée par consultation de la banque de données PubMed et les recommandations des sociétés savantes.
Résultats
Le fœtus issu d’une grossesse prolongée (≥ 41+0 SA) présente une augmentation du risque de morbidité comme la macrosomie (poids de naissance>4000g), qui concerne près de 6 % des grossesses post-terme (≥42+0 SA) ou l’oligoamnios décrit dans près de 10 à 15 % des cas, qui s’accompagne lui-même d’anomalies du rythme cardiaque fœtal (ARCF) et d’émission méconiale in utero. La fréquence des décès fœtaux à partir de 42+0 SA est estimée entre 1,6 et 3,0 pour 1000 naissances vivantes selon les pays. Le nouveau-né post-terme (âge gestationnel ≥42+0 SA) comparé au nouveau-né à terme présente une augmentation du risque de pH artériel au cordon bas, de score d’Apgar inférieur à 7 à cinq minutes ou d’admissions en unité de soins intensifs néonatales et du risque d’asphyxie périnatale. Le nouveau-né post-terme présente un risque majoré de complications neurologiques (convulsions néonatales, encéphalopathie anoxo-ischémique, infirmité motrice cérébrale, troubles du développement psychomoteur et épilepsie dans l’enfance). Le risque de syndrome d’inhalation méconiale et de sepsis néonatal est augmenté chez le nouveau-né post-terme. Les nouveau-nés post-terme présentent une augmentation du risque de traumatismes obstétricaux (dystocie des épaules et fractures osseuses). La mortalité périnatale est plus importante chez le nouveau-né post-terme, surtout chez le nouveau-né post-terme hypotrophe. Les causes principales de décès néonataux sont l’asphyxie périnatale et le syndrome d’inhalation méconiale.
Conclusions
Le fœtus issu d’une grossesse prolongée et le nouveau-né post-terme présentent une augmentation du risque de morbidité et de mortalité périnatale.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Epidémiologie de la grossesse prolongée : incidence et morbidité maternelle / A.A. Chantry in Profession Sage-Femme, n° 183 ([01/03/2012])Permalink
UPMC, université Paris-6, 75006 Paris, France.