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Anomalies de la quantité de liquide amniotique / Manuel Souaied in Les Dossiers de l’obstétrique, n° 453 ([01/11/2015])
[article]
Titre : Anomalies de la quantité de liquide amniotique Type de document : Article Auteurs : Manuel Souaied, Auteur ; Olivier Picone, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 30-32 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANOMALIE
DIAGNOSTIC ANTENATAL
LIQUIDE AMNIOTIQUERésumé : L'évaluation de la quantité de liquide amniotique est un critère indispensable de l'échographie salon le CTE (Comité Technique de l’Échographie). En cas d'augmentation de la quantité de liquide, il faudra en priorité éliminer les anomalies empêchant une déglutition correcte du liquide amniotique par le fœtus ou un diabète. En cas de diminution ou oligoamnios, il faudra éliminer en priorité une rupture de la poche des eaux et une anomalie rénale fœtale. L'évaluation correcte de la quantité du liquide amniotique doit être rigoureuse pour ne pas suspecter par excès des pathologies. Cote : . Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Les Dossiers de l’obstétrique > n° 453 [01/11/2015] . - p. 30-32[article] Anomalies de la quantité de liquide amniotique [Article] / Manuel Souaied, Auteur ; Olivier Picone, Auteur . - 2015 . - p. 30-32.
Langues : Français (fre)
in Les Dossiers de l’obstétrique > n° 453 [01/11/2015] . - p. 30-32
Mots-clés : ANOMALIE
DIAGNOSTIC ANTENATAL
LIQUIDE AMNIOTIQUERésumé : L'évaluation de la quantité de liquide amniotique est un critère indispensable de l'échographie salon le CTE (Comité Technique de l’Échographie). En cas d'augmentation de la quantité de liquide, il faudra en priorité éliminer les anomalies empêchant une déglutition correcte du liquide amniotique par le fœtus ou un diabète. En cas de diminution ou oligoamnios, il faudra éliminer en priorité une rupture de la poche des eaux et une anomalie rénale fœtale. L'évaluation correcte de la quantité du liquide amniotique doit être rigoureuse pour ne pas suspecter par excès des pathologies. Cote : . Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Covid-19 / Nour Richard-Guerroudj in Profession Sage-Femme, n° 265 ([01/10/2020])
[article]
Titre : Covid-19 Type de document : Article Auteurs : Nour Richard-Guerroudj, Auteur ; Géraldine Magnan, Auteur ; Olivier Picone, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 19-28 Langues : Français (fre) Mots-clés : AUSTRALIE
COVID-19
GROSSESSE
MAISON DE NAISSANCE
ORDRE PROFESSIONNEL
PRISE EN CHARGE
SAGE-FEMME
VECURésumé : Sommaire :
- Soigner avec le virus
- "La profession est lasse et en colère"
-"le retour au combat est difficile"
- La maison de naissance de Nancy, un îlot préservé
- Comment les Australiennes ont-elles vécu leur grossesse ?Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Profession Sage-Femme > n° 265 [01/10/2020] . - p. 19-28[article] Covid-19 [Article] / Nour Richard-Guerroudj, Auteur ; Géraldine Magnan, Auteur ; Olivier Picone, Auteur . - 2020 . - p. 19-28.
Langues : Français (fre)
in Profession Sage-Femme > n° 265 [01/10/2020] . - p. 19-28
Mots-clés : AUSTRALIE
COVID-19
GROSSESSE
MAISON DE NAISSANCE
ORDRE PROFESSIONNEL
PRISE EN CHARGE
SAGE-FEMME
VECURésumé : Sommaire :
- Soigner avec le virus
- "La profession est lasse et en colère"
-"le retour au combat est difficile"
- La maison de naissance de Nancy, un îlot préservé
- Comment les Australiennes ont-elles vécu leur grossesse ?Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Covid-19 et grossesse / Olivier Picone in Les Dossiers de l’obstétrique, n° 523 ([01/05/2022])
[article]
Titre : Covid-19 et grossesse Type de document : Article Auteurs : Olivier Picone, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 29-37 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCOUCHEMENT
COVID-19
GROSSESSE
VACCINATIONRésumé : La COVID est une maladie grave pendant la grossesse. En effet, par rapport à des femmes non enceintes du même âge, les femmes enceintes ont plus de risque d'aller en soins intensifs et d'avoir une ventilation mécanique. La COVID peut également engendrer des atteintes placentaires, soit par l'inflammation générale, soit par l'atteinte du virus. Toutefois, atteinte placentaire ne signifie pas forcément qu'il y a atteinte fœtale. Le risque de transmission maternelle semble quant à lui se produire lorsque la patiente fait une forme grave.
L'hospitalisation ne doit pas être systématique. Elle est préconisée dans le cas où la patiente désature en air ambiant, en cas de trachypnée supérieure à 22 cycles par minute, en cas d'atteinte basse, ou s'il y a des comorbidités en plus de la grossesse. Si la patiente n'est pas hospitalisée, il faut évidemment qu'elle s'en tienne aux principes habituels d'isolement et de port du masque, et l'éduquer sur les signes qui doivent l'amener à consulter. Elle est contactée toutes les 24 à 48 heures pendant une semaine pour vraiment dépister le risque d'aggravation secondaire. Pour ce qui est de l'accouchement, la voie basse est possible , selon l'état maternel.
Aucun traitement spécifique n'a fait preuve de son efficacité jusqu’à maintenant. Seul un traitement symptomatique est mis en place, et une anticoagulation est toutefois requise et doit être corrélée aux risques thrombogènes individuels.
La SARS-CoV-2 représente un vrai défi pour la femme enceinte, avec un risque maternel qui est avéré. Cela requiert une organisation et une prise en charge qui est maintenant bien réglée. Le risque de maladie thromboembolique, de pré-éclampsie, d'hémorragie du post-partum notamment quand la patiente accouche dans la phase aiguë...sont autant de choses auxquelles il faut faire particulièrement attention. La vaccination est par conséquent hautement préconisée chez la femme enceinte pour réduire tous ces risques, d'autant plus qu'il est désormais clair que le vaccin n'a pas d'effet délétère pendant la grossesse.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Les Dossiers de l’obstétrique > n° 523 [01/05/2022] . - p. 29-37[article] Covid-19 et grossesse [Article] / Olivier Picone, Auteur . - 2022 . - p. 29-37.
Langues : Français (fre)
in Les Dossiers de l’obstétrique > n° 523 [01/05/2022] . - p. 29-37
Mots-clés : ACCOUCHEMENT
COVID-19
GROSSESSE
VACCINATIONRésumé : La COVID est une maladie grave pendant la grossesse. En effet, par rapport à des femmes non enceintes du même âge, les femmes enceintes ont plus de risque d'aller en soins intensifs et d'avoir une ventilation mécanique. La COVID peut également engendrer des atteintes placentaires, soit par l'inflammation générale, soit par l'atteinte du virus. Toutefois, atteinte placentaire ne signifie pas forcément qu'il y a atteinte fœtale. Le risque de transmission maternelle semble quant à lui se produire lorsque la patiente fait une forme grave.
L'hospitalisation ne doit pas être systématique. Elle est préconisée dans le cas où la patiente désature en air ambiant, en cas de trachypnée supérieure à 22 cycles par minute, en cas d'atteinte basse, ou s'il y a des comorbidités en plus de la grossesse. Si la patiente n'est pas hospitalisée, il faut évidemment qu'elle s'en tienne aux principes habituels d'isolement et de port du masque, et l'éduquer sur les signes qui doivent l'amener à consulter. Elle est contactée toutes les 24 à 48 heures pendant une semaine pour vraiment dépister le risque d'aggravation secondaire. Pour ce qui est de l'accouchement, la voie basse est possible , selon l'état maternel.
Aucun traitement spécifique n'a fait preuve de son efficacité jusqu’à maintenant. Seul un traitement symptomatique est mis en place, et une anticoagulation est toutefois requise et doit être corrélée aux risques thrombogènes individuels.
La SARS-CoV-2 représente un vrai défi pour la femme enceinte, avec un risque maternel qui est avéré. Cela requiert une organisation et une prise en charge qui est maintenant bien réglée. Le risque de maladie thromboembolique, de pré-éclampsie, d'hémorragie du post-partum notamment quand la patiente accouche dans la phase aiguë...sont autant de choses auxquelles il faut faire particulièrement attention. La vaccination est par conséquent hautement préconisée chez la femme enceinte pour réduire tous ces risques, d'autant plus qu'il est désormais clair que le vaccin n'a pas d'effet délétère pendant la grossesse.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Évaluation de l’amniocentèse au troisième trimestre pour le dépistage des anomalies chromosomiques chez les patientes n’acceptant pas le risque de perte fœtale / Olivier Picone in Revue sage-femme (La), n°5 ([01/11/2008])
[article]
Titre : Évaluation de l’amniocentèse au troisième trimestre pour le dépistage des anomalies chromosomiques chez les patientes n’acceptant pas le risque de perte fœtale Type de document : Article Auteurs : Olivier Picone, Auteur ; F. Fuchs, Auteur ; M.-V. Senat, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 261-267 Langues : Français (fre) Mots-clés : AMNIOCENTESE
ANOMALIE
CHROMOSOME
EVALUATION
GROSSESSERésumé : Objectifs
L’objectif de cet étude est d’évaluer les complications de l’amniocentèse tardive pour caryotype fœtal chez les patientes n’acceptant pas le risque de fausse couche spontanée de l’amniocentèse du deuxième trimestre de la grossesse, en l’absence de malformation fœtale.
Matériels et méthodes
Une étude rétrospective a été realisée de janvier 1998 à décembre 2006, portant sur 182patientes enceintes d’une grossesse unique ayant eu une amniocentèse du troisième trimestre pour caryotype fœtal et ayant refusé une biopsie de trophoblaste ou une amniocentèse au deuxième trimestre. Les indications étaient les suivants : risque intégré (âge maternel, mesure de la clarté nucale sur l’échographie du premier trimestre, marqueurs biologiques du deuxième trimestre) supérieur à 1/250 (n =68), âge maternel supérieur à 38ans isolé (n =51), marqueurs biologiques du deuxième trimestre supérieurs à 1/250 isolés (n =34), antécédents d’anomalies chromosomiques personnel ou familial (n =21) ou désir maternel (n =8). Toutes les patientes ont bénéficié de l’analyse par immunofluorescence in situ (Fish). La présence d’une malformation fœtale et/ou d’un retard de croissance dépistés à l’échographie ou enfin d’une séroconversion virale ou parasitaire en cours de grossesse indiquant la réalisation d’un caryotype constituaient un critère de non-inclusion dans l’étude.
Résultats
L’âge moyen des patientes ainsi que l’âge gestationnel lors de l’amniocentèse étaient respectivement de 39ans (extrêmes : 23–48) et 32 semaines d’aménorrhées (SA) plus quatre jours (29SA plus cinq jours à 37SA plus six jours). Le délai moyen entre l’amniocentèse et le résultat définitif du caryotype d’une part et l’accouchement d’autre part étaient respectivement de 15jours (7–42) et 47jours (8–69). Aucune anomalie chromosomique n’a été retrouvée sur les caryotypes analysés et aucune interruption médicale de grossesse n’a été réalisée. Neuf patientes sur les 182 (5 %) ont eu un travail spontané, suivi d’un accouchement avant 37SA et six (3,3 %) parmi ces neuf avaient rompu, préalablement, la poche des eaux. Sur les 182patientes, quatre (2 %) ont accouché avant le résultat définitif (culture) du caryotype mais toutes avaient une réalisation d’un examen direct du caryotype par Fish avec un résultat normal connu avant l’accouchement.
Conclusion
Au total, 3,3 % des patientes ont eu une rupture de la poche des eaux avant 37SA, et 5 % des patientes ont accouché avant 37SA. Cette technique permet de s’assurer de l’absence d’anomalie chromosomique chez des patientes n’acceptant pas les risques de perte fœtale liées à une amniocentèse au deuxième trimestre. Elle ne doit cependant être appliquée qu’à des situations particulières et dans des pays où la législation autorise une interruption médicale de grossesse tardive.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n°5 [01/11/2008] . - p. 261-267[article] Évaluation de l’amniocentèse au troisième trimestre pour le dépistage des anomalies chromosomiques chez les patientes n’acceptant pas le risque de perte fœtale [Article] / Olivier Picone, Auteur ; F. Fuchs, Auteur ; M.-V. Senat, Auteur ; et al., Auteur . - 2008 . - p. 261-267.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n°5 [01/11/2008] . - p. 261-267
Mots-clés : AMNIOCENTESE
ANOMALIE
CHROMOSOME
EVALUATION
GROSSESSERésumé : Objectifs
L’objectif de cet étude est d’évaluer les complications de l’amniocentèse tardive pour caryotype fœtal chez les patientes n’acceptant pas le risque de fausse couche spontanée de l’amniocentèse du deuxième trimestre de la grossesse, en l’absence de malformation fœtale.
Matériels et méthodes
Une étude rétrospective a été realisée de janvier 1998 à décembre 2006, portant sur 182patientes enceintes d’une grossesse unique ayant eu une amniocentèse du troisième trimestre pour caryotype fœtal et ayant refusé une biopsie de trophoblaste ou une amniocentèse au deuxième trimestre. Les indications étaient les suivants : risque intégré (âge maternel, mesure de la clarté nucale sur l’échographie du premier trimestre, marqueurs biologiques du deuxième trimestre) supérieur à 1/250 (n =68), âge maternel supérieur à 38ans isolé (n =51), marqueurs biologiques du deuxième trimestre supérieurs à 1/250 isolés (n =34), antécédents d’anomalies chromosomiques personnel ou familial (n =21) ou désir maternel (n =8). Toutes les patientes ont bénéficié de l’analyse par immunofluorescence in situ (Fish). La présence d’une malformation fœtale et/ou d’un retard de croissance dépistés à l’échographie ou enfin d’une séroconversion virale ou parasitaire en cours de grossesse indiquant la réalisation d’un caryotype constituaient un critère de non-inclusion dans l’étude.
Résultats
L’âge moyen des patientes ainsi que l’âge gestationnel lors de l’amniocentèse étaient respectivement de 39ans (extrêmes : 23–48) et 32 semaines d’aménorrhées (SA) plus quatre jours (29SA plus cinq jours à 37SA plus six jours). Le délai moyen entre l’amniocentèse et le résultat définitif du caryotype d’une part et l’accouchement d’autre part étaient respectivement de 15jours (7–42) et 47jours (8–69). Aucune anomalie chromosomique n’a été retrouvée sur les caryotypes analysés et aucune interruption médicale de grossesse n’a été réalisée. Neuf patientes sur les 182 (5 %) ont eu un travail spontané, suivi d’un accouchement avant 37SA et six (3,3 %) parmi ces neuf avaient rompu, préalablement, la poche des eaux. Sur les 182patientes, quatre (2 %) ont accouché avant le résultat définitif (culture) du caryotype mais toutes avaient une réalisation d’un examen direct du caryotype par Fish avec un résultat normal connu avant l’accouchement.
Conclusion
Au total, 3,3 % des patientes ont eu une rupture de la poche des eaux avant 37SA, et 5 % des patientes ont accouché avant 37SA. Cette technique permet de s’assurer de l’absence d’anomalie chromosomique chez des patientes n’acceptant pas les risques de perte fœtale liées à une amniocentèse au deuxième trimestre. Elle ne doit cependant être appliquée qu’à des situations particulières et dans des pays où la législation autorise une interruption médicale de grossesse tardive.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Ouvrage Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Rubéole et grossesse / Olivier Picone in Les Dossiers de l’obstétrique, n° 451 ([01/08/2015])
[article]
Titre : Rubéole et grossesse Type de document : Article Auteurs : Olivier Picone, Auteur ; C. Vauloup-Fellous, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 29-30 Langues : Français (fre) Mots-clés : GROSSESSE
RUBEOLERésumé : La rubéole est une infection bénigne dont la transmission est interhumaine par voie respiratoire. La contagiosité dure de 8 jours avant à 8 jours après l’éruption. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Les Dossiers de l’obstétrique > n° 451 [01/08/2015] . - p. 29-30[article] Rubéole et grossesse [Article] / Olivier Picone, Auteur ; C. Vauloup-Fellous, Auteur . - 2015 . - p. 29-30.
Langues : Français (fre)
in Les Dossiers de l’obstétrique > n° 451 [01/08/2015] . - p. 29-30
Mots-clés : GROSSESSE
RUBEOLERésumé : La rubéole est une infection bénigne dont la transmission est interhumaine par voie respiratoire. La contagiosité dure de 8 jours avant à 8 jours après l’éruption. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible
Inserm, U 782, endocrinologie et génétique de la reproduction et du développement, 92140 Clamart cedex, France.