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DIFFICULTE DE L'ACCOMPAGNEMENT DU VIEILLISSEMENT EN INSTITUTION CENTRE SUR LE SUJET / G. Agozzino in Ethique et santé, n° 3 ([01/09/2010])

Public ISBD [article]  inEthique et santé > n° 3 [01/09/2010] . - p. 134-140 Titre : DIFFICULTE DE L'ACCOMPAGNEMENT DU VIEILLISSEMENT EN INSTITUTION CENTRE SUR LE SUJET Type de document : Article Auteurs : G. Agozzino, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 134-140 Langues : Français (fre) Mots-clés : ALZHEIMER (MALADIE DE) IDENTITE PSYCHANALYSE PSYCHOPATHOLOGIE Résumé : L’homéostasie identitaire et la prévention des démences séniles. Mon hypothèse met en avant l’idée que l’équilibre psychique du sujet est fonction des déterminants internes et externes qui lui confèrent ce qu’il possède de plus intime, d’unique, au même titre que ses empreintes digitales, à savoir : son identité. Cette stabilité nécessaire au bon fonctionnement de la psyché je l’ai appelée « homéostasie identitaire » afin qu’il y ait correspondance avec la part biologique de l’être humain. C’est le langage (la langue parlée) qui façonne l’identité du sujet : celle-ci naît dans les échanges langagiers. Dans mon hypothèse, le langage est pris au pied de la lettre. Il s’agit de démontrer en quoi l’apprentissage des mots (des structures grammaticales et syntaxiques) et leur résonance va préparer l’enfant à s’assimiler au milieu dans lequel il évolue. Dans l’ensemble des mécanismes identitaires, il faut y inclure, « à place égale », la parole (facteur de socialisation) en tant que composante sociale. C’est cette composante sociale qui, dans mon hypothèse, détermine l’identité du sujet. La parole m’interpelle doublement : elle me « parle » parce que je la comprends et elle m’exprime tout en me permettant de m’exprimer. Elle exprime mon humanité (mon appartenance à cette humanité). Et pour cela, ou par cela, mon humanité est réductible : elle se réduit si ma parole ou la parole autour de moi se réduit et peut-être disparaît-elle si la parole autour de moi disparaît. Notre propos est d’insister sur le postulat suivant : « pour exister, l’humain à besoin de se conformer à être ce que l’on dit qu’il est ». En effet, les rôles sociaux sont des rôles attendus : notre langage, articulé et non verbal signifie à l’enfant la place qui est la sienne et celle où on l’attend plus tard. Nous sommes bien dans la relation langagière qui « prescrit » et qui « proscrit » : celui qui prend la parole prend une place et donne une place à l’autre. La relation langagière ouvre la porte à bien des disciplines qui nous permettent de mieux comprendre comment nous nous fabriquons les uns les autres. Ancien numéro de notice : 8359703 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] DIFFICULTE DE L'ACCOMPAGNEMENT DU VIEILLISSEMENT EN INSTITUTION CENTRE SUR LE SUJET [Article] / G. Agozzino, Auteur . - 2010 . - p. 134-140. Langues : Français (fre) in Ethique et santé > n° 3 [01/09/2010] . - p. 134-140 Mots-clés : ALZHEIMER (MALADIE DE) IDENTITE PSYCHANALYSE PSYCHOPATHOLOGIE Résumé : L’homéostasie identitaire et la prévention des démences séniles. Mon hypothèse met en avant l’idée que l’équilibre psychique du sujet est fonction des déterminants internes et externes qui lui confèrent ce qu’il possède de plus intime, d’unique, au même titre que ses empreintes digitales, à savoir : son identité. Cette stabilité nécessaire au bon fonctionnement de la psyché je l’ai appelée « homéostasie identitaire » afin qu’il y ait correspondance avec la part biologique de l’être humain. C’est le langage (la langue parlée) qui façonne l’identité du sujet : celle-ci naît dans les échanges langagiers. Dans mon hypothèse, le langage est pris au pied de la lettre. Il s’agit de démontrer en quoi l’apprentissage des mots (des structures grammaticales et syntaxiques) et leur résonance va préparer l’enfant à s’assimiler au milieu dans lequel il évolue. Dans l’ensemble des mécanismes identitaires, il faut y inclure, « à place égale », la parole (facteur de socialisation) en tant que composante sociale. C’est cette composante sociale qui, dans mon hypothèse, détermine l’identité du sujet. La parole m’interpelle doublement : elle me « parle » parce que je la comprends et elle m’exprime tout en me permettant de m’exprimer. Elle exprime mon humanité (mon appartenance à cette humanité). Et pour cela, ou par cela, mon humanité est réductible : elle se réduit si ma parole ou la parole autour de moi se réduit et peut-être disparaît-elle si la parole autour de moi disparaît. Notre propos est d’insister sur le postulat suivant : « pour exister, l’humain à besoin de se conformer à être ce que l’on dit qu’il est ». En effet, les rôles sociaux sont des rôles attendus : notre langage, articulé et non verbal signifie à l’enfant la place qui est la sienne et celle où on l’attend plus tard. Nous sommes bien dans la relation langagière qui « prescrit » et qui « proscrit » : celui qui prend la parole prend une place et donne une place à l’autre. La relation langagière ouvre la porte à bien des disciplines qui nous permettent de mieux comprendre comment nous nous fabriquons les uns les autres. Ancien numéro de notice : 8359703 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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LA SINGULARITE DE L'IMAGE MEDICALE. QUATRE PROPOSITIONS ET UNE QUESTION / D. Liotta in Ethique et santé, n° 3 ([01/09/2010])

Public ISBD [article]  inEthique et santé > n° 3 [01/09/2010] . - p. 128-133 Titre : LA SINGULARITE DE L'IMAGE MEDICALE. QUATRE PROPOSITIONS ET UNE QUESTION Type de document : Article Auteurs : D. Liotta, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 128-133 Langues : Français (fre) Mots-clés : ART CORPS IMAGE IMAGERIE MEDICALE SUBJECTIVITE Résumé : Afin de déterminer la singularité de l’imagerie médicale, il faut situer son émergence au sein d’un moment de l’histoire de la médecine qui dévalorise la subjectivité et la parole au profit de l’exploration instruite et artificielle du corps. Or, ce signe visuel qu’est l’image médicale ne présente aucune singularité épistémologique, ni médicale. Sa seule singularité est d’imposer au patient une représentation du corps opposée à l’image de soi, illusoire et nécessaire, que le sujet désire maintenir. La relation du médecin à ce désir, qu’il faut entendre mais auquel il ne faut point se soumettre, pose un problème éthique singulier. Il pose aussi un problème esthétique. En effet, l’imagerie médicale se distingue de l’image artistique par deux systèmes d’alternative qui mettent chacun en jeu, sur un mode chaque fois singulier, le désir du sujet face à l’image. La question se pose alors d’une inscription possible du désir, et donc de la subjectivité, au sein de l’image médicale. Ancien numéro de notice : 8359503 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] LA SINGULARITE DE L'IMAGE MEDICALE. QUATRE PROPOSITIONS ET UNE QUESTION [Article] / D. Liotta, Auteur . - 2010 . - p. 128-133. Langues : Français (fre) in Ethique et santé > n° 3 [01/09/2010] . - p. 128-133 Mots-clés : ART CORPS IMAGE IMAGERIE MEDICALE SUBJECTIVITE Résumé : Afin de déterminer la singularité de l’imagerie médicale, il faut situer son émergence au sein d’un moment de l’histoire de la médecine qui dévalorise la subjectivité et la parole au profit de l’exploration instruite et artificielle du corps. Or, ce signe visuel qu’est l’image médicale ne présente aucune singularité épistémologique, ni médicale. Sa seule singularité est d’imposer au patient une représentation du corps opposée à l’image de soi, illusoire et nécessaire, que le sujet désire maintenir. La relation du médecin à ce désir, qu’il faut entendre mais auquel il ne faut point se soumettre, pose un problème éthique singulier. Il pose aussi un problème esthétique. En effet, l’imagerie médicale se distingue de l’image artistique par deux systèmes d’alternative qui mettent chacun en jeu, sur un mode chaque fois singulier, le désir du sujet face à l’image. La question se pose alors d’une inscription possible du désir, et donc de la subjectivité, au sein de l’image médicale. Ancien numéro de notice : 8359503 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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LA TARIFICATION A L'ACTIVITE (T2A) : UNE MAL-MESURE ? / F. Berard in Ethique et santé, n° 3 ([01/09/2010])

Public ISBD [article]  inEthique et santé > n° 3 [01/09/2010] . - p. 141-161 Titre : LA TARIFICATION A L'ACTIVITE (T2A) : UNE MAL-MESURE ? Type de document : Article Auteurs : F. Berard, Auteur ; Didier Sicard, Auteur ; D. de Geeter-Delrot, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 141-161 Langues : Français (fre) Mots-clés : EVALUATION EXCLUSION SOCIALE EXPERIENCE FINANCEMENT GESTION GOUVERNANCE HOPITAL INNOVATION PERFORMANCE PRATIQUE INFIRMIERE RECUEIL DE DONNEES T2A Résumé : Sommaire du dossier : - Tarification à l'activité et nouvelle gouvernance - L'évolution éthique à l'hôpital à l'heure de la tarification à l'activité - "Du soignant OU de la gestion, au soignant ET la gestion" Ancien numéro de notice : 8360303 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] LA TARIFICATION A L'ACTIVITE (T2A) : UNE MAL-MESURE ? [Article] / F. Berard, Auteur ; Didier Sicard, Auteur ; D. de Geeter-Delrot, Auteur . - 2010 . - p. 141-161. Langues : Français (fre) in Ethique et santé > n° 3 [01/09/2010] . - p. 141-161 Mots-clés : EVALUATION EXCLUSION SOCIALE EXPERIENCE FINANCEMENT GESTION GOUVERNANCE HOPITAL INNOVATION PERFORMANCE PRATIQUE INFIRMIERE RECUEIL DE DONNEES T2A Résumé : Sommaire du dossier : - Tarification à l'activité et nouvelle gouvernance - L'évolution éthique à l'hôpital à l'heure de la tarification à l'activité - "Du soignant OU de la gestion, au soignant ET la gestion" Ancien numéro de notice : 8360303 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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LE LEGISLATEUR REVIENDRA-T-IL SUR SA DECISION LORS DU REEXAMEN DE LA LOI BIOETHIQUE EN 2010 ? "BEBE-MEDICAMENT" OU "BEBE-INSTRUMENT" ? / P.-O. Arduin in Ethique et santé, n° 3 ([01/09/2010])

Public ISBD [article]  inEthique et santé > n° 3 [01/09/2010] . - p. 123-127 Titre : LE LEGISLATEUR REVIENDRA-T-IL SUR SA DECISION LORS DU REEXAMEN DE LA LOI BIOETHIQUE EN 2010 ? "BEBE-MEDICAMENT" OU "BEBE-INSTRUMENT" ? Type de document : Article Auteurs : P.-O. Arduin, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 123-127 Langues : Français (fre) Mots-clés : BIOETHIQUE DROITS DE L'ENFANT ETHIQUE IMPLANT NOUVEAU-NE SANG DE CORDON TRANSFUSION SANGUINE Résumé : Le bébé-médicament désigne un enfant conçu dans le but de guérir un frère ou une sœur aîné souffrant d’une maladie génétique familiale grâce aux cellules souches prélevées dans le sang du cordon ombilical recueilli à sa naissance. En France, le décret du 23 décembre 2006 stipule que la technique, qui met en œuvre un double diagnostic préimplantatoire, n’est autorisée qu’« à titre expérimental ». La réduction de l’enfant médicament à un objet jugé à l’aune de son utilité technique et les contraintes psychologiques qui pourront peser sur lui suscitent un questionnement éthique légitime quant au bien-fondé de cette pratique. Le réseau international des banques de sang de cordon la rendrait, en outre, inutile sur le plan médical. Le législateur reviendra-t-il sur sa décision lors du réexamen de la loi de bioéthique en 2010? Ancien numéro de notice : 8359003 Cote : . Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] LE LEGISLATEUR REVIENDRA-T-IL SUR SA DECISION LORS DU REEXAMEN DE LA LOI BIOETHIQUE EN 2010 ? "BEBE-MEDICAMENT" OU "BEBE-INSTRUMENT" ? [Article] / P.-O. Arduin, Auteur . - 2010 . - p. 123-127. Langues : Français (fre) in Ethique et santé > n° 3 [01/09/2010] . - p. 123-127 Mots-clés : BIOETHIQUE DROITS DE L'ENFANT ETHIQUE IMPLANT NOUVEAU-NE SANG DE CORDON TRANSFUSION SANGUINE Résumé : Le bébé-médicament désigne un enfant conçu dans le but de guérir un frère ou une sœur aîné souffrant d’une maladie génétique familiale grâce aux cellules souches prélevées dans le sang du cordon ombilical recueilli à sa naissance. En France, le décret du 23 décembre 2006 stipule que la technique, qui met en œuvre un double diagnostic préimplantatoire, n’est autorisée qu’« à titre expérimental ». La réduction de l’enfant médicament à un objet jugé à l’aune de son utilité technique et les contraintes psychologiques qui pourront peser sur lui suscitent un questionnement éthique légitime quant au bien-fondé de cette pratique. Le réseau international des banques de sang de cordon la rendrait, en outre, inutile sur le plan médical. Le législateur reviendra-t-il sur sa décision lors du réexamen de la loi de bioéthique en 2010? Ancien numéro de notice : 8359003 Cote : . Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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