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Auteur Norbert Winer |
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Prescription hors AMM des inhibiteurs calciques à visée tocolytique : groupe de travail du CNGOF (texte court) / Norbert Winer in Revue sage-femme (La), n° 3 ([01/06/2015])
[article]
Titre : Prescription hors AMM des inhibiteurs calciques à visée tocolytique : groupe de travail du CNGOF (texte court) Type de document : Article Auteurs : Norbert Winer, Auteur ; T. Bejan-Angoulvant, Auteur ; Elodie Clouqueur, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 110-113 Langues : Français (fre) Mots-clés : EFFET SECONDAIRE
GROSSESSE
GYNECOLOGIE
INHIBITION
OBSTETRIQUE
PHARMACOLOGIE
RECOMMANDATION POUR LA PRATIQUE CLINIQUERésumé : La tocolyse ne fait pas partie des indications reconnues dans l’Autorisation de mise sur le marché (AMM)
des inhibiteurs des canaux calciques (ICC) en France. Pourtant, paradoxalement, ils apparaissent comme l’un des traitements tocolytiques utilisables en première intention dans les recommandations pour la pratique clinique française (Collège national des gynécologues et obstétriciens français [CNGOF]) de 2002 et dans les principales recommandations internationales récentes (American College of Obstetricians and Gynecologists aux États-Unis en 2012 et Royal College of Obstetricians and Gynaecologists en Grande Bretagne en 2012, notamment).
Le but de ce travail est de faire l’état des lieux sur l’utilisation des inhibiteurs calciques en tant que tocolytiques, de déterminer si des indications peuvent être identifiées et, dans ce cas, de définir les conditions de leur utilisation.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 3 [01/06/2015] . - p. 110-113[article] Prescription hors AMM des inhibiteurs calciques à visée tocolytique : groupe de travail du CNGOF (texte court) [Article] / Norbert Winer, Auteur ; T. Bejan-Angoulvant, Auteur ; Elodie Clouqueur, Auteur ; et al., Auteur . - 2015 . - p. 110-113.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 3 [01/06/2015] . - p. 110-113
Mots-clés : EFFET SECONDAIRE
GROSSESSE
GYNECOLOGIE
INHIBITION
OBSTETRIQUE
PHARMACOLOGIE
RECOMMANDATION POUR LA PRATIQUE CLINIQUERésumé : La tocolyse ne fait pas partie des indications reconnues dans l’Autorisation de mise sur le marché (AMM)
des inhibiteurs des canaux calciques (ICC) en France. Pourtant, paradoxalement, ils apparaissent comme l’un des traitements tocolytiques utilisables en première intention dans les recommandations pour la pratique clinique française (Collège national des gynécologues et obstétriciens français [CNGOF]) de 2002 et dans les principales recommandations internationales récentes (American College of Obstetricians and Gynecologists aux États-Unis en 2012 et Royal College of Obstetricians and Gynaecologists en Grande Bretagne en 2012, notamment).
Le but de ce travail est de faire l’état des lieux sur l’utilisation des inhibiteurs calciques en tant que tocolytiques, de déterminer si des indications peuvent être identifiées et, dans ce cas, de définir les conditions de leur utilisation.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Que reste-t-il des indications de la radiopelvimétrie? / Norbert Winer in Profession Sage-Femme, n° 187 ([01/07/2012])
[article]
Titre : Que reste-t-il des indications de la radiopelvimétrie? Type de document : Article Auteurs : Norbert Winer, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 26-35 Langues : Français (fre) Mots-clés : BASSIN
CESARIENNE
ETUDE
GROSSESSE
GROSSESSE MULTIPLE
IMAGERIE MEDICALE
IRRADIATION
PRESENTATION PAR LE SIEGE
RECOMMANDATION
RISQUE
SAGE-FEMMERésumé : La radiopelvimétrie ou pelviscan est une technique d'imagerie qui peut permettre à l'obstétricien d'évaluer de façon objective la forme et les dimensions du bassin osseux. Son utilisation ne doit pas être généralisée, mais peut dans certains cas, apporter une aide supplémentaire pour apprécier le pronostic obstétrical de l'accouchement. Pour accepter l'accouchement à terme chez une femme dont le fœtus est en présentation du siège, en particulier chez la primipare, la radiopelvimétrie couplée à l'estimation du poids foetal fait partie du bilan initial nécessaire.
En cas de suspicion de disproportion foetopelvienne, cet examen ne modifie pas l'état néonatal, augmente le taux de césariennes et doit être évité de façon systématique en cas de présentation céphalique, compte tenu de l'absence de preuve apportée par son utilisation élargie.
La radiopelvimétrie proposée chez des femmes ayant un utérus cicatriciel ne doit pas non plus être systématique, car elle ne prédit ni l'issue du travail, ni le risque de rupture utérine et n'améliore par la morbimortalité périnatale. Elle ne fait donc pas partie du bilan obligatoire pour accepter une épreuve du travail. Cependant, la confrontation foetopelvienne associant les mesures du bassin, les dimensions biométriques du foetus et le contexte clinique peuvent parfois aider le choix obstétrical pour proposer ou non une césarienne élective.
Dans l'accouchement des jumeaux, il y a peu de problèmes de disproportion foetopelvienne, le terme et le poids des enfants étant généralement inférieurs à la moyenne des grossesses uniques. Cependant, en cas de présentation d'un des jumeaux en siège ou transverse et de choix de version par manoeuvre interne et de grande extraction d'un deuxième jumeau en présentation céphalique, la question d'une pelvimétrie peut dans certains cas s'avérer prudente avant l'accouchement d'une primigeste pour s'assurer de la normalité du bassin.
Il n'y a cependant aucun argument dans la littérature pour recommander la radiopelvimétrie systématique pour l'accouchement, quelle que soit la présentation des jumeaux :
-avant 37 SA : il n'y a pas d'indication à faire une radiopelvimétrie systématique ;
-après 37 SA : il n'y a pas de recommandation en faveur d'une radiopelvimétrie obligatoire.
Plus on avance en terme (au-delà de 37 SA), et en cas de macrosomie et/ou d'un poids foetal estimé de J2>J1, une radiopelvimétrie pourra être utile, en particulier chez la primipare.
Le risque lié à l'irradation in utero est faible, néanmoins de publications suggèrent une relation entre l'augmentation du risque oncogène et de leucémie chez le futur enfant ou adulte justifiant une prudence raisonnée et de ne pas proposer cet examen trop largement sans tenir compte du réel bénéfice escompté.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Profession Sage-Femme > n° 187 [01/07/2012] . - p. 26-35[article] Que reste-t-il des indications de la radiopelvimétrie? [Article] / Norbert Winer, Auteur . - 2012 . - p. 26-35.
Langues : Français (fre)
in Profession Sage-Femme > n° 187 [01/07/2012] . - p. 26-35
Mots-clés : BASSIN
CESARIENNE
ETUDE
GROSSESSE
GROSSESSE MULTIPLE
IMAGERIE MEDICALE
IRRADIATION
PRESENTATION PAR LE SIEGE
RECOMMANDATION
RISQUE
SAGE-FEMMERésumé : La radiopelvimétrie ou pelviscan est une technique d'imagerie qui peut permettre à l'obstétricien d'évaluer de façon objective la forme et les dimensions du bassin osseux. Son utilisation ne doit pas être généralisée, mais peut dans certains cas, apporter une aide supplémentaire pour apprécier le pronostic obstétrical de l'accouchement. Pour accepter l'accouchement à terme chez une femme dont le fœtus est en présentation du siège, en particulier chez la primipare, la radiopelvimétrie couplée à l'estimation du poids foetal fait partie du bilan initial nécessaire.
En cas de suspicion de disproportion foetopelvienne, cet examen ne modifie pas l'état néonatal, augmente le taux de césariennes et doit être évité de façon systématique en cas de présentation céphalique, compte tenu de l'absence de preuve apportée par son utilisation élargie.
La radiopelvimétrie proposée chez des femmes ayant un utérus cicatriciel ne doit pas non plus être systématique, car elle ne prédit ni l'issue du travail, ni le risque de rupture utérine et n'améliore par la morbimortalité périnatale. Elle ne fait donc pas partie du bilan obligatoire pour accepter une épreuve du travail. Cependant, la confrontation foetopelvienne associant les mesures du bassin, les dimensions biométriques du foetus et le contexte clinique peuvent parfois aider le choix obstétrical pour proposer ou non une césarienne élective.
Dans l'accouchement des jumeaux, il y a peu de problèmes de disproportion foetopelvienne, le terme et le poids des enfants étant généralement inférieurs à la moyenne des grossesses uniques. Cependant, en cas de présentation d'un des jumeaux en siège ou transverse et de choix de version par manoeuvre interne et de grande extraction d'un deuxième jumeau en présentation céphalique, la question d'une pelvimétrie peut dans certains cas s'avérer prudente avant l'accouchement d'une primigeste pour s'assurer de la normalité du bassin.
Il n'y a cependant aucun argument dans la littérature pour recommander la radiopelvimétrie systématique pour l'accouchement, quelle que soit la présentation des jumeaux :
-avant 37 SA : il n'y a pas d'indication à faire une radiopelvimétrie systématique ;
-après 37 SA : il n'y a pas de recommandation en faveur d'une radiopelvimétrie obligatoire.
Plus on avance en terme (au-delà de 37 SA), et en cas de macrosomie et/ou d'un poids foetal estimé de J2>J1, une radiopelvimétrie pourra être utile, en particulier chez la primipare.
Le risque lié à l'irradation in utero est faible, néanmoins de publications suggèrent une relation entre l'augmentation du risque oncogène et de leucémie chez le futur enfant ou adulte justifiant une prudence raisonnée et de ne pas proposer cet examen trop largement sans tenir compte du réel bénéfice escompté.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible