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Auteur D. Chassard |
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Anesthésie pour césarienne / D. Chassard in Anesthésie & Réanimation, n° 1 ([01/02/2015])
[article]
Titre : Anesthésie pour césarienne Type de document : Article Auteurs : D. Chassard, Auteur ; L. Bouvet, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 10-18 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANESTHESIE
CESARIENNE
RACHIANESTHESIERésumé : La grande majorité des césariennes programmées sont réalisables avec une rachianesthésie. Pour 30-40 % des cas de césariennes en « code rouge », il est possible d’utiliser la technique « extension de péridurale » si les temps de transfert au bloc/présence des équipes médicales sont optimisés pour permettre une extraction en moins de 15minutes. Le succès de cette technique est conditionné par l’efficacité de l’analgésie péridurale pendant le travail. La lidocaïne à 2 % adrénalinée reste la référence en cas de césarienne urgente.
La réalisation d’une rachianesthésie trop précocement après des injections péridurales expose les patientes à un bloc rachidien étendu. Une péri-rachianesthésie combinée avec extension lente du bloc est une technique fiable chez les patientes fragiles sur le plan cardiovasculaire.
La phényléphrine est un vasopresseur de choix en cas d’hypotension au cours de la césarienne.
L’anesthésie générale pour césarienne est une anesthésie en séquence rapide. Le propofol est de plus en plus utilisé comme hypnotique.
La séquence rocuronium/sugammadex est une alternative à la curarisation par la succinylcholine.
L’antibiothérapie prophylactique des césariennes peut être réalisée avant le clampage du cordon.
La morphine et la clonidine intrathécales sont des adjuvants fiables pour prolonger avantageusement l’analgésie périmédullaire.
Le TAP bloc a un intérêt pour assurer l’analgésie postopératoire des patientes qui ont eu une césarienne avec anesthésie générale.
Le concept de réhabilitation précoce s’applique aussi à la césarienne.Cote : . Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 1 [01/02/2015] . - p. 10-18[article] Anesthésie pour césarienne [Article] / D. Chassard, Auteur ; L. Bouvet, Auteur . - 2015 . - p. 10-18.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 1 [01/02/2015] . - p. 10-18
Mots-clés : ANESTHESIE
CESARIENNE
RACHIANESTHESIERésumé : La grande majorité des césariennes programmées sont réalisables avec une rachianesthésie. Pour 30-40 % des cas de césariennes en « code rouge », il est possible d’utiliser la technique « extension de péridurale » si les temps de transfert au bloc/présence des équipes médicales sont optimisés pour permettre une extraction en moins de 15minutes. Le succès de cette technique est conditionné par l’efficacité de l’analgésie péridurale pendant le travail. La lidocaïne à 2 % adrénalinée reste la référence en cas de césarienne urgente.
La réalisation d’une rachianesthésie trop précocement après des injections péridurales expose les patientes à un bloc rachidien étendu. Une péri-rachianesthésie combinée avec extension lente du bloc est une technique fiable chez les patientes fragiles sur le plan cardiovasculaire.
La phényléphrine est un vasopresseur de choix en cas d’hypotension au cours de la césarienne.
L’anesthésie générale pour césarienne est une anesthésie en séquence rapide. Le propofol est de plus en plus utilisé comme hypnotique.
La séquence rocuronium/sugammadex est une alternative à la curarisation par la succinylcholine.
L’antibiothérapie prophylactique des césariennes peut être réalisée avant le clampage du cordon.
La morphine et la clonidine intrathécales sont des adjuvants fiables pour prolonger avantageusement l’analgésie périmédullaire.
Le TAP bloc a un intérêt pour assurer l’analgésie postopératoire des patientes qui ont eu une césarienne avec anesthésie générale.
Le concept de réhabilitation précoce s’applique aussi à la césarienne.Cote : . Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Mortalité maternelle liée à l'anesthésie-réanimation. Résultats de l'ENCMM, France 2010-2012 / D. Chassard in Anesthésie & Réanimation, n° 1 ([01/01/2018])
[article]
Titre : Mortalité maternelle liée à l'anesthésie-réanimation. Résultats de l'ENCMM, France 2010-2012 Type de document : Article Auteurs : D. Chassard, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 75-79 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANESTHESIE
MORTALITE MATERNELLE
QUALITE DES SOINSRésumé : La mortalité maternelle liée à l’anesthésie-réanimation a représenté, au cours de la période 2010–2012, 2 % de la mortalité maternelle, sans changement significatif depuis la période 2007–2009. Parmi les 7 décès maternels analysés par le comité d’experts, les complications anesthésiques étaient dans 5 cas la cause principale du décès : 4 par mortalité directe en rapport avec un acte anesthésique au cours de l’accouchement et 1 par mortalité indirecte en rapport avec une complication ORL en cours de grossesse. Les causes anesthésiques de mortalité maternelle étaient pour la période 2010–2012 : un arrêt cardiorespiratoire au cours d’une césarienne sous rachi anesthésie, une intoxication aux anesthésiques locaux avec arrêt cardiaque non récupéré sans administration d’intralipides au cours de la réanimation, un syndrome de défaillance respiratoire aiguë en post-partum immédiat sur probable micro inhalation peropératoire au cours d’une césarienne, un arrêt circulatoire au cours d’une césarienne sous anesthésie générale dans un contexte de lymphome non Hodgkinien avec compression médiastinale, une intubation impossible sur cellulite du plancher buccal. Par ailleurs, dans deux autres dossiers, la complication anesthésique à été considérée comme une cause associée du décès, les causes principales étant un AVC hémorragique et une hypertension artérielle pulmonaire. Dans la plupart des cas expertisés pour la période 2010–2012, l’anesthésie-réanimation a été impliquée dans la survenue de morts maternelles, principalement par des erreurs stratégiques dans la prise en charge de patientes présentant des pathologies graves avant l’accouchement ainsi que par des durées insuffisantes de réanimation cardiaque après arrêt cardiocirculatoire. Cote : . Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 1 [01/01/2018] . - p. 75-79[article] Mortalité maternelle liée à l'anesthésie-réanimation. Résultats de l'ENCMM, France 2010-2012 [Article] / D. Chassard, Auteur . - 2018 . - p. 75-79.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 1 [01/01/2018] . - p. 75-79
Mots-clés : ANESTHESIE
MORTALITE MATERNELLE
QUALITE DES SOINSRésumé : La mortalité maternelle liée à l’anesthésie-réanimation a représenté, au cours de la période 2010–2012, 2 % de la mortalité maternelle, sans changement significatif depuis la période 2007–2009. Parmi les 7 décès maternels analysés par le comité d’experts, les complications anesthésiques étaient dans 5 cas la cause principale du décès : 4 par mortalité directe en rapport avec un acte anesthésique au cours de l’accouchement et 1 par mortalité indirecte en rapport avec une complication ORL en cours de grossesse. Les causes anesthésiques de mortalité maternelle étaient pour la période 2010–2012 : un arrêt cardiorespiratoire au cours d’une césarienne sous rachi anesthésie, une intoxication aux anesthésiques locaux avec arrêt cardiaque non récupéré sans administration d’intralipides au cours de la réanimation, un syndrome de défaillance respiratoire aiguë en post-partum immédiat sur probable micro inhalation peropératoire au cours d’une césarienne, un arrêt circulatoire au cours d’une césarienne sous anesthésie générale dans un contexte de lymphome non Hodgkinien avec compression médiastinale, une intubation impossible sur cellulite du plancher buccal. Par ailleurs, dans deux autres dossiers, la complication anesthésique à été considérée comme une cause associée du décès, les causes principales étant un AVC hémorragique et une hypertension artérielle pulmonaire. Dans la plupart des cas expertisés pour la période 2010–2012, l’anesthésie-réanimation a été impliquée dans la survenue de morts maternelles, principalement par des erreurs stratégiques dans la prise en charge de patientes présentant des pathologies graves avant l’accouchement ainsi que par des durées insuffisantes de réanimation cardiaque après arrêt cardiocirculatoire. Cote : . Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Mortalité maternelle par pathologies cardiovasculaires. Résulatts de l'enquête nationale française confidentielle sur la mortalité maternelle / D. Chassard in Anesthésie & Réanimation, n° 1 ([01/01/2018])
[article]
Titre : Mortalité maternelle par pathologies cardiovasculaires. Résulatts de l'enquête nationale française confidentielle sur la mortalité maternelle Type de document : Article Auteurs : D. Chassard, Auteur ; E. Verspyck, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 84-89 Langues : Français (fre) Mots-clés : CARDIOPATHIE
DIAGNOSTIC
INFARCTUS DU MYOCARDE
MORTALITE MATERNELLERésumé : Entre 2010 et 2012, 29 décès maternels ont été causés par une maladie cardiovasculaire soit un ratio de mortalité maternelle global de 1,2 pour 100 000 naissances vivantes. Les décès sont survenus dans un contexte de cardiopathie préexistante à la grossesse (n = 19), de myocardiopathie du péripartum (n = 5) et de rupture vasculaire (n = 5). Les soins ont été considérés comme étant non optimaux chez trois patientes parmi cinq qui présentaient une cardiopathie congénitale opérée dans l’enfance du fait d’un retard de la prise en charge par des équipes spécialisées. Les patientes enceintes porteuses d’une cardiopathie doivent être considérées comme étant à haut risque de mortalité ou de complications cardiovasculaires et donc orientées le plus précocement possible vers un centre périnatal disposant de l’expertise de ces pathologies. Un retard à la prise en charge avec un diagnostic initialement erroné ou non posé à été rapporté chez trois patientes avec une myocardiopathie du péripartum. Une myocardiopathie du péripartum doit être évoquée en cas de défaillance ventriculaire gauche sévère à l’échographie cardiaque si la cause est indéterminée et chez une patiente sans cardiopathie préexistante. Un cas d’infarctus du myocarde n’a jamais été retenu malgré la présence de critères cliniques et paracliniques très évocateurs. Une symptomatologie thoracique d’allure coronarienne chez toute femme enceinte et dans le post-partum immédiat, et indépendamment de l’existence ou non de facteurs de risque cardiovasculaire, doit entraîner sans délai la réalisation d’un ECG et d’un dosage de troponine. Cote : . Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 1 [01/01/2018] . - p. 84-89[article] Mortalité maternelle par pathologies cardiovasculaires. Résulatts de l'enquête nationale française confidentielle sur la mortalité maternelle [Article] / D. Chassard, Auteur ; E. Verspyck, Auteur . - 2018 . - p. 84-89.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 1 [01/01/2018] . - p. 84-89
Mots-clés : CARDIOPATHIE
DIAGNOSTIC
INFARCTUS DU MYOCARDE
MORTALITE MATERNELLERésumé : Entre 2010 et 2012, 29 décès maternels ont été causés par une maladie cardiovasculaire soit un ratio de mortalité maternelle global de 1,2 pour 100 000 naissances vivantes. Les décès sont survenus dans un contexte de cardiopathie préexistante à la grossesse (n = 19), de myocardiopathie du péripartum (n = 5) et de rupture vasculaire (n = 5). Les soins ont été considérés comme étant non optimaux chez trois patientes parmi cinq qui présentaient une cardiopathie congénitale opérée dans l’enfance du fait d’un retard de la prise en charge par des équipes spécialisées. Les patientes enceintes porteuses d’une cardiopathie doivent être considérées comme étant à haut risque de mortalité ou de complications cardiovasculaires et donc orientées le plus précocement possible vers un centre périnatal disposant de l’expertise de ces pathologies. Un retard à la prise en charge avec un diagnostic initialement erroné ou non posé à été rapporté chez trois patientes avec une myocardiopathie du péripartum. Une myocardiopathie du péripartum doit être évoquée en cas de défaillance ventriculaire gauche sévère à l’échographie cardiaque si la cause est indéterminée et chez une patiente sans cardiopathie préexistante. Un cas d’infarctus du myocarde n’a jamais été retenu malgré la présence de critères cliniques et paracliniques très évocateurs. Une symptomatologie thoracique d’allure coronarienne chez toute femme enceinte et dans le post-partum immédiat, et indépendamment de l’existence ou non de facteurs de risque cardiovasculaire, doit entraîner sans délai la réalisation d’un ECG et d’un dosage de troponine. Cote : . Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible