[article] 
inPerspective soignante > n° 43 [01/04/2012] . - p. 84-92

Titre :	Mourir ou comment parler de la mort avec les patients
Type de document :	Article
Auteurs :	Raymond Gueibe, Auteur
Année de publication :	2012
Article en page(s) :	p. 84-92
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	ANNONCE DE LA MORT COMMUNICATION ETHIQUE MORT PATIENT RELATION SOIGNANT SOIGNE SOINS PALLIATIFS
Résumé :	L'être humain, dès sa naissance, perçoit qu'il est en danger de mort s'il n'y avait pas quelque chose de bienveillant qui vient le nourir et l'envelopper d'une douce chaleur. C'est du moins là une hypothèse formulée par l'école psychanalytique. C'est d'ailleurs pour se protéger de cette perception de sa finitude, qualifiée d'"angoisse de mort" par le mouvement psychanalytique, que le jeune enfant va mettre en place des mécanismes de défense qui lui donneront ses traits de caractère. Il s'agit donc bien d'une hypothèse, qui semble pourtant confirmée lorsque, dans le déroulement de notre vie, réapparait brutalement cette angoisse de mort, à l'occasion de situations traumatisantes: accident sur la voir publique, accident de santé physique, etc.
Cote :
Permalink :	https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

[article] Mourir ou comment parler de la mort avec les patients [Article] / Raymond Gueibe, Auteur . - 2012 . - p. 84-92.
Langues : Français (fre)
in Perspective soignante > n° 43 [01/04/2012] . - p. 84-92

Mots-clés :	ANNONCE DE LA MORT COMMUNICATION ETHIQUE MORT PATIENT RELATION SOIGNANT SOIGNE SOINS PALLIATIFS
Résumé :	L'être humain, dès sa naissance, perçoit qu'il est en danger de mort s'il n'y avait pas quelque chose de bienveillant qui vient le nourir et l'envelopper d'une douce chaleur. C'est du moins là une hypothèse formulée par l'école psychanalytique. C'est d'ailleurs pour se protéger de cette perception de sa finitude, qualifiée d'"angoisse de mort" par le mouvement psychanalytique, que le jeune enfant va mettre en place des mécanismes de défense qui lui donneront ses traits de caractère. Il s'agit donc bien d'une hypothèse, qui semble pourtant confirmée lorsque, dans le déroulement de notre vie, réapparait brutalement cette angoisse de mort, à l'occasion de situations traumatisantes: accident sur la voir publique, accident de santé physique, etc.
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