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Auteur Sandra Liebart |
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Comment les médecins généralistes limitent-ils leurs prescriptions ? Étude qualitative par entretiens collectifs / Sylvain Duffaud in Santé publique, n° 3 ([01/05/2014])
[article]
Titre : Comment les médecins généralistes limitent-ils leurs prescriptions ? Étude qualitative par entretiens collectifs Type de document : Article Auteurs : Sylvain Duffaud, Auteur ; Sandra Liebart, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 323-330 Langues : Français (fre) Mots-clés : MEDECIN GENERALISTE
MEDECINE GENERALE
PRESCRIPTION MEDICALERésumé : Objectif : Dans de nombreuses situations en médecine générale, la prescription ne fait pas consensus. Cette étude cherchait à objectiver les stratégies utilisées par les généralistes lorsqu’ils choisissent de limiter leurs prescriptions, pour en favoriser le recours.
Méthodes : Un échantillon de généralistes, hétérogène en termes de caractéristiques démographiques, d’âge et de mode d’exercice, ont été interrogés grâce à la méthode des entretiens collectifs jusqu’à saturation des données.
Résultats : Trois entretiens ont permis d’interroger 14 femmes et 10 hommes âgés de 32 à 64 ans. Lors de la consultation, différentes stratégies ont été identifiées : l’attitude du praticien (écoute et valorisation des symptômes, identification précoce de la demande du patient, appui de l’examen clinique), l’emploi de ressources pertinentes (outils et référentiels, actualités) ; l’importance de la clôture de la consultation (conseils écrits ou compte rendu de consultation, relecture et réévaluation de l’ordonnance précédente) et de l’explication (informer des motivations de la limitation, rassurer, argumenter, proposer une consultation contrôle). Enfin, la limitation de prescription s’appuie sur des facteurs propres au praticien (formation initiale et continue, motivation et objectifs personnels, appartenance à un groupe de pairs) mais également sur le réseau de soins (apports de l’institution, du spécialiste).
Conclusion : De nombreux éléments favorisent la limitation de prescription : formation et information des praticiens comme des patients, gestion de la consultation, communication avec le réseau de soins et les instances politiques. Les organismes de formation continue et les instances de santé pourraient favoriser ces stratégies, au bénéfice du patient.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 3 [01/05/2014] . - p. 323-330[article] Comment les médecins généralistes limitent-ils leurs prescriptions ? Étude qualitative par entretiens collectifs [Article] / Sylvain Duffaud, Auteur ; Sandra Liebart, Auteur . - 2014 . - p. 323-330.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 3 [01/05/2014] . - p. 323-330
Mots-clés : MEDECIN GENERALISTE
MEDECINE GENERALE
PRESCRIPTION MEDICALERésumé : Objectif : Dans de nombreuses situations en médecine générale, la prescription ne fait pas consensus. Cette étude cherchait à objectiver les stratégies utilisées par les généralistes lorsqu’ils choisissent de limiter leurs prescriptions, pour en favoriser le recours.
Méthodes : Un échantillon de généralistes, hétérogène en termes de caractéristiques démographiques, d’âge et de mode d’exercice, ont été interrogés grâce à la méthode des entretiens collectifs jusqu’à saturation des données.
Résultats : Trois entretiens ont permis d’interroger 14 femmes et 10 hommes âgés de 32 à 64 ans. Lors de la consultation, différentes stratégies ont été identifiées : l’attitude du praticien (écoute et valorisation des symptômes, identification précoce de la demande du patient, appui de l’examen clinique), l’emploi de ressources pertinentes (outils et référentiels, actualités) ; l’importance de la clôture de la consultation (conseils écrits ou compte rendu de consultation, relecture et réévaluation de l’ordonnance précédente) et de l’explication (informer des motivations de la limitation, rassurer, argumenter, proposer une consultation contrôle). Enfin, la limitation de prescription s’appuie sur des facteurs propres au praticien (formation initiale et continue, motivation et objectifs personnels, appartenance à un groupe de pairs) mais également sur le réseau de soins (apports de l’institution, du spécialiste).
Conclusion : De nombreux éléments favorisent la limitation de prescription : formation et information des praticiens comme des patients, gestion de la consultation, communication avec le réseau de soins et les instances politiques. Les organismes de formation continue et les instances de santé pourraient favoriser ces stratégies, au bénéfice du patient.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Étude transversale sur la gestion des Dasri auprès d’un échantillon de médecins généralistes libéraux de la Loire / Julien Chazal in Hygiènes, n° 1 ([01/03/2017])
[article]
Titre : Étude transversale sur la gestion des Dasri auprès d’un échantillon de médecins généralistes libéraux de la Loire Type de document : Article Auteurs : Julien Chazal, Auteur ; Philippe Berthelot, Auteur ; Sandra Liebart, Auteur Année de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clés : DECHET D'ACTIVITE DE SOINS A RISQUE INFECTIEUX
ENVIRONNEMENT
GESTION DES RISQUES
HYGIENE HOSPITALIERE
MEDECINE GENERALERésumé : Si la gestion des déchets d’activité de soins à risque infectieux (Dasri) en milieu institutionnel est bien étudiée, sa gestion en milieu ambulatoire reste plus hétérogène. L’objectif de l’étude était d’évaluer les pratiques des médecins généralistes ligériens concernant la gestion des Dasri, puis secondairement d’évaluer les freins et les facteurs favorisants relatifs à une pratique adaptée à la législation. Il s’agissait d’une enquête transversale par questionnaire téléphonique auprès des médecins généralistes ligériens. Cent trente-huit médecins ont répondu au questionnaire correspondant à un taux de réponse de 46,5 %. Les objets piquants, coupants et tranchants étaient déposés dans 96 % des cas dans un contenant adapté avec norme, alors que seulement 67 % des déchets solides ou mous souillés par du sang ou un liquide biologique l’étaient. La collecte des médecins au cabinet par un prestataire de services (78 %) est source de respect de la législation (p ≤ 0,001) et semble minorer la survenue d’accident d’exposition au sang des médecins (p = 0,04). Soixante-cinq pour cent déclaraient posséder le document de traçabilité réglementaire. Les freins semblent en lien avec le mode d’exercice des praticiens ou leur durée d’installation. Les formations étaient un facteur favorisant pour les praticiens gérant à plusieurs (p = 0,02) ou installés depuis moins de 20 ans (p ≤ 0,01). L’étude permet de faire un état des lieux des pratiques à une échelle locale en posant des axes de réflexion pour des travaux futur Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Hygiènes > n° 1 [01/03/2017][article] Étude transversale sur la gestion des Dasri auprès d’un échantillon de médecins généralistes libéraux de la Loire [Article] / Julien Chazal, Auteur ; Philippe Berthelot, Auteur ; Sandra Liebart, Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > n° 1 [01/03/2017]
Mots-clés : DECHET D'ACTIVITE DE SOINS A RISQUE INFECTIEUX
ENVIRONNEMENT
GESTION DES RISQUES
HYGIENE HOSPITALIERE
MEDECINE GENERALERésumé : Si la gestion des déchets d’activité de soins à risque infectieux (Dasri) en milieu institutionnel est bien étudiée, sa gestion en milieu ambulatoire reste plus hétérogène. L’objectif de l’étude était d’évaluer les pratiques des médecins généralistes ligériens concernant la gestion des Dasri, puis secondairement d’évaluer les freins et les facteurs favorisants relatifs à une pratique adaptée à la législation. Il s’agissait d’une enquête transversale par questionnaire téléphonique auprès des médecins généralistes ligériens. Cent trente-huit médecins ont répondu au questionnaire correspondant à un taux de réponse de 46,5 %. Les objets piquants, coupants et tranchants étaient déposés dans 96 % des cas dans un contenant adapté avec norme, alors que seulement 67 % des déchets solides ou mous souillés par du sang ou un liquide biologique l’étaient. La collecte des médecins au cabinet par un prestataire de services (78 %) est source de respect de la législation (p ≤ 0,001) et semble minorer la survenue d’accident d’exposition au sang des médecins (p = 0,04). Soixante-cinq pour cent déclaraient posséder le document de traçabilité réglementaire. Les freins semblent en lien avec le mode d’exercice des praticiens ou leur durée d’installation. Les formations étaient un facteur favorisant pour les praticiens gérant à plusieurs (p = 0,02) ou installés depuis moins de 20 ans (p ≤ 0,01). L’étude permet de faire un état des lieux des pratiques à une échelle locale en posant des axes de réflexion pour des travaux futur Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique IFPS Fougères - Centre de documentation Disponible