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Carnet de santé de l'enfant : les illustrations des conseils aux parents sont-elles compréhensibles ? / Jessica Dumez in Santé publique, n° 2 ([01/03/2019])
[article]
Titre : Carnet de santé de l'enfant : les illustrations des conseils aux parents sont-elles compréhensibles ? Type de document : Article Auteurs : Jessica Dumez, Auteur ; Béatrice Trombet-Paviot, Auteur ; Christophe Bois, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 195-202 Langues : Français (fre) Mots-clés : CARNET DE SANTE
CONCEPTION
ENFANT
PARENT
PREVENTIONRésumé : Introduction : Les illustrations du carnet de santé véhiculent des messages de prévention ; elles peuvent ne pas être comprises ou seulement partiellement. L’objectif principal de notre étude est de décrire la compréhensibilité des illustrations de la rubrique – conseils aux parents de jeunes enfants – du carnet de santé et d’en chercher les déterminants.
Méthodes : Une enquête transversale a été réalisée auprès d’un échantillon de 80 parents d’enfants de moins de six ans résidant dans deux départements français. Chaque parent était interrogé selon un questionnaire semi-dirigé sur leurs données sociodémographiques puis sur chacune des 11 illustrations du carnet de santé. Le critère de jugement principal était le nombre d’items corrects par rapport au nombre de messages attendus par illustration. L’analyse descriptive de l’échantillon a été suivie d’une analyse multivariée par régression logistique.
Résultats : Les illustrations « bébé pleure », « syndrome du bébé secoué », « sécurité du nourrisson dans la voiture », « dépistage des troubles visuels » et « dépistage des troubles auditifs » ne sont pas comprises par plus de 60 % des parents. Être le père ou ne pas savoir lire le français augmentent significativement le risque de ne pas trouver six des items de prévention attendus.
Conclusion : Les illustrations du carnet de santé de l’enfant français, qui véhiculent pourtant des messages de prévention essentiels, ne sont pas accessibles à tous les parents. Médecins généralistes et pédiatres ont l’opportunité d’aider au décryptage des illustrations et sont des acteurs importants de l’éducation à la santé.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 2 [01/03/2019] . - p. 195-202[article] Carnet de santé de l'enfant : les illustrations des conseils aux parents sont-elles compréhensibles ? [Article] / Jessica Dumez, Auteur ; Béatrice Trombet-Paviot, Auteur ; Christophe Bois, Auteur . - 2019 . - p. 195-202.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 2 [01/03/2019] . - p. 195-202
Mots-clés : CARNET DE SANTE
CONCEPTION
ENFANT
PARENT
PREVENTIONRésumé : Introduction : Les illustrations du carnet de santé véhiculent des messages de prévention ; elles peuvent ne pas être comprises ou seulement partiellement. L’objectif principal de notre étude est de décrire la compréhensibilité des illustrations de la rubrique – conseils aux parents de jeunes enfants – du carnet de santé et d’en chercher les déterminants.
Méthodes : Une enquête transversale a été réalisée auprès d’un échantillon de 80 parents d’enfants de moins de six ans résidant dans deux départements français. Chaque parent était interrogé selon un questionnaire semi-dirigé sur leurs données sociodémographiques puis sur chacune des 11 illustrations du carnet de santé. Le critère de jugement principal était le nombre d’items corrects par rapport au nombre de messages attendus par illustration. L’analyse descriptive de l’échantillon a été suivie d’une analyse multivariée par régression logistique.
Résultats : Les illustrations « bébé pleure », « syndrome du bébé secoué », « sécurité du nourrisson dans la voiture », « dépistage des troubles visuels » et « dépistage des troubles auditifs » ne sont pas comprises par plus de 60 % des parents. Être le père ou ne pas savoir lire le français augmentent significativement le risque de ne pas trouver six des items de prévention attendus.
Conclusion : Les illustrations du carnet de santé de l’enfant français, qui véhiculent pourtant des messages de prévention essentiels, ne sont pas accessibles à tous les parents. Médecins généralistes et pédiatres ont l’opportunité d’aider au décryptage des illustrations et sont des acteurs importants de l’éducation à la santé.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Diversification alimentaire et statut socio-économique / Anaïs Maillier in Santé publique, n° 1 ([01/01/2019])
[article]
Titre : Diversification alimentaire et statut socio-économique Type de document : Article Auteurs : Anaïs Maillier, Auteur ; Alexandre Boichon, Auteur ; Christophe Bois, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 61-70 Langues : Français (fre) Mots-clés : ALIMENTATION
FACTEUR SOCIOECONOMIQUE
NOUVEAU-NE
RECOMMANDATIONRésumé : Introduction : Il est recommandé de débuter la diversification alimentaire du nourrisson entre 4 et 6 mois afin de limiter les allergies. L'objectif de cette étude est de décrire le mode de diversification alimentaire du nourrisson jusqu'à l'âge de 1 an et d'analyser les critères notamment socio-économiques influant sur le respect des recommandations.
Méthodes : Cette étude observationnelle descriptive quantitative a été menée du 21/11/2016 au 21/02/2017 dans dix cabinets de médecine générale de la région stéphanoise (42) via des questionnaires anonymes distribués aux mères d'enfants de 12 à 47 mois révolus nés à terme avec un poids supérieur à 2,5 kg.
Résultats : Plus de deux tiers des 163 enfants inclus avaient débuté la diversification entre 4 et 6 mois. L'âge d'introduction du gluten (p=0,02) et la viande (p=0,016) était plus tardif et l'arrêt du lait infantile (p=0,005), plus précoce lorsque le niveau d'études de la mère était plus bas. Le nombre moyen de fruits et légumes donnés était plus faible lorsque la mère avait un niveau socio-économique plus bas ou était multipare. Les matières grasses, riches en oméga_3, étaient données à moins de 20% des enfants et certains allergènes majeurs tels que l'oeuf ou les fruits à coque étaient apportés chez respectivement 70% et 12,3% des enfants à l'âge de 1 an.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 1 [01/01/2019] . - p. 61-70[article] Diversification alimentaire et statut socio-économique [Article] / Anaïs Maillier, Auteur ; Alexandre Boichon, Auteur ; Christophe Bois, Auteur ; et al., Auteur . - 2019 . - p. 61-70.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 1 [01/01/2019] . - p. 61-70
Mots-clés : ALIMENTATION
FACTEUR SOCIOECONOMIQUE
NOUVEAU-NE
RECOMMANDATIONRésumé : Introduction : Il est recommandé de débuter la diversification alimentaire du nourrisson entre 4 et 6 mois afin de limiter les allergies. L'objectif de cette étude est de décrire le mode de diversification alimentaire du nourrisson jusqu'à l'âge de 1 an et d'analyser les critères notamment socio-économiques influant sur le respect des recommandations.
Méthodes : Cette étude observationnelle descriptive quantitative a été menée du 21/11/2016 au 21/02/2017 dans dix cabinets de médecine générale de la région stéphanoise (42) via des questionnaires anonymes distribués aux mères d'enfants de 12 à 47 mois révolus nés à terme avec un poids supérieur à 2,5 kg.
Résultats : Plus de deux tiers des 163 enfants inclus avaient débuté la diversification entre 4 et 6 mois. L'âge d'introduction du gluten (p=0,02) et la viande (p=0,016) était plus tardif et l'arrêt du lait infantile (p=0,005), plus précoce lorsque le niveau d'études de la mère était plus bas. Le nombre moyen de fruits et légumes donnés était plus faible lorsque la mère avait un niveau socio-économique plus bas ou était multipare. Les matières grasses, riches en oméga_3, étaient données à moins de 20% des enfants et certains allergènes majeurs tels que l'oeuf ou les fruits à coque étaient apportés chez respectivement 70% et 12,3% des enfants à l'âge de 1 an.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Relation médecin-patient en situation de précarité économique : point de vue des patients / Alice Marron-Delabre in Santé publique, n° 6 ([01/11/2015])
[article]
Titre : Relation médecin-patient en situation de précarité économique : point de vue des patients Type de document : Article Auteurs : Alice Marron-Delabre, Auteur ; Elisabeth Rivollier, Auteur ; Christophe Bois, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 837-840 Langues : Français (fre) Mots-clés : PAUVRETE
PRECARITE
RELATION MEDECIN MALADE
RELATION SOIGNANT SOIGNE
SANTE PUBLIQUERésumé : Objectif
En France, les inégalités sociales de santé se creusent. Du point de vue des médecins, la relation médecin-patient en situation de précarité économique semble poser des difficultés spécifiques. Cette étude qualitative auprès de personnes en situation de précarité économique avait pour objectif d’identifier les difficultés et les aspects facilitateurs spécifiques à la relation patient-médecin traitant.
Méthodes
Étude qualitative menée sous forme d’entretiens individuels semi-dirigés par un médecin auprès de personnes majeures, ayant déclaré un médecin traitant et en situation de précarité économique, allocataires d’un minima social, et/ou de la couverture médicale universelle-complémentaire, et/ou fréquentant une association offrant repas et vestiaire.
Résultats
Au total, 19 personnes ont été interviewées. La dimension humaine est soulignée par les participants ; le respect, le charisme, l’ouverture d’esprit sont des qualités attendues. La qualité de l’accueil et de la communication facilite la relation. Le manque de disponibilité, l’interaction autoritaire, l’intrusion sont des freins à cette relation. Les patients ne semblaient pas avoir de demande relationnelle supplémentaire induite par leur situation de précarité économique.
Conclusion
Face à leur médecin, les patients ne se définissaient pas par leur précarité. Le vécu et les attentes des patients vis-à-vis de leur médecin traitant semblent rejoindre ceux de la population générale.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 6 [01/11/2015] . - p. 837-840[article] Relation médecin-patient en situation de précarité économique : point de vue des patients [Article] / Alice Marron-Delabre, Auteur ; Elisabeth Rivollier, Auteur ; Christophe Bois, Auteur . - 2015 . - p. 837-840.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 6 [01/11/2015] . - p. 837-840
Mots-clés : PAUVRETE
PRECARITE
RELATION MEDECIN MALADE
RELATION SOIGNANT SOIGNE
SANTE PUBLIQUERésumé : Objectif
En France, les inégalités sociales de santé se creusent. Du point de vue des médecins, la relation médecin-patient en situation de précarité économique semble poser des difficultés spécifiques. Cette étude qualitative auprès de personnes en situation de précarité économique avait pour objectif d’identifier les difficultés et les aspects facilitateurs spécifiques à la relation patient-médecin traitant.
Méthodes
Étude qualitative menée sous forme d’entretiens individuels semi-dirigés par un médecin auprès de personnes majeures, ayant déclaré un médecin traitant et en situation de précarité économique, allocataires d’un minima social, et/ou de la couverture médicale universelle-complémentaire, et/ou fréquentant une association offrant repas et vestiaire.
Résultats
Au total, 19 personnes ont été interviewées. La dimension humaine est soulignée par les participants ; le respect, le charisme, l’ouverture d’esprit sont des qualités attendues. La qualité de l’accueil et de la communication facilite la relation. Le manque de disponibilité, l’interaction autoritaire, l’intrusion sont des freins à cette relation. Les patients ne semblaient pas avoir de demande relationnelle supplémentaire induite par leur situation de précarité économique.
Conclusion
Face à leur médecin, les patients ne se définissaient pas par leur précarité. Le vécu et les attentes des patients vis-à-vis de leur médecin traitant semblent rejoindre ceux de la population générale.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Toilettes au collège : moins j’y vais... et mieux je me porte ? Ressenti des élèves et prévalence des troubles urinaires et digestifs, enquête dans trois établissements de la Loire / Bénédicte Hoarau in Santé publique, n° 4 ([01/07/2014])
[article]
Titre : Toilettes au collège : moins j’y vais... et mieux je me porte ? Ressenti des élèves et prévalence des troubles urinaires et digestifs, enquête dans trois établissements de la Loire Type de document : Article Auteurs : Bénédicte Hoarau, Auteur ; Paul Vercherin, Auteur ; Christophe Bois, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 421-431 Langues : Français (fre) Mots-clés : ADOLESCENT
COLLEGE
CONSTIPATION
ELEVE
ENQUETE
INCONTINENCE URINAIRE
MICTION
NAUSEE
PRATIQUE DE SANTE
SELLESRésumé : Introduction : L’utilisation irrégulière des toilettes contribue à l’apparition de troubles urinaires et digestifs. L’objectif de cette étude était de mesurer la prévalence de symptômes digestifs et urinaires chez des collégiens et d’évaluer leur perception et leur utilisation des toilettes au collège.
Méthodes : 791 élèves âgés de 12 à 16 ans ont répondu à un questionnaire anonyme distribué dans trois collèges du département de la Loire.
Résultats : 22 % ont déclaré avoir ressenti des douleurs abdominales au moins une fois par semaine au cours des deux mois écoulés avant l’étude ; 26 % ont répondu avoir eu mal environ une fois par mois. 9 % des collégiens ont souffert d’incontinence urinaire : 4 % des garçons et 13 % des filles. Les élèves avaient une perception négative des toilettes de leur collège : 62 % ne se sentaient pas en sécurité et 54 % des garçons considéraient que leur intimité n’y était pas respectée. 34 % des collégiens ne fréquentaient jamais les toilettes de leur collège. 21 % ne les utilisaient jamais pour uriner et 85 % n’allaient jamais à la selle au collège. 28 % des élèves déclaraient avoir déjà présenté des douleurs abdominales car ils n’avaient pas pu aller aux toilettes au collège et 29 % signalaient avoir déjà rencontré des difficultés de concentration pour la même raison.
Discussion : Les troubles digestifs et les troubles mictionnels sont une réalité chez les collégiens. Les comportements de rétention urinaire et fécale s’avèrent fréquents et ont des répercussions sur la concentration des élèves.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 4 [01/07/2014] . - p. 421-431[article] Toilettes au collège : moins j’y vais... et mieux je me porte ? Ressenti des élèves et prévalence des troubles urinaires et digestifs, enquête dans trois établissements de la Loire [Article] / Bénédicte Hoarau, Auteur ; Paul Vercherin, Auteur ; Christophe Bois, Auteur . - 2014 . - p. 421-431.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 4 [01/07/2014] . - p. 421-431
Mots-clés : ADOLESCENT
COLLEGE
CONSTIPATION
ELEVE
ENQUETE
INCONTINENCE URINAIRE
MICTION
NAUSEE
PRATIQUE DE SANTE
SELLESRésumé : Introduction : L’utilisation irrégulière des toilettes contribue à l’apparition de troubles urinaires et digestifs. L’objectif de cette étude était de mesurer la prévalence de symptômes digestifs et urinaires chez des collégiens et d’évaluer leur perception et leur utilisation des toilettes au collège.
Méthodes : 791 élèves âgés de 12 à 16 ans ont répondu à un questionnaire anonyme distribué dans trois collèges du département de la Loire.
Résultats : 22 % ont déclaré avoir ressenti des douleurs abdominales au moins une fois par semaine au cours des deux mois écoulés avant l’étude ; 26 % ont répondu avoir eu mal environ une fois par mois. 9 % des collégiens ont souffert d’incontinence urinaire : 4 % des garçons et 13 % des filles. Les élèves avaient une perception négative des toilettes de leur collège : 62 % ne se sentaient pas en sécurité et 54 % des garçons considéraient que leur intimité n’y était pas respectée. 34 % des collégiens ne fréquentaient jamais les toilettes de leur collège. 21 % ne les utilisaient jamais pour uriner et 85 % n’allaient jamais à la selle au collège. 28 % des élèves déclaraient avoir déjà présenté des douleurs abdominales car ils n’avaient pas pu aller aux toilettes au collège et 29 % signalaient avoir déjà rencontré des difficultés de concentration pour la même raison.
Discussion : Les troubles digestifs et les troubles mictionnels sont une réalité chez les collégiens. Les comportements de rétention urinaire et fécale s’avèrent fréquents et ont des répercussions sur la concentration des élèves.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible