Prévention des troubles musculo-squelettiques chez les infirmiers d’un hôpital de province au Vietnam / Khue Pham minh in Santé publique, n° 5 ([01/09/2019])

Public ISBD [article]  inSanté publique > n° 5 [01/09/2019] . - p. 633-644 Titre : Prévention des troubles musculo-squelettiques chez les infirmiers d’un hôpital de province au Vietnam Type de document : Article Auteurs : Khue Pham minh, Auteur ; Quy Kieu Ngoc, Auteur ; Armelle Forrer, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 633-644 Langues : Français (fre) Mots-clés : FACTEUR DE RISQUE HOPITAL INFIRMIER PREVALENCE PREVENTION TROUBLE MUSCULOSQUELETTIQUE VIETNAM Résumé : Objectif : Cette étude avait pour objectif d’étudier la situation des troubles musculo-squelettiques (TMS) chez les infirmiers et le contexte spécifique de la prévention de ces troubles dans les hôpitaux vietnamiens. Méthodes : L’objectif de l’étude était mixte. Le volet quantitatif visait à étudier la prévalence, les facteurs de risque et les conséquences des TMS ; le volet qualitatif visait, lui, à étudier les facilitateurs et les barrières entourant l’implantation d’un programme préventif de ces troubles dans le milieu hospitalier. Résultats : La prévalence des TMS au cours des 12 derniers mois est la plus élevée au niveau du bas du dos, du cou et des épaules (40-59 %). Les facteurs associés à ces troubles sont le stress, le fait d’être une femme et l’intensité du travail. Ces troubles ont un impact sur la capacité de travailler et sur la qualité de vie des infirmiers. Une faible reconnaissance de l’importance de la problématique des TMS par les gestionnaires des hôpitaux, ainsi que le manque de ressources humaines ayant une expertise dans le domaine de la prévention des TMS sont des obstacles à la mise en place d’un programme de prévention des TMS dans les hôpitaux vietnamiens. Conclusions : Les TMS sont un problème de santé au travail chez les infirmiers cliniciens en milieu hospitalier. La lutte contre ces troubles requiert non seulement d’avoir conscience de l’importance du problème dans les instances où sont définies les politiques de santé, mais aussi de disposer d’une expertise dans ce domaine au sein des hôpitaux. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] Prévention des troubles musculo-squelettiques chez les infirmiers d’un hôpital de province au Vietnam [Article] / Khue Pham minh, Auteur ; Quy Kieu Ngoc, Auteur ; Armelle Forrer, Auteur ; et al., Auteur . - 2019 . - p. 633-644. Langues : Français (fre) in Santé publique > n° 5 [01/09/2019] . - p. 633-644 Mots-clés : FACTEUR DE RISQUE HOPITAL INFIRMIER PREVALENCE PREVENTION TROUBLE MUSCULOSQUELETTIQUE VIETNAM Résumé : Objectif : Cette étude avait pour objectif d’étudier la situation des troubles musculo-squelettiques (TMS) chez les infirmiers et le contexte spécifique de la prévention de ces troubles dans les hôpitaux vietnamiens. Méthodes : L’objectif de l’étude était mixte. Le volet quantitatif visait à étudier la prévalence, les facteurs de risque et les conséquences des TMS ; le volet qualitatif visait, lui, à étudier les facilitateurs et les barrières entourant l’implantation d’un programme préventif de ces troubles dans le milieu hospitalier. Résultats : La prévalence des TMS au cours des 12 derniers mois est la plus élevée au niveau du bas du dos, du cou et des épaules (40-59 %). Les facteurs associés à ces troubles sont le stress, le fait d’être une femme et l’intensité du travail. Ces troubles ont un impact sur la capacité de travailler et sur la qualité de vie des infirmiers. Une faible reconnaissance de l’importance de la problématique des TMS par les gestionnaires des hôpitaux, ainsi que le manque de ressources humaines ayant une expertise dans le domaine de la prévention des TMS sont des obstacles à la mise en place d’un programme de prévention des TMS dans les hôpitaux vietnamiens. Conclusions : Les TMS sont un problème de santé au travail chez les infirmiers cliniciens en milieu hospitalier. La lutte contre ces troubles requiert non seulement d’avoir conscience de l’importance du problème dans les instances où sont définies les politiques de santé, mais aussi de disposer d’une expertise dans ce domaine au sein des hôpitaux. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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Prise en charge des infections sexuellement transmissibles dans les pharmacies privées à Hanoi / Bac Tran van in Santé publique, n° 4 ([01/07/2014])

Public ISBD [article]  inSanté publique > n° 4 [01/07/2014] . - p. 491-498 Titre : Prise en charge des infections sexuellement transmissibles dans les pharmacies privées à Hanoi Type de document : Article Auteurs : Bac Tran van, Auteur ; Khue Pham minh, Auteur ; Michel Strobel, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 491-498 Langues : Français (fre) Mots-clés : ENQUETE ETHIQUE INFECTION SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE PHARMACIEN PREVENTION SIMULATION VIETNAM Résumé : Objectif : Cette étude transversale avec analyse quantitative et qualitative des pratiques avait pour objectifs d’évaluer la qualité et la pertinence de la prise en charge des infections sexuellement transmissibles (IST) par approche syndromique dans les pharmacies privées à Hanoi en 2010 comparativement à une étude similaire de l’année 2000. Méthodes : Un enquêteur unique a joué le rôle d’un client présentant des signes d’IST. Il a visité 60 pharmacies privées tirées au sort à Hanoi et noté les traitements, questions et conseils des pharmaciens. Résultats : Ils ont montré que 87 % des écoulements urétraux et 30 % des ulcérations génitales se sont vus proposer un traitement. Aucune question n’a été posée au patient dans 55 % des cas. Aucune des prescriptions n’était conforme aux recommandations nationales. Relativement au conjoint/partenaire, seuls 8,3 % des pharmaciens/vendeurs ont posé des questions au « patient » et 20 % lui ont donné des conseils (26,6 % de conseils d’utiliser les condoms et un seul de faire un test de dépistage du VIH). Voir un médecin n’a été recommandé que par 43,3 % des P/V, consulter au service spécialisé en IST n’a été conseillé que dans 16,7 % des cas. Conclusions : En dix ans (2000-2010), les comportements des pharmaciens/vendeurs du secteur privé de Hanoi n’ont pas changé. Ils traitent facilement les IST et de façon inappropriée, donnent peu de conseils de prévention, de dépistage et de traitement. à l’ère de la pandémie de VIH et de la résistance microbienne aux antibiotiques, il faut recommander que les IST soient prises en charge par des services publics compétents. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] Prise en charge des infections sexuellement transmissibles dans les pharmacies privées à Hanoi [Article] / Bac Tran van, Auteur ; Khue Pham minh, Auteur ; Michel Strobel, Auteur . - 2014 . - p. 491-498. Langues : Français (fre) in Santé publique > n° 4 [01/07/2014] . - p. 491-498 Mots-clés : ENQUETE ETHIQUE INFECTION SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE PHARMACIEN PREVENTION SIMULATION VIETNAM Résumé : Objectif : Cette étude transversale avec analyse quantitative et qualitative des pratiques avait pour objectifs d’évaluer la qualité et la pertinence de la prise en charge des infections sexuellement transmissibles (IST) par approche syndromique dans les pharmacies privées à Hanoi en 2010 comparativement à une étude similaire de l’année 2000. Méthodes : Un enquêteur unique a joué le rôle d’un client présentant des signes d’IST. Il a visité 60 pharmacies privées tirées au sort à Hanoi et noté les traitements, questions et conseils des pharmaciens. Résultats : Ils ont montré que 87 % des écoulements urétraux et 30 % des ulcérations génitales se sont vus proposer un traitement. Aucune question n’a été posée au patient dans 55 % des cas. Aucune des prescriptions n’était conforme aux recommandations nationales. Relativement au conjoint/partenaire, seuls 8,3 % des pharmaciens/vendeurs ont posé des questions au « patient » et 20 % lui ont donné des conseils (26,6 % de conseils d’utiliser les condoms et un seul de faire un test de dépistage du VIH). Voir un médecin n’a été recommandé que par 43,3 % des P/V, consulter au service spécialisé en IST n’a été conseillé que dans 16,7 % des cas. Conclusions : En dix ans (2000-2010), les comportements des pharmaciens/vendeurs du secteur privé de Hanoi n’ont pas changé. Ils traitent facilement les IST et de façon inappropriée, donnent peu de conseils de prévention, de dépistage et de traitement. à l’ère de la pandémie de VIH et de la résistance microbienne aux antibiotiques, il faut recommander que les IST soient prises en charge par des services publics compétents. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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