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Hémorragie sous-arachnoïdienne anévrysmale / G. Audibert in Anesthésie & Réanimation, n° 1 ([01/01/2017])
[article]
Titre : Hémorragie sous-arachnoïdienne anévrysmale Type de document : Article Auteurs : G. Audibert, Auteur ; A. Baumann, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 37-47 Langues : Français (fre) Mots-clés : CERVEAU
DERIVATION
HEMORRAGIE
HYDROCEPHALIE
ISCHEMIE
REANIMATIONRésumé : Devant des signes cliniques d’hémorragie sous-arachnoïdienne (HSA), le diagnostic positif est réalisé par une tomodensitométrie encéphalique sans injection.
Le diagnostic étiologique d’une HSA repose sur l’angioscanner cérébral qui permet d’identifier l’anévrysme et d’étudier ses rapports anatomiques avant traitement.
En phase aiguë, la réanimation de complications cardiovasculaires et/ou respiratoires ne doit pas retarder le traitement du sac anévrysmal de plus de 12 à 24heures.
La sécurisation du sac anévrysmal doit être réalisée le plus précocement possible, au mieux dans les 24 premières heures suivant l’admission.
Si elle est nécessaire, une dérivation ventriculaire externe doit être mise en place avant embolisation.
La principale complication après HSA est l’ischémie cérébrale retardée (ICR), qui reconnaît plusieurs étiologies, dont le vasospasme.
La détection du vasospasme repose sur l’examen clinique et sur la réalisation régulière de Doppler transcraniens.
Le diagnostic d’ICR repose sur une technique d’imagerie de la perfusion cérébrale, soit scanner de perfusion soit imagerie par résonance magnétique.
La prévention de l’ICR repose sur la nimodipine administrée par voie orale ou intraveineuse.
Le traitement de l’ICR repose sur le maintien d’une pression de perfusion cérébrale (PAM≥100mmHg) et la neuroradiologie interventionnelle (angioplastie médicamenteuse par milrinone ou mécanique).Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 1 [01/01/2017] . - p. 37-47[article] Hémorragie sous-arachnoïdienne anévrysmale [Article] / G. Audibert, Auteur ; A. Baumann, Auteur . - 2017 . - p. 37-47.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 1 [01/01/2017] . - p. 37-47
Mots-clés : CERVEAU
DERIVATION
HEMORRAGIE
HYDROCEPHALIE
ISCHEMIE
REANIMATIONRésumé : Devant des signes cliniques d’hémorragie sous-arachnoïdienne (HSA), le diagnostic positif est réalisé par une tomodensitométrie encéphalique sans injection.
Le diagnostic étiologique d’une HSA repose sur l’angioscanner cérébral qui permet d’identifier l’anévrysme et d’étudier ses rapports anatomiques avant traitement.
En phase aiguë, la réanimation de complications cardiovasculaires et/ou respiratoires ne doit pas retarder le traitement du sac anévrysmal de plus de 12 à 24heures.
La sécurisation du sac anévrysmal doit être réalisée le plus précocement possible, au mieux dans les 24 premières heures suivant l’admission.
Si elle est nécessaire, une dérivation ventriculaire externe doit être mise en place avant embolisation.
La principale complication après HSA est l’ischémie cérébrale retardée (ICR), qui reconnaît plusieurs étiologies, dont le vasospasme.
La détection du vasospasme repose sur l’examen clinique et sur la réalisation régulière de Doppler transcraniens.
Le diagnostic d’ICR repose sur une technique d’imagerie de la perfusion cérébrale, soit scanner de perfusion soit imagerie par résonance magnétique.
La prévention de l’ICR repose sur la nimodipine administrée par voie orale ou intraveineuse.
Le traitement de l’ICR repose sur le maintien d’une pression de perfusion cérébrale (PAM≥100mmHg) et la neuroradiologie interventionnelle (angioplastie médicamenteuse par milrinone ou mécanique).Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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