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Republication de : Contraception : Recommandations pour la Pratique Clinique du CNGOF (texte court) / N. Chabbert-Buffet in Revue sage-femme (La), n° 1 ([01/02/2019])
[article]
Titre : Republication de : Contraception : Recommandations pour la Pratique Clinique du CNGOF (texte court) Type de document : Article Auteurs : N. Chabbert-Buffet, Auteur ; H. Marret, Auteur ; A. Agostini, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 30-51 Langues : Français (fre) Mots-clés : ADOLESCENT
CANCER
CONSULTATION
CONTRACEPTIF HORMONAL
CONTRACEPTION
DISPOSITIF MEDICAL
EPIDEMIOLOGIE
INTERACTION MEDICAMENTEUSE
MIGRAINE
RECOMMANDATION POUR LA PRATIQUE CLINIQUE
RISQUE
URGENCE
UTERUSRésumé : Ces Recommandations pour la pratique clinique en contraception sont les premières promues par le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), afin d'aider le praticien à prendre une décision médicale en lui fournissant une synthèse des données scientifiques existantes sur le sujet. La méthodologie de la Haute Autorité de santé (HAS) a été adoptée. Douze questions pratiques ont été sélectionnées par le comité d'organisation et le groupe de travail. La littérature a été analysée jusqu'en décembre 2017, des recommandations basées sur le niveau de preuve ont été proposées affectées d'un grade. Les textes longs, dont cette synthèse est issue, ont été relus par des experts en contraception et des praticiens du secteur privé ou public, ayant une activité en contraception. Des recommandations pratiques sont ainsi proposées pour la conduite de la consultation de contraception, l'information sur les méthodes contraceptives, leurs risques et bénéfices non contraceptifs, la gestion de la contraception hormonale en pratique, la contraception intra-utérine, la contraception d'urgence, les méthodes locales et naturelles, la contraception chez les adolescentes, après 40 ans, en situation à risque vasculaire ou carcinologique. La contraception définitive et l'emploi pour la contraception de molécules ne disposant pas d'une autorisation de mise sur le marché ont été exclus du champ de ces recommandations. L'avenir de la contraception à court et moyen terme tel qu'il peut être anticipé aujourd'hui, passe avant tout par le bon usage des moyens dont nous disposons aujourd'hui, l'information des femmes et l'amélioration de l'accès aux contraceptions pour toutes les femmes. C'est l'objectif poursuivi par ces recommandations de pratique clinique du CNGOF. Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 1 [01/02/2019] . - p. 30-51[article] Republication de : Contraception : Recommandations pour la Pratique Clinique du CNGOF (texte court) [Article] / N. Chabbert-Buffet, Auteur ; H. Marret, Auteur ; A. Agostini, Auteur ; et al., Auteur . - 2019 . - p. 30-51.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 1 [01/02/2019] . - p. 30-51
Mots-clés : ADOLESCENT
CANCER
CONSULTATION
CONTRACEPTIF HORMONAL
CONTRACEPTION
DISPOSITIF MEDICAL
EPIDEMIOLOGIE
INTERACTION MEDICAMENTEUSE
MIGRAINE
RECOMMANDATION POUR LA PRATIQUE CLINIQUE
RISQUE
URGENCE
UTERUSRésumé : Ces Recommandations pour la pratique clinique en contraception sont les premières promues par le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), afin d'aider le praticien à prendre une décision médicale en lui fournissant une synthèse des données scientifiques existantes sur le sujet. La méthodologie de la Haute Autorité de santé (HAS) a été adoptée. Douze questions pratiques ont été sélectionnées par le comité d'organisation et le groupe de travail. La littérature a été analysée jusqu'en décembre 2017, des recommandations basées sur le niveau de preuve ont été proposées affectées d'un grade. Les textes longs, dont cette synthèse est issue, ont été relus par des experts en contraception et des praticiens du secteur privé ou public, ayant une activité en contraception. Des recommandations pratiques sont ainsi proposées pour la conduite de la consultation de contraception, l'information sur les méthodes contraceptives, leurs risques et bénéfices non contraceptifs, la gestion de la contraception hormonale en pratique, la contraception intra-utérine, la contraception d'urgence, les méthodes locales et naturelles, la contraception chez les adolescentes, après 40 ans, en situation à risque vasculaire ou carcinologique. La contraception définitive et l'emploi pour la contraception de molécules ne disposant pas d'une autorisation de mise sur le marché ont été exclus du champ de ces recommandations. L'avenir de la contraception à court et moyen terme tel qu'il peut être anticipé aujourd'hui, passe avant tout par le bon usage des moyens dont nous disposons aujourd'hui, l'information des femmes et l'amélioration de l'accès aux contraceptions pour toutes les femmes. C'est l'objectif poursuivi par ces recommandations de pratique clinique du CNGOF. Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Republication de : La contraception d'urgence. RPC Contraception CNGOF / N. Hamdaoui in Revue sage-femme (La), n° 1 ([01/02/2019])
[article]
Titre : Republication de : La contraception d'urgence. RPC Contraception CNGOF Type de document : Article Auteurs : N. Hamdaoui, Auteur ; C. Cardinale, Auteur ; A. Agostini, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 52-59 Langues : Français (fre) Mots-clés : CONTRACEPTIF HORMONAL
CONTRACEPTION
DISPOSITIF MEDICAL
URGENCERésumé : Objectifs
Éditer, par le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), des recommandations fondées sur les preuves disponibles dans la littérature pour l’utilisation en termes d’efficacité, de sécurité et d’effets secondaires de la contraception d’urgence (CU).
Méthodes
Une revue de la littérature a été effectuée en consultant les données Medline, Cochrane Library et les recommandations internationales en langue française et anglaise du 1er janvier 1979 jusqu’au 1er mai 2018.
Résultats
Il est recommandé d’informer les patientes que la CU n’est pas efficace à 100 %. Un test de grossesse est recommandé en cas de retard de règles après prise d’une CU. Il est recommandé d’utiliser la CU le plus tôt possible après le rapport à risque. En l’absence de contraception au long cours, dans les 72 premières heures après le rapport sans protection, l’ulipristal acétate (UPA) ou le lévonorgestrel (LNG) peuvent être proposés avec une supériorité de l’UPA entre 0 et 72h. Au-delà de 72h, les données suggèrent une meilleure efficacité de l’UPA. Cependant, en prenant en compte des éléments pratiques (accès à la CU, coût, répercussions sur la prise d’une contraception hormonale après UPA), il est difficile de recommander l’UPA en priorité entre 0 et 72h. Les menstruations sont plus susceptibles d’arriver précocement avec le LNG. Le DIU au cuivre est une méthode efficace et peut être utilisé en CU jusqu’à 120h après un rapport sexuel non protégé ou en cas de risque d’échec d’une méthode contraceptive.
Conclusion
La contraception d’urgence n’est pas efficace à 100 %. Plus la prise de la CU est proche du rapport à risque, plus elle est efficace en termes de taux de grossesse.Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 1 [01/02/2019] . - p. 52-59[article] Republication de : La contraception d'urgence. RPC Contraception CNGOF [Article] / N. Hamdaoui, Auteur ; C. Cardinale, Auteur ; A. Agostini, Auteur . - 2019 . - p. 52-59.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 1 [01/02/2019] . - p. 52-59
Mots-clés : CONTRACEPTIF HORMONAL
CONTRACEPTION
DISPOSITIF MEDICAL
URGENCERésumé : Objectifs
Éditer, par le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), des recommandations fondées sur les preuves disponibles dans la littérature pour l’utilisation en termes d’efficacité, de sécurité et d’effets secondaires de la contraception d’urgence (CU).
Méthodes
Une revue de la littérature a été effectuée en consultant les données Medline, Cochrane Library et les recommandations internationales en langue française et anglaise du 1er janvier 1979 jusqu’au 1er mai 2018.
Résultats
Il est recommandé d’informer les patientes que la CU n’est pas efficace à 100 %. Un test de grossesse est recommandé en cas de retard de règles après prise d’une CU. Il est recommandé d’utiliser la CU le plus tôt possible après le rapport à risque. En l’absence de contraception au long cours, dans les 72 premières heures après le rapport sans protection, l’ulipristal acétate (UPA) ou le lévonorgestrel (LNG) peuvent être proposés avec une supériorité de l’UPA entre 0 et 72h. Au-delà de 72h, les données suggèrent une meilleure efficacité de l’UPA. Cependant, en prenant en compte des éléments pratiques (accès à la CU, coût, répercussions sur la prise d’une contraception hormonale après UPA), il est difficile de recommander l’UPA en priorité entre 0 et 72h. Les menstruations sont plus susceptibles d’arriver précocement avec le LNG. Le DIU au cuivre est une méthode efficace et peut être utilisé en CU jusqu’à 120h après un rapport sexuel non protégé ou en cas de risque d’échec d’une méthode contraceptive.
Conclusion
La contraception d’urgence n’est pas efficace à 100 %. Plus la prise de la CU est proche du rapport à risque, plus elle est efficace en termes de taux de grossesse.Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible