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Accouchement après césarienne en cas de grossesse gémellaire : tentative de voie basse ou césarienne programmée ? / J. Ben-guigui in Revue sage-femme (La), n° 5 ([01/10/2018])
[article]
Titre : Accouchement après césarienne en cas de grossesse gémellaire : tentative de voie basse ou césarienne programmée ? Type de document : Article Auteurs : J. Ben-guigui, Auteur ; E. Gauchotte, Auteur ; J. Poujois, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 208-214 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCOUCHEMENT
CESARIENNE
GROSSESSE MULTIPLE
UTERUS CICATRICIELRésumé : Objectif
Comparer les données maternelles et néonatales des grossesses gémellaires avec antécédent de césarienne selon la voie d’accouchement.
Matériels et méthodes
Dans une étude rétrospective menée du 1er janvier 2002 au 31 décembre 2016 à la maternité du CHU de Nancy, toutes les patientes ayant un utérus cicatriciel et une grossesse gémellaire supérieure à 24 semaines d’aménorrhée ont été inclues. Les données maternelles et néonatales entre les groupes « césarienne programmée après césarienne » (CPAC) et « tentative de voie basse après césarienne » (TVBAC) ont été comparées.
Résultats
Au total, 99 patientes ont été inclues, 66,7 % (n=66) dans le groupe CPAC et 33,3 % (n=33) dans le groupe TVBAC. Dans le groupe « TVBAC », un déclenchement artificiel du travail avait été effectué chez 39,4 % (n=13) et le taux d’accouchement par voie basse s’élevait à 54,5 % (n=18). Il n’y avait pas d’augmentation significative des complications maternelles en cas de succès ou d’échec de TVBAC. La quantité de pertes sanguines était significativement moins importante dans le groupe « TVBAC » versus le groupe « CPAC » (respectivement 225±106mL versus 800±141mL (p=0,01)). Les patientes du groupe « TVBAC » avaient une durée d’hospitalisation significativement plus courte que dans le groupe « CPAC » respectivement de 4,9±2jours versus 6,0±1,9jours (p=0,01). Il n’existait pas de différence significative entre les caractéristiques néonatales des deux groupes.
Conclusion
Une tentative d’accouchement par voie basse après césarienne, en cas de grossesse gémellaire, est envisageable car elle ne semble pas augmenter le nombre de complications maternelles ou néonatales.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 5 [01/10/2018] . - p. 208-214[article] Accouchement après césarienne en cas de grossesse gémellaire : tentative de voie basse ou césarienne programmée ? [Article] / J. Ben-guigui, Auteur ; E. Gauchotte, Auteur ; J. Poujois, Auteur . - 2018 . - p. 208-214.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 5 [01/10/2018] . - p. 208-214
Mots-clés : ACCOUCHEMENT
CESARIENNE
GROSSESSE MULTIPLE
UTERUS CICATRICIELRésumé : Objectif
Comparer les données maternelles et néonatales des grossesses gémellaires avec antécédent de césarienne selon la voie d’accouchement.
Matériels et méthodes
Dans une étude rétrospective menée du 1er janvier 2002 au 31 décembre 2016 à la maternité du CHU de Nancy, toutes les patientes ayant un utérus cicatriciel et une grossesse gémellaire supérieure à 24 semaines d’aménorrhée ont été inclues. Les données maternelles et néonatales entre les groupes « césarienne programmée après césarienne » (CPAC) et « tentative de voie basse après césarienne » (TVBAC) ont été comparées.
Résultats
Au total, 99 patientes ont été inclues, 66,7 % (n=66) dans le groupe CPAC et 33,3 % (n=33) dans le groupe TVBAC. Dans le groupe « TVBAC », un déclenchement artificiel du travail avait été effectué chez 39,4 % (n=13) et le taux d’accouchement par voie basse s’élevait à 54,5 % (n=18). Il n’y avait pas d’augmentation significative des complications maternelles en cas de succès ou d’échec de TVBAC. La quantité de pertes sanguines était significativement moins importante dans le groupe « TVBAC » versus le groupe « CPAC » (respectivement 225±106mL versus 800±141mL (p=0,01)). Les patientes du groupe « TVBAC » avaient une durée d’hospitalisation significativement plus courte que dans le groupe « CPAC » respectivement de 4,9±2jours versus 6,0±1,9jours (p=0,01). Il n’existait pas de différence significative entre les caractéristiques néonatales des deux groupes.
Conclusion
Une tentative d’accouchement par voie basse après césarienne, en cas de grossesse gémellaire, est envisageable car elle ne semble pas augmenter le nombre de complications maternelles ou néonatales.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Accouchement par voie basse des fœtus en présentation du siège : impact d’une politique incitative de service / L. Hejl in Revue sage-femme (La), n° 1 ([01/02/2018])
[article]
Titre : Accouchement par voie basse des fœtus en présentation du siège : impact d’une politique incitative de service Type de document : Article Auteurs : L. Hejl, Auteur ; E. Perdriolle-Galet, Auteur ; E. Gauchotte, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 22-32 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCOUCHEMENT
PRESENTATION PAR LE SIEGE
PROTOCOLERésumé : Objectifs
La voie d’accouchement lors de présentations du siège est l’objet de polémiques depuis les années 2000, ce qui a conduit à un taux de césariennes élevé. Dans notre centre, la voie d’accouchement était laissée à l’appréciation du médecin suivant la grossesse avant 2012. À compter de 2012, la prise en charge de ces présentations était encadrée par un protocole permettant une prise en charge collégiale incitative à la voie basse. L’objectif de cette étude était d’évaluer l’impact de cette politique sur les issues des accouchements ainsi que sur les pratiques obstétricales.
Méthodes
Une étude rétrospective comparant 2008 à 2014, avant puis après la mise en place du protocole, a été menée au sein d’une maternité universitaire de type III. Deux cent quarante-cinq patientes, dont le fœtus était en présentation du siège, à plus de 32 semaines d’aménorrhée ont été inclues. Le critère de jugement principal était le taux de tentative d’accouchement par voie basse (TAVB). Les critères secondaires étaient l’évolution des pratiques ainsi que de l’état néonatal.
Résultats
Cent vingt-six patientes ayant accouché en 2008 ont été comparées à 105 prises en charge en 2014. Le taux de réussite des TAVB a augmenté de 32,7 % (n =16/49) à 63,8 % (n =37/58) (p Conclusion
Ce travail montre qu’il est possible de limiter le taux de césariennes programmées et en cours de travail grâce à une politique incitative de service sans impact sur la morbi-mortalité néonatale.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 1 [01/02/2018] . - p. 22-32[article] Accouchement par voie basse des fœtus en présentation du siège : impact d’une politique incitative de service [Article] / L. Hejl, Auteur ; E. Perdriolle-Galet, Auteur ; E. Gauchotte, Auteur ; et al., Auteur . - 2018 . - p. 22-32.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 1 [01/02/2018] . - p. 22-32
Mots-clés : ACCOUCHEMENT
PRESENTATION PAR LE SIEGE
PROTOCOLERésumé : Objectifs
La voie d’accouchement lors de présentations du siège est l’objet de polémiques depuis les années 2000, ce qui a conduit à un taux de césariennes élevé. Dans notre centre, la voie d’accouchement était laissée à l’appréciation du médecin suivant la grossesse avant 2012. À compter de 2012, la prise en charge de ces présentations était encadrée par un protocole permettant une prise en charge collégiale incitative à la voie basse. L’objectif de cette étude était d’évaluer l’impact de cette politique sur les issues des accouchements ainsi que sur les pratiques obstétricales.
Méthodes
Une étude rétrospective comparant 2008 à 2014, avant puis après la mise en place du protocole, a été menée au sein d’une maternité universitaire de type III. Deux cent quarante-cinq patientes, dont le fœtus était en présentation du siège, à plus de 32 semaines d’aménorrhée ont été inclues. Le critère de jugement principal était le taux de tentative d’accouchement par voie basse (TAVB). Les critères secondaires étaient l’évolution des pratiques ainsi que de l’état néonatal.
Résultats
Cent vingt-six patientes ayant accouché en 2008 ont été comparées à 105 prises en charge en 2014. Le taux de réussite des TAVB a augmenté de 32,7 % (n =16/49) à 63,8 % (n =37/58) (p Conclusion
Ce travail montre qu’il est possible de limiter le taux de césariennes programmées et en cours de travail grâce à une politique incitative de service sans impact sur la morbi-mortalité néonatale.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible