[article] | Titre : |
Les grandes figures de la psychiatrie 6/7 : Jean-Etienne Dominique Esquirol |
| Type de document : |
Article |
| Auteurs : |
Armel Rivallan, Auteur |
| Année de publication : |
2012 |
| Article en page(s) : |
p. 45-46 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
BIOGRAPHIE
PSYCHIATRE
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| Résumé : |
Jean-Étienne Dominique Esquirol (1772-1840) est un psychiatre français originaire de Toulouse, où il fit ses études de théologie et de médecine, comme son maître Philippe Pinel, dont il devint l’élève, puis l’assistant à la Salpêtrière à Paris, avant de lui succéder en 1810. J.-É.D. Esquirol perfectionna l’œuvre de son prédécesseur, tant en matière de nosologie que dans le domaine des traitements et de l’assistance aux aliénés, pour lesquels il fit voter la fameuse loi du 30 juin 1838 sur l’hospitalisation et l’internement des malades mentaux en France. Devenu entre-temps médecin-chef de la Maison royale de Charenton en 1824, il mourut couvert d’honneurs officiels et académiques.
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| Cote : |
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| Permalink : |
https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id |
in Soins Psychiatrie > n° 281 [01/07/2012] . - p. 45-46
[article] Les grandes figures de la psychiatrie 6/7 : Jean-Etienne Dominique Esquirol [Article] / Armel Rivallan, Auteur . - 2012 . - p. 45-46. Langues : Français ( fre) in Soins Psychiatrie > n° 281 [01/07/2012] . - p. 45-46 | Mots-clés : |
BIOGRAPHIE
PSYCHIATRE
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| Résumé : |
Jean-Étienne Dominique Esquirol (1772-1840) est un psychiatre français originaire de Toulouse, où il fit ses études de théologie et de médecine, comme son maître Philippe Pinel, dont il devint l’élève, puis l’assistant à la Salpêtrière à Paris, avant de lui succéder en 1810. J.-É.D. Esquirol perfectionna l’œuvre de son prédécesseur, tant en matière de nosologie que dans le domaine des traitements et de l’assistance aux aliénés, pour lesquels il fit voter la fameuse loi du 30 juin 1838 sur l’hospitalisation et l’internement des malades mentaux en France. Devenu entre-temps médecin-chef de la Maison royale de Charenton en 1824, il mourut couvert d’honneurs officiels et académiques.
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