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Auteur Anne Godier |
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Gestion des agents antiplaquettaires pour une procédure invasive programmée. Propositions du Groupe d’intérêt en hémostase périopératoire (GIHP) et du Groupe français d’études sur l’hémostase et la thrombose (GFHT) en collaboration avec la Société française d’anesthésie-réanimation (SFAR) / Anne Godier in Anesthésie & Réanimation, n° 6 ([01/11/2018])
[article]
Titre : Gestion des agents antiplaquettaires pour une procédure invasive programmée. Propositions du Groupe d’intérêt en hémostase périopératoire (GIHP) et du Groupe français d’études sur l’hémostase et la thrombose (GFHT) en collaboration avec la Société française d’anesthésie-réanimation (SFAR) Type de document : Article Auteurs : Anne Godier, Auteur ; Pierre Fontana, Auteur ; Serge Motte, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 548-562 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANESTHESIE LOCO-REGIONALE
CHIRURGIE
HEMORRAGIE
PONTAGE
THROMBOSERésumé : Le Groupe d’intérêt en hémostase périopératoire (GIHP) et le Groupe français d’études sur l’hémostase et la thrombose (GFHT), en collaboration avec la Société française d’anesthésie-réanimation (SFAR) ont fait des propositions de gestion des agents antiplaquettaires (AAP) pour une procédure invasive programmée. Ces propositions ont été discutées et validées par vote ; toutes sauf une ont fait l’objet d’un accord fort. La gestion des AAP dépend de leur indication et de la procédure considérée. Le risque hémorragique lié à la procédure invasive peut être divisé en bas, intermédiaire ou élevé, selon la possibilité ou non de réaliser la procédure sous traitement (sous respectivement bithérapie antiplaquettaire, aspirine en monothérapie ou aucun AAP). Si une interruption des AAP est indiquée avant la procédure, une dernière prise d’aspirine, clopidogrel, ticagrélor et prasugrel 3, 5, 5 et 7jours avant la procédure est proposée. Le risqué thrombotique associé à l’interruption des AAP doit être évalué en fonction de l’indication des AAP. Il est plus élevé chez les patients traités par bithérapie pour un stent coronaire que chez ceux traités par monothérapie pour une prévention cardiovasculaire, un antécédent d’accident vasculaire cérébral ischémique ou une artériopathie oblitérante des membres inférieurs. Ces propositions concernent aussi le rôle potentiel des tests fonctionnels plaquettaires, la gestion des AAP pour l’anesthésie locorégionale, centrale et périphérique, et pour la chirurgie cardiaque coronaire. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 6 [01/11/2018] . - p. 548-562[article] Gestion des agents antiplaquettaires pour une procédure invasive programmée. Propositions du Groupe d’intérêt en hémostase périopératoire (GIHP) et du Groupe français d’études sur l’hémostase et la thrombose (GFHT) en collaboration avec la Société française d’anesthésie-réanimation (SFAR) [Article] / Anne Godier, Auteur ; Pierre Fontana, Auteur ; Serge Motte, Auteur ; et al., Auteur . - 2018 . - p. 548-562.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 6 [01/11/2018] . - p. 548-562
Mots-clés : ANESTHESIE LOCO-REGIONALE
CHIRURGIE
HEMORRAGIE
PONTAGE
THROMBOSERésumé : Le Groupe d’intérêt en hémostase périopératoire (GIHP) et le Groupe français d’études sur l’hémostase et la thrombose (GFHT), en collaboration avec la Société française d’anesthésie-réanimation (SFAR) ont fait des propositions de gestion des agents antiplaquettaires (AAP) pour une procédure invasive programmée. Ces propositions ont été discutées et validées par vote ; toutes sauf une ont fait l’objet d’un accord fort. La gestion des AAP dépend de leur indication et de la procédure considérée. Le risque hémorragique lié à la procédure invasive peut être divisé en bas, intermédiaire ou élevé, selon la possibilité ou non de réaliser la procédure sous traitement (sous respectivement bithérapie antiplaquettaire, aspirine en monothérapie ou aucun AAP). Si une interruption des AAP est indiquée avant la procédure, une dernière prise d’aspirine, clopidogrel, ticagrélor et prasugrel 3, 5, 5 et 7jours avant la procédure est proposée. Le risqué thrombotique associé à l’interruption des AAP doit être évalué en fonction de l’indication des AAP. Il est plus élevé chez les patients traités par bithérapie pour un stent coronaire que chez ceux traités par monothérapie pour une prévention cardiovasculaire, un antécédent d’accident vasculaire cérébral ischémique ou une artériopathie oblitérante des membres inférieurs. Ces propositions concernent aussi le rôle potentiel des tests fonctionnels plaquettaires, la gestion des AAP pour l’anesthésie locorégionale, centrale et périphérique, et pour la chirurgie cardiaque coronaire. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Gestion périopératoire des agents antiplaquettaires chez le patient coronarien / Anne Godier in Anesthésie & Réanimation, n° 4 ([01/07/2017])
[article]
Titre : Gestion périopératoire des agents antiplaquettaires chez le patient coronarien Type de document : Article Auteurs : Anne Godier, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 343-348 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIRURGIE
CORONAIRE
HEMORRAGIE
INFARCTUS DU MYOCARDE
SOIN PERIOPERATOIRERésumé : La gestion des agents antiplaquettaires (AAP) pour une procédure invasive chez un patient coronarien dépend de la balance des risques thrombotiques et hémorragiques et de la possibilité d’un éventuel report la procédure. Le risque hémorragique de la procédure se classe en risque faible, intermédiaire ou élevé selon que la procédure peut être réalisée sous bithérapie antiplaquettaire, sous aspirine ou qu’elle doit être réalisée sans AAP. Si l’arrêt des AAP est indispensable, ils sont arrêtés avec une dernière prise d’aspirine à j–3 pour l’aspirine (j0=jour de la procédure), à j–5 pour le clopidogrel et le ticagrelor et à j–7 pour le prasugrel. La gestion des AAP dépend aussi du risque thrombotique du patient coronarien, d’autant plus élevé que la procédure s’envisage précocement après une pose de stent ou un infarctus du myocarde. Dans ces situations, la procédure doit être différée, au mieux à la fin de la bithérapie, au minimum après le premier mois ; l’aspirine doit être poursuivie ; et l’approche périopératoire doit être multidisciplinaire. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 343-348[article] Gestion périopératoire des agents antiplaquettaires chez le patient coronarien [Article] / Anne Godier, Auteur . - 2017 . - p. 343-348.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 343-348
Mots-clés : CHIRURGIE
CORONAIRE
HEMORRAGIE
INFARCTUS DU MYOCARDE
SOIN PERIOPERATOIRERésumé : La gestion des agents antiplaquettaires (AAP) pour une procédure invasive chez un patient coronarien dépend de la balance des risques thrombotiques et hémorragiques et de la possibilité d’un éventuel report la procédure. Le risque hémorragique de la procédure se classe en risque faible, intermédiaire ou élevé selon que la procédure peut être réalisée sous bithérapie antiplaquettaire, sous aspirine ou qu’elle doit être réalisée sans AAP. Si l’arrêt des AAP est indispensable, ils sont arrêtés avec une dernière prise d’aspirine à j–3 pour l’aspirine (j0=jour de la procédure), à j–5 pour le clopidogrel et le ticagrelor et à j–7 pour le prasugrel. La gestion des AAP dépend aussi du risque thrombotique du patient coronarien, d’autant plus élevé que la procédure s’envisage précocement après une pose de stent ou un infarctus du myocarde. Dans ces situations, la procédure doit être différée, au mieux à la fin de la bithérapie, au minimum après le premier mois ; l’aspirine doit être poursuivie ; et l’approche périopératoire doit être multidisciplinaire. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Prise en charge du patient coronarien en chirurgie non cardiaque : un parangon de la médecine péri opératoire moderne ! / Jean-Luc Fellahi in Anesthésie & Réanimation, n° 4 ([01/07/2017])
[article]
Titre : Prise en charge du patient coronarien en chirurgie non cardiaque : un parangon de la médecine péri opératoire moderne ! Type de document : Article Auteurs : Jean-Luc Fellahi, Auteur ; Anne Godier, Auteur ; Valérie Billard, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 305-307 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIRURGIE
CORONAIRECote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 305-307[article] Prise en charge du patient coronarien en chirurgie non cardiaque : un parangon de la médecine péri opératoire moderne ! [Article] / Jean-Luc Fellahi, Auteur ; Anne Godier, Auteur ; Valérie Billard, Auteur . - 2017 . - p. 305-307.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 305-307
Mots-clés : CHIRURGIE
CORONAIRECote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Risque thrombotique des traitements médicaments des hémorragies / Anne Godier in Anesthésie & Réanimation, n° 3 ([01/06/2015])
[article]
Titre : Risque thrombotique des traitements médicaments des hémorragies Type de document : Article Auteurs : Anne Godier, Auteur ; Susen Susen, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 248-255 Langues : Français (fre) Mots-clés : HEMORRAGIE
RISQUE MEDICAL
SECURITE
THERAPEUTIQUE MEDICAMENTEUSE
THROMBOSERésumé : L’acide tranexamique, les concentrés de fibrinogène, les concentrés de complexe prothrombinique et le facteur VII activé recombinant sont les principaux médicaments hémostatiques utilisés au cours des hémorragies afin de réduire le saignement en prévenant ou en traitant la coagulopathie, de façon spécifique ou non. En renforçant les capacités hémostatiques, ces médicaments contribuent à l’élaboration du caillot au site de l’hémorragie, mais exposent aussi à un risque thrombotique, dont les manifestations incluent l’embolie pulmonaire, l’accident vasculaire cérébral ischémique, l’infarctus du myocarde, ou tout autre évènement thrombotique veineux ou artériel. Ce risque thrombotique, souvent mal documenté, est très variable d’un produit à l’autre et et dépend aussi des facteurs de risque liés au patient et des circonstances de survenue de l’hémorragie. S’il semble bas et non établi avec l’acide tranexamique, à l’inverse, il est élevé et bien documenté avec le facteur VII activé recombinant. Il est donc nécessaire d’évaluer ce risque au regard des différents produits et des niveaux de risque des patients afin de le mettre en balance avec les bénéfices attendus. Cote : . Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 3 [01/06/2015] . - p. 248-255[article] Risque thrombotique des traitements médicaments des hémorragies [Article] / Anne Godier, Auteur ; Susen Susen, Auteur . - 2015 . - p. 248-255.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 3 [01/06/2015] . - p. 248-255
Mots-clés : HEMORRAGIE
RISQUE MEDICAL
SECURITE
THERAPEUTIQUE MEDICAMENTEUSE
THROMBOSERésumé : L’acide tranexamique, les concentrés de fibrinogène, les concentrés de complexe prothrombinique et le facteur VII activé recombinant sont les principaux médicaments hémostatiques utilisés au cours des hémorragies afin de réduire le saignement en prévenant ou en traitant la coagulopathie, de façon spécifique ou non. En renforçant les capacités hémostatiques, ces médicaments contribuent à l’élaboration du caillot au site de l’hémorragie, mais exposent aussi à un risque thrombotique, dont les manifestations incluent l’embolie pulmonaire, l’accident vasculaire cérébral ischémique, l’infarctus du myocarde, ou tout autre évènement thrombotique veineux ou artériel. Ce risque thrombotique, souvent mal documenté, est très variable d’un produit à l’autre et et dépend aussi des facteurs de risque liés au patient et des circonstances de survenue de l’hémorragie. S’il semble bas et non établi avec l’acide tranexamique, à l’inverse, il est élevé et bien documenté avec le facteur VII activé recombinant. Il est donc nécessaire d’évaluer ce risque au regard des différents produits et des niveaux de risque des patients afin de le mettre en balance avec les bénéfices attendus. Cote : . Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible