[article] Titre : |
Une nécrolyse épidermique toxique à en perdre ses dents |
Type de document : |
Article |
Auteurs : |
Marie Bergez, Auteur ; Nathalie Benillan, Auteur ; Pascale Becouarn-Gerson, Auteur ; et al., Auteur |
Année de publication : |
2015 |
Article en page(s) : |
p. 342-346 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
DENT NECROSE PEAU THROMBOPATIE
|
Résumé : |
Le syndrome de Lyell est une pathologie cutanéo-muqueuse rare pouvant mettre en jeu le pronostic vital et fonctionnel des patients. Son diagnostic et son traitement précoces sont d’une importance capitale du fait de son fort taux de mortalité. Nous rapportons le cas d’une patiente de 42 ans, sans antécédent, ayant développé un tableau de nécrolyse épidermique toxique (NET). Le tableau clinique était inhabituel par l’étendue des lésions (décollement cutané de plus de 95 % de la surface corporelle) et par la chute dentaire due à une atteinte parodontale majeure. La cause toxique n’a pas pu être identifiée, la patiente bénéficiait d’un traitement par paracétamol dont l’imputabilité n’a pas été établie. |
Permalink : |
https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id |
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2015] . - p. 342-346
[article] Une nécrolyse épidermique toxique à en perdre ses dents [Article] / Marie Bergez, Auteur ; Nathalie Benillan, Auteur ; Pascale Becouarn-Gerson, Auteur ; et al., Auteur . - 2015 . - p. 342-346. Langues : Français ( fre) in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2015] . - p. 342-346 Mots-clés : |
DENT NECROSE PEAU THROMBOPATIE
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Résumé : |
Le syndrome de Lyell est une pathologie cutanéo-muqueuse rare pouvant mettre en jeu le pronostic vital et fonctionnel des patients. Son diagnostic et son traitement précoces sont d’une importance capitale du fait de son fort taux de mortalité. Nous rapportons le cas d’une patiente de 42 ans, sans antécédent, ayant développé un tableau de nécrolyse épidermique toxique (NET). Le tableau clinique était inhabituel par l’étendue des lésions (décollement cutané de plus de 95 % de la surface corporelle) et par la chute dentaire due à une atteinte parodontale majeure. La cause toxique n’a pas pu être identifiée, la patiente bénéficiait d’un traitement par paracétamol dont l’imputabilité n’a pas été établie. |
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