[article] 
inVocation sage-femme > n° 99 [01/11/2012] . - p. 30-32

Titre :	Y a-t-il des dénis de grossesse qui se terminent bien ?
Type de document :	Article
Auteurs :	Marie-Elisabeth Sanselme-Cardenas, Auteur ; Jean-Robert Rabanel, Auteur ; Rémi Lestien, Auteur ; et al., Auteur
Année de publication :	2012
Article en page(s) :	p. 30-32
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	DENI ETUDE DE CAS GROSSESSE GYNECOLOGIE INCONSCIENT LACAN (JACQUES) LANGAGE MECANISME DE DEFENSE OBSTETRIQUE PENSEE PHYSIOLOGIE PREVENTION PSYCHISME PSYCHOLOGUE PSYCHOSE RELATION MERE/ENFANT REPRESENTATION DU CORPS TABOU
Résumé :	Ce travail a été réalisé dans le cadre de la maternité de niveau 3 du Centre hospitalier universitaire de Clermont-Ferrand qui accueille, depuis huit ans, des présentations cliniques. Il s’appuie sur un corpus récent de l’expérience clinique de gynécologues-obstétriciens courageux et novateurs qui ont avancé et fait connaître l’idée du déni de la grossesse et ont permis sa transmission au corps médical, à la société et à la justice. Il se réfère au discours analytique et porte essentiellement sur deux cas de déni de grossesse totaux, le premier, chez une primipare et l’autre, chez une seconde pare ayant déjà présenté un déni partiel lors de sa première grossesse.
Cote :
Permalink :	https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

[article] Y a-t-il des dénis de grossesse qui se terminent bien ? [Article] / Marie-Elisabeth Sanselme-Cardenas, Auteur ; Jean-Robert Rabanel, Auteur ; Rémi Lestien, Auteur ; et al., Auteur . - 2012 . - p. 30-32.
Langues : Français (fre)
in Vocation sage-femme > n° 99 [01/11/2012] . - p. 30-32

Mots-clés :	DENI ETUDE DE CAS GROSSESSE GYNECOLOGIE INCONSCIENT LACAN (JACQUES) LANGAGE MECANISME DE DEFENSE OBSTETRIQUE PENSEE PHYSIOLOGIE PREVENTION PSYCHISME PSYCHOLOGUE PSYCHOSE RELATION MERE/ENFANT REPRESENTATION DU CORPS TABOU
Résumé :	Ce travail a été réalisé dans le cadre de la maternité de niveau 3 du Centre hospitalier universitaire de Clermont-Ferrand qui accueille, depuis huit ans, des présentations cliniques. Il s’appuie sur un corpus récent de l’expérience clinique de gynécologues-obstétriciens courageux et novateurs qui ont avancé et fait connaître l’idée du déni de la grossesse et ont permis sa transmission au corps médical, à la société et à la justice. Il se réfère au discours analytique et porte essentiellement sur deux cas de déni de grossesse totaux, le premier, chez une primipare et l’autre, chez une seconde pare ayant déjà présenté un déni partiel lors de sa première grossesse.
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