[article] 
inEthique et santé > n° 4 [01/12/2012] . - p. 156-158

Titre :	Définition d'un concept : approches anthropologique et sociologique de la croyance et sa fonction
Type de document :	Article
Auteurs :	M.-C. Leneveu, Auteur
Année de publication :	2012
Article en page(s) :	p. 156-158
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	ANTHROPOLOGIE CONCEPT CROYANCE CULTURE SOCIOLOGIE
Résumé :	Selon Durkheim et Mauss, « le symbolique » est au cœur du procès de création de la société et parce qu’elles en constituent le fondement même, il existe des croyances dans toutes les sociétés. Composées d’un ensemble de normes forgé à partir d’un système symbolique original, ces dernières développent nécessairement un type de croyance particulier. En effet, sous tous ses aspects et à tous les moments de son histoire, la vie sociale n’est possible que grâce à un vaste symbolisme qui manifeste, via le corps de l’homme, un système de croyances collectives. Domaine de l’abstrait, la société utilise donc la corporéité pour entrer dans le domaine de la visibilité. En s’imprimant dans le corps et en s’exprimant par les pratiques humaines, l’empreinte porteuse de significations fait ainsi de la corporéité un phénomène social. In fine, médiateur de la culture du groupe au sein duquel son corps va évoluer, l’homme est en quelque sorte le produit et le porte-parole du système de croyances de la communauté à laquelle il appartient.
Cote :	.
Permalink :	https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

[article] Définition d'un concept : approches anthropologique et sociologique de la croyance et sa fonction [Article] / M.-C. Leneveu, Auteur . - 2012 . - p. 156-158.
Langues : Français (fre)
in Ethique et santé > n° 4 [01/12/2012] . - p. 156-158

Mots-clés :	ANTHROPOLOGIE CONCEPT CROYANCE CULTURE SOCIOLOGIE
Résumé :	Selon Durkheim et Mauss, « le symbolique » est au cœur du procès de création de la société et parce qu’elles en constituent le fondement même, il existe des croyances dans toutes les sociétés. Composées d’un ensemble de normes forgé à partir d’un système symbolique original, ces dernières développent nécessairement un type de croyance particulier. En effet, sous tous ses aspects et à tous les moments de son histoire, la vie sociale n’est possible que grâce à un vaste symbolisme qui manifeste, via le corps de l’homme, un système de croyances collectives. Domaine de l’abstrait, la société utilise donc la corporéité pour entrer dans le domaine de la visibilité. En s’imprimant dans le corps et en s’exprimant par les pratiques humaines, l’empreinte porteuse de significations fait ainsi de la corporéité un phénomène social. In fine, médiateur de la culture du groupe au sein duquel son corps va évoluer, l’homme est en quelque sorte le produit et le porte-parole du système de croyances de la communauté à laquelle il appartient.
Cote :	.
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