Accueil de la Bulle
Accueil
Détail de l'auteur
Auteur Bayaki Saka |
Documents disponibles écrits par cet auteur (3)
Affiner la recherche
Discrimination et stigmatisation vécues par les personnes vivant avec le VIH au Togo en 2013 / Bayaki Saka in Santé publique, n° 6 ([01/11/2017])
[article]
Titre : Discrimination et stigmatisation vécues par les personnes vivant avec le VIH au Togo en 2013 Type de document : Article Auteurs : Bayaki Saka, Auteur ; Boris Tchounga, Auteur ; Didier K. Ekouevi, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 897-907 Langues : Français (fre) Mots-clés : AFRIQUE
DISCRIMINATION
SIDA
STIGMATISATION
TOGORésumé : Introduction : La stigmatisation et la discrimination envers les personnes vivant avec le VIH (PVVIH) empêchent ou retardent l’accès aux services de prévention et de traitement. L’objectif de cette étude était de décrire les aspects de la stigmatisation et de la discrimination vécues par les PVVIH au Togo et d’identifier les facteurs associés.
Méthodes : Une étude transversale a été menée en 2013 auprès des PVVIH de plus de 18 ans afin de recueillir leurs expériences de stigmatisation et de discrimination. Les facteurs associés ont été recherchés grâce à des analyses uni et multivariées.
Résultats : Au total, 891 PVVIH dont 95,2 % sous traitement antirétroviral ont été enquêtées. La stigmatisation par une tierce personne (37,9 %) était la forme majeure de stigmatisation, suivie de l’auto stigmatisation (35,4 %). Les principaux aspects de la stigmatisation par une tierce étaient les commérages (36,5 %) et les difficultés d’accès à l’éducation (36 %). L’auto stigmatisation se manifestait essentiellement par un sentiment de culpabilité (37,6 %) et une auto dévalorisation de soi (36,0 %). En analyse uni et multivariée, le genre féminin était significativement associé à la stigmatisation (ORa = 1,73 ; IC95 % [1,08-2,77]). Par ailleurs, 8,4 % des PVVIH déclaraient avoir été victimes d’une violation de leurs droits. Enfin, 4,1 % des femmes avaient été dissuadées d’avoir des enfants.
Conclusion : La stigmatisation touche plus du tiers des PVVIH au Togo, principalement les femmes. Il est nécessaire de repenser les actions de prévention et intégrer un volet psychologique dans la prise en charge des PVVIH parallèlement au traitement antirétroviral.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 6 [01/11/2017] . - p. 897-907[article] Discrimination et stigmatisation vécues par les personnes vivant avec le VIH au Togo en 2013 [Article] / Bayaki Saka, Auteur ; Boris Tchounga, Auteur ; Didier K. Ekouevi, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p. 897-907.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 6 [01/11/2017] . - p. 897-907
Mots-clés : AFRIQUE
DISCRIMINATION
SIDA
STIGMATISATION
TOGORésumé : Introduction : La stigmatisation et la discrimination envers les personnes vivant avec le VIH (PVVIH) empêchent ou retardent l’accès aux services de prévention et de traitement. L’objectif de cette étude était de décrire les aspects de la stigmatisation et de la discrimination vécues par les PVVIH au Togo et d’identifier les facteurs associés.
Méthodes : Une étude transversale a été menée en 2013 auprès des PVVIH de plus de 18 ans afin de recueillir leurs expériences de stigmatisation et de discrimination. Les facteurs associés ont été recherchés grâce à des analyses uni et multivariées.
Résultats : Au total, 891 PVVIH dont 95,2 % sous traitement antirétroviral ont été enquêtées. La stigmatisation par une tierce personne (37,9 %) était la forme majeure de stigmatisation, suivie de l’auto stigmatisation (35,4 %). Les principaux aspects de la stigmatisation par une tierce étaient les commérages (36,5 %) et les difficultés d’accès à l’éducation (36 %). L’auto stigmatisation se manifestait essentiellement par un sentiment de culpabilité (37,6 %) et une auto dévalorisation de soi (36,0 %). En analyse uni et multivariée, le genre féminin était significativement associé à la stigmatisation (ORa = 1,73 ; IC95 % [1,08-2,77]). Par ailleurs, 8,4 % des PVVIH déclaraient avoir été victimes d’une violation de leurs droits. Enfin, 4,1 % des femmes avaient été dissuadées d’avoir des enfants.
Conclusion : La stigmatisation touche plus du tiers des PVVIH au Togo, principalement les femmes. Il est nécessaire de repenser les actions de prévention et intégrer un volet psychologique dans la prise en charge des PVVIH parallèlement au traitement antirétroviral.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Évaluation du projet de téléexpertise dans la prise en charge des dermatoses courantes au Togo / Bayaki Saka in Santé publique, n° 2 ([01/03/2023])
[article]
Titre : Évaluation du projet de téléexpertise dans la prise en charge des dermatoses courantes au Togo Type de document : Article Auteurs : Bayaki Saka, Auteur ; Abas Mouhari-Toure, Auteur ; Sefako Akakpo, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 211-219 Langues : Français (fre) Mots-clés : DERMATOLOGIE
DIAGNOSTIC
EXPERTISE MEDICALE
TELEMEDECINE
TOGORésumé : Introduction : La téléexpertise en dermatologie représente une piste pour modifier l’exercice médical en réponse aux besoins d’économies de la santé. Le but de cette étude était d’évaluer les activités médicales de la phase pilote du projet de téléexpertise en dermatologie au Togo.
Méthode : Il s’agit d’une étude transversale menée en octobre 2020 sur les 20 sites de la phase pilote. Cette évaluation consistait en une revue documentaire et l’analyse des données postées sur la plateforme de téléexpertise.
Résultats : Au total, 738 (10,8 %) des 6 810 consultations dermatologiques ont été postées sur la plateforme de téléexpertise. Sur les 738 cas, l’expertise du dermatologue n’a pas permis de poser un diagnostic dans 119 cas (16,1 %). Cette expertise a confirmé l’hypothèse clinique unique proposée par l’agent de santé dans 275 cas (37,3 %) et a permis de conclure à un diagnostic parmi plusieurs hypothèses cliniques dans 30 cas (4,1 %). Au contraire, le diagnostic du dermatologue ne figurait pas dans les hypothèses de l’agent de santé dans 201 cas (27,2 %), et aucune hypothèse clinique n’avait été formulée dans 113 cas (15,3 %). La concordance entre l’hypothèse clinique proposée par l’agent de santé et le diagnostic du dermatologue était de 48,8 %. Concernant l’acceptabilité de la téléexpertise, un seul refus a été enregistré. Tous les patients étaient très satisfaits de cette pratique.
Conclusions : Les résultats montrent la faisabilité et l’acceptabilité de la téléexpertise par les personnels de santé et les patients. La concordance diagnostique de 48,8 % montre la relative efficacité de la délégation de tâches.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 2 [01/03/2023] . - p. 211-219[article] Évaluation du projet de téléexpertise dans la prise en charge des dermatoses courantes au Togo [Article] / Bayaki Saka, Auteur ; Abas Mouhari-Toure, Auteur ; Sefako Akakpo, Auteur . - 2023 . - p. 211-219.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 2 [01/03/2023] . - p. 211-219
Mots-clés : DERMATOLOGIE
DIAGNOSTIC
EXPERTISE MEDICALE
TELEMEDECINE
TOGORésumé : Introduction : La téléexpertise en dermatologie représente une piste pour modifier l’exercice médical en réponse aux besoins d’économies de la santé. Le but de cette étude était d’évaluer les activités médicales de la phase pilote du projet de téléexpertise en dermatologie au Togo.
Méthode : Il s’agit d’une étude transversale menée en octobre 2020 sur les 20 sites de la phase pilote. Cette évaluation consistait en une revue documentaire et l’analyse des données postées sur la plateforme de téléexpertise.
Résultats : Au total, 738 (10,8 %) des 6 810 consultations dermatologiques ont été postées sur la plateforme de téléexpertise. Sur les 738 cas, l’expertise du dermatologue n’a pas permis de poser un diagnostic dans 119 cas (16,1 %). Cette expertise a confirmé l’hypothèse clinique unique proposée par l’agent de santé dans 275 cas (37,3 %) et a permis de conclure à un diagnostic parmi plusieurs hypothèses cliniques dans 30 cas (4,1 %). Au contraire, le diagnostic du dermatologue ne figurait pas dans les hypothèses de l’agent de santé dans 201 cas (27,2 %), et aucune hypothèse clinique n’avait été formulée dans 113 cas (15,3 %). La concordance entre l’hypothèse clinique proposée par l’agent de santé et le diagnostic du dermatologue était de 48,8 %. Concernant l’acceptabilité de la téléexpertise, un seul refus a été enregistré. Tous les patients étaient très satisfaits de cette pratique.
Conclusions : Les résultats montrent la faisabilité et l’acceptabilité de la téléexpertise par les personnels de santé et les patients. La concordance diagnostique de 48,8 % montre la relative efficacité de la délégation de tâches.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Exclu du prêt Images pornographiques et comportements sexuels des élèves dans l’arrondissement de Cocody à Abidjan / Kouamé Mathias N'dri in Santé publique, n° 5 ([01/09/2015])
[article]
Titre : Images pornographiques et comportements sexuels des élèves dans l’arrondissement de Cocody à Abidjan Type de document : Article Auteurs : Kouamé Mathias N'dri, Auteur ; Issifou Yaya, Auteur ; Bayaki Saka, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 733-737 Langues : Français (fre) Mots-clés : ADOLESCENT
COMPORTEMENT SOCIAL
COTE D'IVOIRE
INTERNET
TELEVISIONRésumé : Objectif
L’objectif de cette étude était de documenter l’influence des images pornographiques sur les comportements sexuels des élèves dans la commune de Cocody à Abidjan, Côte d’Ivoire.
Méthode
Il s’agissait d’une étude transversale à visée descriptive et analytique réalisée d’octobre à novembre 2013 auprès des élèves dans quatre établissements scolaires de la commune de Cocody à Abidjan.
Résultats
Au total, 398 élèves (224 garçons et 174 filles) ont participé à l’enquête. Parmi eux, 14,3 % avaient accès à des images pornographiques soit sur internet soit à la télévision. Sur les 398 élèves enquêtés, 52,8 % (210) étaient sexuellement actifs au moment de l’enquête, parmi lesquels 41,9 % (88/210) avaient au moins deux partenaires sexuels. À l’analyse bivariée, l’accès à des images pornographiques était statistiquement associé au fait d’être sexuellement actif (OR = 2,61 ; 95 %IC [1,41 ; 4,83]), à la précocité des rapports sexuels (OR = 2,38 ; 95 %IC = [1,19 ; 4,76]) et au multipartenariat sexuel (OR = 6,09 ; 95 %IC = [2,79 ; 13,3])
Conclusion
Les résultats de ce travail nous ont permis de noter que l’accès à des images pornographiques avait une influence négative sur les comportements sexuels des élèves à Abidjan (Côte d’Ivoire).Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 5 [01/09/2015] . - p. 733-737[article] Images pornographiques et comportements sexuels des élèves dans l’arrondissement de Cocody à Abidjan [Article] / Kouamé Mathias N'dri, Auteur ; Issifou Yaya, Auteur ; Bayaki Saka, Auteur ; et al., Auteur . - 2015 . - p. 733-737.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 5 [01/09/2015] . - p. 733-737
Mots-clés : ADOLESCENT
COMPORTEMENT SOCIAL
COTE D'IVOIRE
INTERNET
TELEVISIONRésumé : Objectif
L’objectif de cette étude était de documenter l’influence des images pornographiques sur les comportements sexuels des élèves dans la commune de Cocody à Abidjan, Côte d’Ivoire.
Méthode
Il s’agissait d’une étude transversale à visée descriptive et analytique réalisée d’octobre à novembre 2013 auprès des élèves dans quatre établissements scolaires de la commune de Cocody à Abidjan.
Résultats
Au total, 398 élèves (224 garçons et 174 filles) ont participé à l’enquête. Parmi eux, 14,3 % avaient accès à des images pornographiques soit sur internet soit à la télévision. Sur les 398 élèves enquêtés, 52,8 % (210) étaient sexuellement actifs au moment de l’enquête, parmi lesquels 41,9 % (88/210) avaient au moins deux partenaires sexuels. À l’analyse bivariée, l’accès à des images pornographiques était statistiquement associé au fait d’être sexuellement actif (OR = 2,61 ; 95 %IC [1,41 ; 4,83]), à la précocité des rapports sexuels (OR = 2,38 ; 95 %IC = [1,19 ; 4,76]) et au multipartenariat sexuel (OR = 6,09 ; 95 %IC = [2,79 ; 13,3])
Conclusion
Les résultats de ce travail nous ont permis de noter que l’accès à des images pornographiques avait une influence négative sur les comportements sexuels des élèves à Abidjan (Côte d’Ivoire).Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible