Accueil de la Bulle
Accueil
Détail de l'auteur
Auteur Ousmane Ouedraogo |
Documents disponibles écrits par cet auteur (3)
Affiner la recherche
Prévalence et facteurs associés au retard de croissance chez les écoliers à Dori, Burkina Faso / Ousmane Ouedraogo in Santé publique, n° 1 ([01/01/2019])
[article]
Titre : Prévalence et facteurs associés au retard de croissance chez les écoliers à Dori, Burkina Faso Type de document : Article Auteurs : Ousmane Ouedraogo, Auteur ; Franck Garanet, Auteur ; Ella Compaoré, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 153-163 Langues : Français (fre) Mots-clés : ADOLESCENT
BURKINA FASO
ELEVE
ENFANT
RETARD DE CROISSANCERésumé : Objectif : Etudier les facteurs associés au retard de croissance chez les enfants et adolescents des écoles primaires dans le sahel burkinabè.
Matériels et méthodes : Il s'agit d'une analyse secondaire des données de l'enquête réalisée par la direction de la nutrition en juin 2016 dans 13 écoles primaires. Les participants à l'étude étaient composés des élèves garçons et filles des écoles primaires publiques bénéficiaires des cantines scolaires de la commune de Dori au moment de l'enquête. Une régression logistique a été utilisée pour identifier les facteurs associés avec un seuil de signification de 5 %.
Résultats : L'analyse a porté sur un échantillon de 568 élèves âgés de 5 à 15 ans. Les filles représentaient 52 % des élèves. La prévalence du retard de croissance était de 32,92 % (IC à 95 % [29-36 %]), elle était de 28,93 % (IC à 95 % [23,84-34,62 %]) chez les garçons et de 36.61 %(IC à 95 % [31.28-42,28 %]) chez les filles. Parmi les élèves primaire, l'âge (ORa = 4,38 ; p =0,00), l'anémie (ORa = 0,24 ; p = 0,01) et l'utilisation des latrines (ORa = 0,58 avec p =0,02) étaient des facteurs statistiquement associés au retard de croissance (p Conclusion : La prévalence du retard de croissance chez les élèves du primaire dans la commune de Dori reste élevée. La promotion de l'utilisation des latrines dans les ménages et la prévention de l'anémie chez les enfants de moins de 5 ans serait nécessaire pour la réduction du retard de croissance chez les adolescents.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 1 [01/01/2019] . - p. 153-163[article] Prévalence et facteurs associés au retard de croissance chez les écoliers à Dori, Burkina Faso [Article] / Ousmane Ouedraogo, Auteur ; Franck Garanet, Auteur ; Ella Compaoré, Auteur ; et al., Auteur . - 2019 . - p. 153-163.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 1 [01/01/2019] . - p. 153-163
Mots-clés : ADOLESCENT
BURKINA FASO
ELEVE
ENFANT
RETARD DE CROISSANCERésumé : Objectif : Etudier les facteurs associés au retard de croissance chez les enfants et adolescents des écoles primaires dans le sahel burkinabè.
Matériels et méthodes : Il s'agit d'une analyse secondaire des données de l'enquête réalisée par la direction de la nutrition en juin 2016 dans 13 écoles primaires. Les participants à l'étude étaient composés des élèves garçons et filles des écoles primaires publiques bénéficiaires des cantines scolaires de la commune de Dori au moment de l'enquête. Une régression logistique a été utilisée pour identifier les facteurs associés avec un seuil de signification de 5 %.
Résultats : L'analyse a porté sur un échantillon de 568 élèves âgés de 5 à 15 ans. Les filles représentaient 52 % des élèves. La prévalence du retard de croissance était de 32,92 % (IC à 95 % [29-36 %]), elle était de 28,93 % (IC à 95 % [23,84-34,62 %]) chez les garçons et de 36.61 %(IC à 95 % [31.28-42,28 %]) chez les filles. Parmi les élèves primaire, l'âge (ORa = 4,38 ; p =0,00), l'anémie (ORa = 0,24 ; p = 0,01) et l'utilisation des latrines (ORa = 0,58 avec p =0,02) étaient des facteurs statistiquement associés au retard de croissance (p Conclusion : La prévalence du retard de croissance chez les élèves du primaire dans la commune de Dori reste élevée. La promotion de l'utilisation des latrines dans les ménages et la prévention de l'anémie chez les enfants de moins de 5 ans serait nécessaire pour la réduction du retard de croissance chez les adolescents.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Usage de substances psychoactives chez les adolescents des rues à Ouagadougou / Franck Garanet in Santé publique, n° 3 ([01/05/2016])
[article]
Titre : Usage de substances psychoactives chez les adolescents des rues à Ouagadougou Type de document : Article Auteurs : Franck Garanet, Auteur ; Etienne Bogono, Auteur ; Ousmane Ouedraogo, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 381-389 Langues : Français (fre) Mots-clés : ADOLESCENT
BURKINA FASO
DROGUE
PRECARITE
TOXICOMANIERésumé : L'objet de cette étude était d'étudier les déterminants de la consommation de substances psychoactives chez les adolescents des rues à Ouagadougou. Cote : . Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 3 [01/05/2016] . - p. 381-389[article] Usage de substances psychoactives chez les adolescents des rues à Ouagadougou [Article] / Franck Garanet, Auteur ; Etienne Bogono, Auteur ; Ousmane Ouedraogo, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p. 381-389.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 3 [01/05/2016] . - p. 381-389
Mots-clés : ADOLESCENT
BURKINA FASO
DROGUE
PRECARITE
TOXICOMANIERésumé : L'objet de cette étude était d'étudier les déterminants de la consommation de substances psychoactives chez les adolescents des rues à Ouagadougou. Cote : . Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible La vulnérabilité des détenus hommes face au VIH/sida à Ouagadougou (Burkina Faso) / Ousmane Ouedraogo in Santé publique, n° 5 ([01/09/2015])
[article]
Titre : La vulnérabilité des détenus hommes face au VIH/sida à Ouagadougou (Burkina Faso) Type de document : Article Auteurs : Ousmane Ouedraogo, Auteur ; Franck Garanet, Auteur ; Simeon Sawadogo, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 749-756 Langues : Français (fre) Mots-clés : BURKINA FASO
CONDUITE A RISQUE
DETENU
HOMME
HOMOSEXUALITE
PRISON
SEXUALITE
SIDA
VULNERABILITERésumé : Objectif
Évaluer la vulnérabilité des détenus hommes face au VIH, les pratiques à risque et l’accès à la prévention.
Méthodes
Il s’agit d’une étude transversale descriptive menée au cours de juillet et août 2012 à la Maison d’Arrêt et de Correction de Ouagadougou au Burkina Faso. Deux enquêteurs formés ont recueilli les données par des entretiens individuels au parloir à l’aide d’un questionnaire administré aux détenus hommes âgés de 18 ans et plus et dont le séjour en prison était supérieur à trois mois. Deux groupes de discussion ont été effectués avec la garde de sécurité pénitentiaire et les soignants.
Résultats
Au total, 165 détenus hommes ont été interviewés. Le temps moyen de séjour en milieu carcéral est de 19 mois, l’âge médian de ces prisonniers est de 28 ans et 45 % d’entre eux sont analphabètes. Près de 4 % des détenus hommes ont déclaré avoir eu des relations homosexuelles au cours de leur détention. Les données montrent une sous déclaration, un déni des pra-tiques homosexuelles par les détenus. Pendant l’incarcération, 49 % des prisonniers ont partagé des lames ou des rasoirs. Aucun enquêté n’a déclaré l’usage de drogues injectables et de tatouage en prison. La majorité (84 %) des détenus n’a pas une bonne connaissance du VIH/sida et 6 % ont été sensibilisés au risque d’infection sexuellement transmissible. Seulement 5 % des détenus ont eu un test de dépistage pendant leur séjour en prison.
Conclusion
Les conditions d’incarcération, les pratiques homosexuelles et l’absence de préservatifs dans la prison aggravent la vulnérabilité des détenus face au VIH/sida. La mise en place d’un programme de prévention et de prise en charge des patients VIH+ permettraient de réduire de manière significative le risque de transmission du VIH en prison.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 5 [01/09/2015] . - p. 749-756[article] La vulnérabilité des détenus hommes face au VIH/sida à Ouagadougou (Burkina Faso) [Article] / Ousmane Ouedraogo, Auteur ; Franck Garanet, Auteur ; Simeon Sawadogo, Auteur ; et al., Auteur . - 2015 . - p. 749-756.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 5 [01/09/2015] . - p. 749-756
Mots-clés : BURKINA FASO
CONDUITE A RISQUE
DETENU
HOMME
HOMOSEXUALITE
PRISON
SEXUALITE
SIDA
VULNERABILITERésumé : Objectif
Évaluer la vulnérabilité des détenus hommes face au VIH, les pratiques à risque et l’accès à la prévention.
Méthodes
Il s’agit d’une étude transversale descriptive menée au cours de juillet et août 2012 à la Maison d’Arrêt et de Correction de Ouagadougou au Burkina Faso. Deux enquêteurs formés ont recueilli les données par des entretiens individuels au parloir à l’aide d’un questionnaire administré aux détenus hommes âgés de 18 ans et plus et dont le séjour en prison était supérieur à trois mois. Deux groupes de discussion ont été effectués avec la garde de sécurité pénitentiaire et les soignants.
Résultats
Au total, 165 détenus hommes ont été interviewés. Le temps moyen de séjour en milieu carcéral est de 19 mois, l’âge médian de ces prisonniers est de 28 ans et 45 % d’entre eux sont analphabètes. Près de 4 % des détenus hommes ont déclaré avoir eu des relations homosexuelles au cours de leur détention. Les données montrent une sous déclaration, un déni des pra-tiques homosexuelles par les détenus. Pendant l’incarcération, 49 % des prisonniers ont partagé des lames ou des rasoirs. Aucun enquêté n’a déclaré l’usage de drogues injectables et de tatouage en prison. La majorité (84 %) des détenus n’a pas une bonne connaissance du VIH/sida et 6 % ont été sensibilisés au risque d’infection sexuellement transmissible. Seulement 5 % des détenus ont eu un test de dépistage pendant leur séjour en prison.
Conclusion
Les conditions d’incarcération, les pratiques homosexuelles et l’absence de préservatifs dans la prison aggravent la vulnérabilité des détenus face au VIH/sida. La mise en place d’un programme de prévention et de prise en charge des patients VIH+ permettraient de réduire de manière significative le risque de transmission du VIH en prison.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible