[article] Titre : |
Ingonde, Arnégonde, ou Frénégonde, les concubines de l'Histoire de France de Caribert à Thierry III |
Type de document : |
Article |
Auteurs : |
Jérôme Janicki, Auteur |
Année de publication : |
2013 |
Article en page(s) : |
p. 32-36 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
FEMME GROSSESSE HISTOIRE MEDECINE MOYEN-AGE NOUVEAU-NE OBSTETRIQUE PESTE RECONNAISSANCE RELIGION STERILITE VARIOLE
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Résumé : |
Partie V
Avec le temps, l'image des femmes mérovingiennes, hormis celles des femmes de haut rang, s'est peu à peu effacée de nos mémoires. Robert Fossier dans une explication écrivait : "Nul n'ignore ses généalogies qu'un roi, un comte, un simple sire ont fait dresser au XIe siècle ou au XIIè siècle, dans une intention rien moins que désintéressée il est vrai, mais riche d'enseignements sur les ascendances, les remariages, la part des filles dans cette couche aristocratique" Il en va de même de la trace des enfants et des nourrissons dans les mémoires. Cela s'explique simplement. Ils ne furent longtemps pas considérés comme des vrais sujets et ont dû attendre le IXè siècle pour être intégrés à l'Église grâce au progrès de la christianisation et à partir de ce moment-là, les enfants ne furent plus considérés comme des "objets". Quant à la notion de limbe, elle ne manifestera qu'à la fin du XIIè siècle. |
Permalink : |
https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id |
in Les Dossiers de l’obstétrique > n° 423 [01/02/2013] . - p. 32-36
[article] Ingonde, Arnégonde, ou Frénégonde, les concubines de l'Histoire de France de Caribert à Thierry III [Article] / Jérôme Janicki, Auteur . - 2013 . - p. 32-36. Langues : Français ( fre) in Les Dossiers de l’obstétrique > n° 423 [01/02/2013] . - p. 32-36 Mots-clés : |
FEMME GROSSESSE HISTOIRE MEDECINE MOYEN-AGE NOUVEAU-NE OBSTETRIQUE PESTE RECONNAISSANCE RELIGION STERILITE VARIOLE
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Résumé : |
Partie V
Avec le temps, l'image des femmes mérovingiennes, hormis celles des femmes de haut rang, s'est peu à peu effacée de nos mémoires. Robert Fossier dans une explication écrivait : "Nul n'ignore ses généalogies qu'un roi, un comte, un simple sire ont fait dresser au XIe siècle ou au XIIè siècle, dans une intention rien moins que désintéressée il est vrai, mais riche d'enseignements sur les ascendances, les remariages, la part des filles dans cette couche aristocratique" Il en va de même de la trace des enfants et des nourrissons dans les mémoires. Cela s'explique simplement. Ils ne furent longtemps pas considérés comme des vrais sujets et ont dû attendre le IXè siècle pour être intégrés à l'Église grâce au progrès de la christianisation et à partir de ce moment-là, les enfants ne furent plus considérés comme des "objets". Quant à la notion de limbe, elle ne manifestera qu'à la fin du XIIè siècle. |
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