Accueil de la Bulle
Accueil
Détail de l'auteur
Auteur J.-B. Henrotin
Commentaire :
Service de médecine du travail du Bocage, CHU Dijon
|
Documents disponibles écrits par cet auteur (2)
Affiner la recherche
Codage d’emplois (PCS 2003) : retour d’expérience d’une étude menée en service de santé au travail / J.-B. Henrotin in Santé publique, n° 4 ([01/07/2016])
[article]
Titre : Codage d’emplois (PCS 2003) : retour d’expérience d’une étude menée en service de santé au travail Type de document : Article Auteurs : J.-B. Henrotin, Auteur ; Monique Vaissiere, Auteur ; Maryline Etaix, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 471-480 Langues : Français (fre) Mots-clés : CATEGORIE SOCIO-PROFESSIONNELLE
METHODOLOGIE
PROFESSION
REFERENTIEL
SANTE
TRAVAILRésumé : Objectif : Examiner la qualité d’un codage manuel d’emploi réalisé par des équipes de santé au travail, ayant accès à une application de Codage assisté des professions et des secteurs d’activité (CAPS). Méthodes : Les données d’une étude menée en service interentreprises, ont servi de base à l’examen du codage de 1 495 emplois avec la nomenclature des Professions et catégories socio-professionnelles 2003 (PCS) de l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Une confrontation entre ce premier niveau de codage et un second niveau opéré par un codeur expérimenté a été réalisée. La concordance a été étudiée à l’aide du coefficient kappa (κ) et la comparaison de fréquence par des tests du Chi2. Résultats : Il est rapporté un problème spécifique de codes absents ou erronés pour la variable emploi à hauteur de 14,5 % pour les groupes sociaux (un digit) et 25,7 % pour le code profession (quatre digits). Si la concordance des deux premiers niveaux de la PCS semble satisfaisant (κ = 0,73 et κ = 0,75), il est constaté aussi des déséquilibres dans les flux de reclassement. Pour le codage des professions, le taux de codes divergents est de 48,2 %. Après corrections des divergences et données manquantes, des variations dans l’expression de variables socio-professionnelles pouvaient atteindre jusqu’à 8,6 %. Conclusions : Comparée à d’autres études, l’utilisation de l’outil CAPS semble apporter une aide efficace à la codification. Toutefois, nos résultats plaident aussi pour que le codage des emplois avec la PCS 2003 se fassent avec l’utilisation d’informations auxiliaires et par des personnes formées à son utilisation. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 4 [01/07/2016] . - p. 471-480[article] Codage d’emplois (PCS 2003) : retour d’expérience d’une étude menée en service de santé au travail [Article] / J.-B. Henrotin, Auteur ; Monique Vaissiere, Auteur ; Maryline Etaix, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p. 471-480.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 4 [01/07/2016] . - p. 471-480
Mots-clés : CATEGORIE SOCIO-PROFESSIONNELLE
METHODOLOGIE
PROFESSION
REFERENTIEL
SANTE
TRAVAILRésumé : Objectif : Examiner la qualité d’un codage manuel d’emploi réalisé par des équipes de santé au travail, ayant accès à une application de Codage assisté des professions et des secteurs d’activité (CAPS). Méthodes : Les données d’une étude menée en service interentreprises, ont servi de base à l’examen du codage de 1 495 emplois avec la nomenclature des Professions et catégories socio-professionnelles 2003 (PCS) de l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Une confrontation entre ce premier niveau de codage et un second niveau opéré par un codeur expérimenté a été réalisée. La concordance a été étudiée à l’aide du coefficient kappa (κ) et la comparaison de fréquence par des tests du Chi2. Résultats : Il est rapporté un problème spécifique de codes absents ou erronés pour la variable emploi à hauteur de 14,5 % pour les groupes sociaux (un digit) et 25,7 % pour le code profession (quatre digits). Si la concordance des deux premiers niveaux de la PCS semble satisfaisant (κ = 0,73 et κ = 0,75), il est constaté aussi des déséquilibres dans les flux de reclassement. Pour le codage des professions, le taux de codes divergents est de 48,2 %. Après corrections des divergences et données manquantes, des variations dans l’expression de variables socio-professionnelles pouvaient atteindre jusqu’à 8,6 %. Conclusions : Comparée à d’autres études, l’utilisation de l’outil CAPS semble apporter une aide efficace à la codification. Toutefois, nos résultats plaident aussi pour que le codage des emplois avec la PCS 2003 se fassent avec l’utilisation d’informations auxiliaires et par des personnes formées à son utilisation. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Exposition aux risques professionnels pendant la grossesse : retour de services médicaux interentreprises / J.-B. Henrotin in Revue sage-femme (La), n° 2 ([01/04/2018])
[article]
Titre : Exposition aux risques professionnels pendant la grossesse : retour de services médicaux interentreprises Type de document : Article Auteurs : J.-B. Henrotin, Auteur ; M. Vaissière, Auteur ; M. Etaix, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 67-77 Langues : Français (fre) Mots-clés : GROSSESSE
RISQUE PROFESSIONNEL
TRAVAILRésumé : Objectif
Décrire le suivi des grossesses au travail et les expositions professionnelles potentiellement dangereuses pour l’issue d’une grossesse.
Méthodes
Une étude descriptive transversale a été réalisée entre le 1er janvier 2014 et le 31 décembre 2014 auprès de services de santé au travail de la région Languedoc-Roussillon. Les salariées étaient interrogées par les médecins du travail (MT) lors de la visite de reprise après accouchement (expositions professionnelles, anticipation et prévention des risques, communication entre préventeurs et cliniciens, arrêts de travail). Le codage des emplois était réalisé en utilisant la nomenclature des catégories socioprofessionnelles de l’Insee (2003). La précarité socioéconomique était mesurée à partir de l’échelle d’Évaluation de la Précarité et des Inégalités de Santé dans les Centres d’Examens de Santé (EPICES).
Résultats
Dans cette étude, 1347 salariées ont été recrutées. La moyenne d’âge était de 30,7±4,5 ans. L’effectif comprenait 54,2 % d’employées, 30,7 % de professions intermédiaires, 10,4 % de cadres et 4,7 % d’ouvrières. Vingt-deux pour cent des salariées présentaient une situation de précarité socioéconomique. Quarante-trois pour cent de l’effectif était exposé à au moins trois risques potentiels pour une grossesse. Seulement 17,7 % des salariées avaient rencontré un MT et 14,7 % avaient bénéficié d’un aménagement de poste. Notons qu’il était rapporté un niveau élevé (74,2 %) d’arrêt de travail (AT).
Conclusion
Ces résultats descriptifs attirent l’attention sur la nécessité de surveiller les femmes enceintes au travail. Toutefois, le faible niveau d’actes de prévention et le fort niveau d’AT interrogent la façon de prendre en compte le travail dans le suivi des grossesses au travail.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 2 [01/04/2018] . - p. 67-77[article] Exposition aux risques professionnels pendant la grossesse : retour de services médicaux interentreprises [Article] / J.-B. Henrotin, Auteur ; M. Vaissière, Auteur ; M. Etaix, Auteur ; et al., Auteur . - 2018 . - p. 67-77.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 2 [01/04/2018] . - p. 67-77
Mots-clés : GROSSESSE
RISQUE PROFESSIONNEL
TRAVAILRésumé : Objectif
Décrire le suivi des grossesses au travail et les expositions professionnelles potentiellement dangereuses pour l’issue d’une grossesse.
Méthodes
Une étude descriptive transversale a été réalisée entre le 1er janvier 2014 et le 31 décembre 2014 auprès de services de santé au travail de la région Languedoc-Roussillon. Les salariées étaient interrogées par les médecins du travail (MT) lors de la visite de reprise après accouchement (expositions professionnelles, anticipation et prévention des risques, communication entre préventeurs et cliniciens, arrêts de travail). Le codage des emplois était réalisé en utilisant la nomenclature des catégories socioprofessionnelles de l’Insee (2003). La précarité socioéconomique était mesurée à partir de l’échelle d’Évaluation de la Précarité et des Inégalités de Santé dans les Centres d’Examens de Santé (EPICES).
Résultats
Dans cette étude, 1347 salariées ont été recrutées. La moyenne d’âge était de 30,7±4,5 ans. L’effectif comprenait 54,2 % d’employées, 30,7 % de professions intermédiaires, 10,4 % de cadres et 4,7 % d’ouvrières. Vingt-deux pour cent des salariées présentaient une situation de précarité socioéconomique. Quarante-trois pour cent de l’effectif était exposé à au moins trois risques potentiels pour une grossesse. Seulement 17,7 % des salariées avaient rencontré un MT et 14,7 % avaient bénéficié d’un aménagement de poste. Notons qu’il était rapporté un niveau élevé (74,2 %) d’arrêt de travail (AT).
Conclusion
Ces résultats descriptifs attirent l’attention sur la nécessité de surveiller les femmes enceintes au travail. Toutefois, le faible niveau d’actes de prévention et le fort niveau d’AT interrogent la façon de prendre en compte le travail dans le suivi des grossesses au travail.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible