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Les droits de prescription médicamenteuse des sages-femmes : réalisation d’une enquête auprès des sages-femmes de l’Isère / Ophélie Grangier in Revue sage-femme (La), n° 4 ([01/09/2009])
[article]
Titre : Les droits de prescription médicamenteuse des sages-femmes : réalisation d’une enquête auprès des sages-femmes de l’Isère Type de document : Article Auteurs : Ophélie Grangier, Auteur ; C. Seguin, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 232-240 Langues : Français (fre) Mots-clés : EVALUATION DES CONNAISSANCES
MEDICAMENT
PRESCRIPTION MEDICALE
SAGE-FEMMERésumé : Objectifs
Les objectifs de notre étude ont été d’apprécier la connaissance des droits de prescription dévolus aux sages-femmes, de la mettre en relation avec les fréquences de prescription des médicaments et enfin, d’évaluer l’influence de l’ancienneté et/ou du mode d’activité sur cette connaissance.
Méthode
Nous avons envoyé un questionnaire entre avril et juin 2007 à toutes les sages-femmes exerçant en Isère et réalisant quotidiennement des prescriptions médicamenteuses.
Résultats
Cent cinquante-huit sages-femmes (53 % de la population) ont participé à notre étude. La connaissance des sages-femmes concernant leur droit de prescription est en général mauvaise sur les grandes classes thérapeutiques. En revanche, elle s’améliore au sein de chacune, pour chaque spécialité. Il existe une méconnaissance de certains droits de prescription sur des affections relativement courantes de la grossesse. Il existe des prescriptions qui ne devraient pas avoir lieu, soit au titre d’une méconnaissance du texte, soit au titre d’une présupposée délégation. La connaissance et la fréquence de prescription sont souvent corrélées : les sages-femmes utilisent les médicaments dont elles savent que le droit de prescription leur est dévolu. Il n’existe pas une grande influence de l’ancienneté et des secteurs d’activité sur la connaissance des droits de prescription.
Conclusion
La connaissance des sages-femmes nous semble à réactualiser pour certaines catégories de médicaments par le biais des formations initiale et continue ou par tout autre moyen d’information. Par ailleurs, les pratiques de prescription par délégation, qui ne devraient pas exister et qui peuvent être dangereuses, doivent faire l’objet d’une réelle mise au point pour pouvoir envisager leur suppression.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 4 [01/09/2009] . - p. 232-240[article] Les droits de prescription médicamenteuse des sages-femmes : réalisation d’une enquête auprès des sages-femmes de l’Isère [Article] / Ophélie Grangier, Auteur ; C. Seguin, Auteur . - 2009 . - p. 232-240.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 4 [01/09/2009] . - p. 232-240
Mots-clés : EVALUATION DES CONNAISSANCES
MEDICAMENT
PRESCRIPTION MEDICALE
SAGE-FEMMERésumé : Objectifs
Les objectifs de notre étude ont été d’apprécier la connaissance des droits de prescription dévolus aux sages-femmes, de la mettre en relation avec les fréquences de prescription des médicaments et enfin, d’évaluer l’influence de l’ancienneté et/ou du mode d’activité sur cette connaissance.
Méthode
Nous avons envoyé un questionnaire entre avril et juin 2007 à toutes les sages-femmes exerçant en Isère et réalisant quotidiennement des prescriptions médicamenteuses.
Résultats
Cent cinquante-huit sages-femmes (53 % de la population) ont participé à notre étude. La connaissance des sages-femmes concernant leur droit de prescription est en général mauvaise sur les grandes classes thérapeutiques. En revanche, elle s’améliore au sein de chacune, pour chaque spécialité. Il existe une méconnaissance de certains droits de prescription sur des affections relativement courantes de la grossesse. Il existe des prescriptions qui ne devraient pas avoir lieu, soit au titre d’une méconnaissance du texte, soit au titre d’une présupposée délégation. La connaissance et la fréquence de prescription sont souvent corrélées : les sages-femmes utilisent les médicaments dont elles savent que le droit de prescription leur est dévolu. Il n’existe pas une grande influence de l’ancienneté et des secteurs d’activité sur la connaissance des droits de prescription.
Conclusion
La connaissance des sages-femmes nous semble à réactualiser pour certaines catégories de médicaments par le biais des formations initiale et continue ou par tout autre moyen d’information. Par ailleurs, les pratiques de prescription par délégation, qui ne devraient pas exister et qui peuvent être dangereuses, doivent faire l’objet d’une réelle mise au point pour pouvoir envisager leur suppression.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Les droits de prescription médicamenteuse des sages-femmes. Réalisation d’une enquête auprès des sages-femmes de l’Isère / Ophélie Grangier in Revue sage-femme (La), n° 8 SUP ([28/08/2009])
[article]
Titre : Les droits de prescription médicamenteuse des sages-femmes. Réalisation d’une enquête auprès des sages-femmes de l’Isère Type de document : Article Auteurs : Ophélie Grangier, Auteur ; C. Seguin, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 232-240 Langues : Français (fre) Mots-clés : EVALUATION DES CONNAISSANCES
MEDICAMENT
PRESCRIPTION MEDICALE
SAGE-FEMMERésumé : Objectifs
Les objectifs de notre étude ont été d’apprécier la connaissance des droits de prescription dévolus aux sages-femmes, de la mettre en relation avec les fréquences de prescription des médicaments et enfin, d’évaluer l’influence de l’ancienneté et/ou du mode d’activité sur cette connaissance.
Méthode
Nous avons envoyé un questionnaire entre avril et juin 2007 à toutes les sages-femmes exerçant en Isère et réalisant quotidiennement des prescriptions médicamenteuses.
Résultats
Cent cinquante-huit sages-femmes (53 % de la population) ont participé à notre étude. La connaissance des sages-femmes concernant leur droit de prescription est en général mauvaise sur les grandes classes thérapeutiques. En revanche, elle s’améliore au sein de chacune, pour chaque spécialité. Il existe une méconnaissance de certains droits de prescription sur des affections relativement courantes de la grossesse. Il existe des prescriptions qui ne devraient pas avoir lieu, soit au titre d’une méconnaissance du texte, soit au titre d’une présupposée délégation. La connaissance et la fréquence de prescription sont souvent corrélées : les sages-femmes utilisent les médicaments dont elles savent que le droit de prescription leur est dévolu. Il n’existe pas une grande influence de l’ancienneté et des secteurs d’activité sur la connaissance des droits de prescription.
Conclusion
La connaissance des sages-femmes nous semble à réactualiser pour certaines catégories de médicaments par le biais des formations initiale et continue ou par tout autre moyen d’information. Par ailleurs, les pratiques de prescription par délégation, qui ne devraient pas exister et qui peuvent être dangereuses, doivent faire l’objet d’une réelle mise au point pour pouvoir envisager leur suppression.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 8 SUP [28/08/2009] . - p. 232-240[article] Les droits de prescription médicamenteuse des sages-femmes. Réalisation d’une enquête auprès des sages-femmes de l’Isère [Article] / Ophélie Grangier, Auteur ; C. Seguin, Auteur . - 2009 . - p. 232-240.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 8 SUP [28/08/2009] . - p. 232-240
Mots-clés : EVALUATION DES CONNAISSANCES
MEDICAMENT
PRESCRIPTION MEDICALE
SAGE-FEMMERésumé : Objectifs
Les objectifs de notre étude ont été d’apprécier la connaissance des droits de prescription dévolus aux sages-femmes, de la mettre en relation avec les fréquences de prescription des médicaments et enfin, d’évaluer l’influence de l’ancienneté et/ou du mode d’activité sur cette connaissance.
Méthode
Nous avons envoyé un questionnaire entre avril et juin 2007 à toutes les sages-femmes exerçant en Isère et réalisant quotidiennement des prescriptions médicamenteuses.
Résultats
Cent cinquante-huit sages-femmes (53 % de la population) ont participé à notre étude. La connaissance des sages-femmes concernant leur droit de prescription est en général mauvaise sur les grandes classes thérapeutiques. En revanche, elle s’améliore au sein de chacune, pour chaque spécialité. Il existe une méconnaissance de certains droits de prescription sur des affections relativement courantes de la grossesse. Il existe des prescriptions qui ne devraient pas avoir lieu, soit au titre d’une méconnaissance du texte, soit au titre d’une présupposée délégation. La connaissance et la fréquence de prescription sont souvent corrélées : les sages-femmes utilisent les médicaments dont elles savent que le droit de prescription leur est dévolu. Il n’existe pas une grande influence de l’ancienneté et des secteurs d’activité sur la connaissance des droits de prescription.
Conclusion
La connaissance des sages-femmes nous semble à réactualiser pour certaines catégories de médicaments par le biais des formations initiale et continue ou par tout autre moyen d’information. Par ailleurs, les pratiques de prescription par délégation, qui ne devraient pas exister et qui peuvent être dangereuses, doivent faire l’objet d’une réelle mise au point pour pouvoir envisager leur suppression.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Partage des responsabilités entre obstétricien et sage-femme / C. Seguin in Revue sage-femme (La), n°5 ([01/11/2008])
[article]
Titre : Partage des responsabilités entre obstétricien et sage-femme Type de document : Article Auteurs : C. Seguin, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 268-271 Langues : Français (fre) Mots-clés : COMPETENCE
MEDECIN
OBSTETRIQUE
PARTAGE
RESPONSABILITE
SAGE-FEMME
STATUTRésumé : La collaboration entre les sages-femmes et les médecins lors d’un accouchement est plus que fréquente. En cas de contentieux, devant certaines difficultés à rechercher les responsabilités respectives de chacun d’entre eux, l’auteur tente de dégager les solutions émanant des décisions à partir d’une analyse jurisprudentielle. Celles-ci sont divergentes, en raison de l’interprétation du statut que l’on fait de la profession de sage-femme. Les solutions étant gouvernées par le statut ambivalent de la profession de sage-femme, certains jugements décident des cas de responsabilité exclusive de la sage-femme ou du médecin, alors que d’autres reconnaissent des responsabilités partagées entre sage-femme et médecin. Après étude des affaires concernées, l’auteur reste étonné de certaines décisions, notamment dans les cas des responsabilités partagées, et émet l’hypothèse qu’il ne semble pas toujours évident pour les juges de distinguer ce qui relève de la responsabilité de la sage-femme de celle qui relève du médecin. S’il paraît évident que, devant l’indépendance dont jouit la sage-femme dans l’exercice de ses missions, il est logique de la rendre responsable de ses actes, il est toujours surprenant de rendre le médecin responsable d’une mauvaise surveillance de la parturiente ou du nouveau-né par la sage-femme, alors que celle-ci n’a aucun lien de subordination avec lui, chacun devant entrer dans le cadre d’une collaboration de leurs compétences respectives, à charge pour eux de ne faire aucune faute. À l’inverse, les fautes exclusives du médecin ne devraient donner lieu qu’à une responsabilité exclusive de celui-ci. Il semble que de tels jugements soient possibles à cause de la méconnaissance que certains experts ont de la profession de sage-femme et induisent le plus grand flou quant à la recherche des responsabilités de chaque praticien. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n°5 [01/11/2008] . - p. 268-271[article] Partage des responsabilités entre obstétricien et sage-femme [Article] / C. Seguin, Auteur . - 2008 . - p. 268-271.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n°5 [01/11/2008] . - p. 268-271
Mots-clés : COMPETENCE
MEDECIN
OBSTETRIQUE
PARTAGE
RESPONSABILITE
SAGE-FEMME
STATUTRésumé : La collaboration entre les sages-femmes et les médecins lors d’un accouchement est plus que fréquente. En cas de contentieux, devant certaines difficultés à rechercher les responsabilités respectives de chacun d’entre eux, l’auteur tente de dégager les solutions émanant des décisions à partir d’une analyse jurisprudentielle. Celles-ci sont divergentes, en raison de l’interprétation du statut que l’on fait de la profession de sage-femme. Les solutions étant gouvernées par le statut ambivalent de la profession de sage-femme, certains jugements décident des cas de responsabilité exclusive de la sage-femme ou du médecin, alors que d’autres reconnaissent des responsabilités partagées entre sage-femme et médecin. Après étude des affaires concernées, l’auteur reste étonné de certaines décisions, notamment dans les cas des responsabilités partagées, et émet l’hypothèse qu’il ne semble pas toujours évident pour les juges de distinguer ce qui relève de la responsabilité de la sage-femme de celle qui relève du médecin. S’il paraît évident que, devant l’indépendance dont jouit la sage-femme dans l’exercice de ses missions, il est logique de la rendre responsable de ses actes, il est toujours surprenant de rendre le médecin responsable d’une mauvaise surveillance de la parturiente ou du nouveau-né par la sage-femme, alors que celle-ci n’a aucun lien de subordination avec lui, chacun devant entrer dans le cadre d’une collaboration de leurs compétences respectives, à charge pour eux de ne faire aucune faute. À l’inverse, les fautes exclusives du médecin ne devraient donner lieu qu’à une responsabilité exclusive de celui-ci. Il semble que de tels jugements soient possibles à cause de la méconnaissance que certains experts ont de la profession de sage-femme et induisent le plus grand flou quant à la recherche des responsabilités de chaque praticien. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Ouvrage Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible