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Bilan étiologique du retard de croissance intra-utérin (RCIU) / L.-J. Salomon in Revue sage-femme (La), n° 2 ([01/04/2014])
[article]
Titre : Bilan étiologique du retard de croissance intra-utérin (RCIU) Type de document : Article Auteurs : L.-J. Salomon, Auteur ; V. Malan, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 99-110 Langues : Français (fre) Mots-clés : AMNIOCENTESE
ECHOGRAPHIE
ETIOLOGIE
RETARD DE CROISSANCE INTRA-UTERINRésumé : La prise en charge et le bilan étiologique d’un fœtus petit pour l’âge gestationnel (PAG) et/ou suspect de retard de croissance intra-utérin (RCIU) représente un problème à la fois fréquent et complexe en obstétrique. Les bases Medline, Embase et la Cochrane Library ont été interrogées sur les 15 dernières années, sans restriction de langue, en utilisant une combinaison des termes PAG (SGA), RCIU (IUGR), poids fœtal (fetal weight), échographie (ultrasound), management, étiologie (etiology), examens (examinations). Certaines références, non sélectionnées par cette stratégie mais associées à ces publications ou suggérées par des membres du groupe de travail, ont été par ailleurs ajoutées. Les articles pertinents ont été utilisés pour établir ce texte de recommandations après discussions entre experts du groupe de travail. Cote : . Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 2 [01/04/2014] . - p. 99-110[article] Bilan étiologique du retard de croissance intra-utérin (RCIU) [Article] / L.-J. Salomon, Auteur ; V. Malan, Auteur . - 2014 . - p. 99-110.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 2 [01/04/2014] . - p. 99-110
Mots-clés : AMNIOCENTESE
ECHOGRAPHIE
ETIOLOGIE
RETARD DE CROISSANCE INTRA-UTERINRésumé : La prise en charge et le bilan étiologique d’un fœtus petit pour l’âge gestationnel (PAG) et/ou suspect de retard de croissance intra-utérin (RCIU) représente un problème à la fois fréquent et complexe en obstétrique. Les bases Medline, Embase et la Cochrane Library ont été interrogées sur les 15 dernières années, sans restriction de langue, en utilisant une combinaison des termes PAG (SGA), RCIU (IUGR), poids fœtal (fetal weight), échographie (ultrasound), management, étiologie (etiology), examens (examinations). Certaines références, non sélectionnées par cette stratégie mais associées à ces publications ou suggérées par des membres du groupe de travail, ont été par ailleurs ajoutées. Les articles pertinents ont été utilisés pour établir ce texte de recommandations après discussions entre experts du groupe de travail. Cote : . Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Évaluation de l’amniocentèse au troisième trimestre pour le dépistage des anomalies chromosomiques chez les patientes n’acceptant pas le risque de perte fœtale / Olivier Picone in Revue sage-femme (La), n°5 ([01/11/2008])
[article]
Titre : Évaluation de l’amniocentèse au troisième trimestre pour le dépistage des anomalies chromosomiques chez les patientes n’acceptant pas le risque de perte fœtale Type de document : Article Auteurs : Olivier Picone, Auteur ; F. Fuchs, Auteur ; M.-V. Senat, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 261-267 Langues : Français (fre) Mots-clés : AMNIOCENTESE
ANOMALIE
CHROMOSOME
EVALUATION
GROSSESSERésumé : Objectifs
L’objectif de cet étude est d’évaluer les complications de l’amniocentèse tardive pour caryotype fœtal chez les patientes n’acceptant pas le risque de fausse couche spontanée de l’amniocentèse du deuxième trimestre de la grossesse, en l’absence de malformation fœtale.
Matériels et méthodes
Une étude rétrospective a été realisée de janvier 1998 à décembre 2006, portant sur 182patientes enceintes d’une grossesse unique ayant eu une amniocentèse du troisième trimestre pour caryotype fœtal et ayant refusé une biopsie de trophoblaste ou une amniocentèse au deuxième trimestre. Les indications étaient les suivants : risque intégré (âge maternel, mesure de la clarté nucale sur l’échographie du premier trimestre, marqueurs biologiques du deuxième trimestre) supérieur à 1/250 (n =68), âge maternel supérieur à 38ans isolé (n =51), marqueurs biologiques du deuxième trimestre supérieurs à 1/250 isolés (n =34), antécédents d’anomalies chromosomiques personnel ou familial (n =21) ou désir maternel (n =8). Toutes les patientes ont bénéficié de l’analyse par immunofluorescence in situ (Fish). La présence d’une malformation fœtale et/ou d’un retard de croissance dépistés à l’échographie ou enfin d’une séroconversion virale ou parasitaire en cours de grossesse indiquant la réalisation d’un caryotype constituaient un critère de non-inclusion dans l’étude.
Résultats
L’âge moyen des patientes ainsi que l’âge gestationnel lors de l’amniocentèse étaient respectivement de 39ans (extrêmes : 23–48) et 32 semaines d’aménorrhées (SA) plus quatre jours (29SA plus cinq jours à 37SA plus six jours). Le délai moyen entre l’amniocentèse et le résultat définitif du caryotype d’une part et l’accouchement d’autre part étaient respectivement de 15jours (7–42) et 47jours (8–69). Aucune anomalie chromosomique n’a été retrouvée sur les caryotypes analysés et aucune interruption médicale de grossesse n’a été réalisée. Neuf patientes sur les 182 (5 %) ont eu un travail spontané, suivi d’un accouchement avant 37SA et six (3,3 %) parmi ces neuf avaient rompu, préalablement, la poche des eaux. Sur les 182patientes, quatre (2 %) ont accouché avant le résultat définitif (culture) du caryotype mais toutes avaient une réalisation d’un examen direct du caryotype par Fish avec un résultat normal connu avant l’accouchement.
Conclusion
Au total, 3,3 % des patientes ont eu une rupture de la poche des eaux avant 37SA, et 5 % des patientes ont accouché avant 37SA. Cette technique permet de s’assurer de l’absence d’anomalie chromosomique chez des patientes n’acceptant pas les risques de perte fœtale liées à une amniocentèse au deuxième trimestre. Elle ne doit cependant être appliquée qu’à des situations particulières et dans des pays où la législation autorise une interruption médicale de grossesse tardive.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n°5 [01/11/2008] . - p. 261-267[article] Évaluation de l’amniocentèse au troisième trimestre pour le dépistage des anomalies chromosomiques chez les patientes n’acceptant pas le risque de perte fœtale [Article] / Olivier Picone, Auteur ; F. Fuchs, Auteur ; M.-V. Senat, Auteur ; et al., Auteur . - 2008 . - p. 261-267.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n°5 [01/11/2008] . - p. 261-267
Mots-clés : AMNIOCENTESE
ANOMALIE
CHROMOSOME
EVALUATION
GROSSESSERésumé : Objectifs
L’objectif de cet étude est d’évaluer les complications de l’amniocentèse tardive pour caryotype fœtal chez les patientes n’acceptant pas le risque de fausse couche spontanée de l’amniocentèse du deuxième trimestre de la grossesse, en l’absence de malformation fœtale.
Matériels et méthodes
Une étude rétrospective a été realisée de janvier 1998 à décembre 2006, portant sur 182patientes enceintes d’une grossesse unique ayant eu une amniocentèse du troisième trimestre pour caryotype fœtal et ayant refusé une biopsie de trophoblaste ou une amniocentèse au deuxième trimestre. Les indications étaient les suivants : risque intégré (âge maternel, mesure de la clarté nucale sur l’échographie du premier trimestre, marqueurs biologiques du deuxième trimestre) supérieur à 1/250 (n =68), âge maternel supérieur à 38ans isolé (n =51), marqueurs biologiques du deuxième trimestre supérieurs à 1/250 isolés (n =34), antécédents d’anomalies chromosomiques personnel ou familial (n =21) ou désir maternel (n =8). Toutes les patientes ont bénéficié de l’analyse par immunofluorescence in situ (Fish). La présence d’une malformation fœtale et/ou d’un retard de croissance dépistés à l’échographie ou enfin d’une séroconversion virale ou parasitaire en cours de grossesse indiquant la réalisation d’un caryotype constituaient un critère de non-inclusion dans l’étude.
Résultats
L’âge moyen des patientes ainsi que l’âge gestationnel lors de l’amniocentèse étaient respectivement de 39ans (extrêmes : 23–48) et 32 semaines d’aménorrhées (SA) plus quatre jours (29SA plus cinq jours à 37SA plus six jours). Le délai moyen entre l’amniocentèse et le résultat définitif du caryotype d’une part et l’accouchement d’autre part étaient respectivement de 15jours (7–42) et 47jours (8–69). Aucune anomalie chromosomique n’a été retrouvée sur les caryotypes analysés et aucune interruption médicale de grossesse n’a été réalisée. Neuf patientes sur les 182 (5 %) ont eu un travail spontané, suivi d’un accouchement avant 37SA et six (3,3 %) parmi ces neuf avaient rompu, préalablement, la poche des eaux. Sur les 182patientes, quatre (2 %) ont accouché avant le résultat définitif (culture) du caryotype mais toutes avaient une réalisation d’un examen direct du caryotype par Fish avec un résultat normal connu avant l’accouchement.
Conclusion
Au total, 3,3 % des patientes ont eu une rupture de la poche des eaux avant 37SA, et 5 % des patientes ont accouché avant 37SA. Cette technique permet de s’assurer de l’absence d’anomalie chromosomique chez des patientes n’acceptant pas les risques de perte fœtale liées à une amniocentèse au deuxième trimestre. Elle ne doit cependant être appliquée qu’à des situations particulières et dans des pays où la législation autorise une interruption médicale de grossesse tardive.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Ouvrage Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible