[article] 
inJusqu'à la mort accompagner la vie > n° 112 [01/03/2013] . - p. 83-89

Titre :	"On va travailler ensemble"
Type de document :	Article
Auteurs :	Isabelle Lagache, Auteur
Année de publication :	2013
Article en page(s) :	p. 83-89
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	ACCOMPAGNEMENT AU MOURANT FAMILLE MERE PRECARITE RELATION D'AIDE RELATION MERE/ENFANT SOINS PALLIATIFS TEMOIGNAGE VULNERABILITE
Résumé :	Tout à commencé le jour où du fait d'une détresse respiratoire, Michèle s'est retrouvée aux urgences puis en réanimation. Le pneumologue est venue la voir alors que j'étais là en visite. Elle lui a annoncé que ses poumons étaient dans un état tel qu'il faudrait être sous oxygène 24 heures sur 24 et que seule une greffe pourrait la sauver. C'était l’effondrement. Elle savait depuis longtemps que ces poumons étaient dans un état déplorable et qui déjà, passait une partie de son temps sous oxygène, n'avait jamais envisagé la greffe.Tout à coup elle se rendait compte que c'était grave et quelle pouvait en mourir assez rapidement, même si je crois qu'au fond d'elle même, elle le refusait : Nicolas son fils de 14 ans, devait être jugé à la fin de l'année et il risquait la prison. Il fallait tenir au moins jusque-là!
Cote :
Permalink :	https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

[article] "On va travailler ensemble" [Article] / Isabelle Lagache, Auteur . - 2013 . - p. 83-89.
Langues : Français (fre)
in Jusqu'à la mort accompagner la vie > n° 112 [01/03/2013] . - p. 83-89

Mots-clés :	ACCOMPAGNEMENT AU MOURANT FAMILLE MERE PRECARITE RELATION D'AIDE RELATION MERE/ENFANT SOINS PALLIATIFS TEMOIGNAGE VULNERABILITE
Résumé :	Tout à commencé le jour où du fait d'une détresse respiratoire, Michèle s'est retrouvée aux urgences puis en réanimation. Le pneumologue est venue la voir alors que j'étais là en visite. Elle lui a annoncé que ses poumons étaient dans un état tel qu'il faudrait être sous oxygène 24 heures sur 24 et que seule une greffe pourrait la sauver. C'était l’effondrement. Elle savait depuis longtemps que ces poumons étaient dans un état déplorable et qui déjà, passait une partie de son temps sous oxygène, n'avait jamais envisagé la greffe.Tout à coup elle se rendait compte que c'était grave et quelle pouvait en mourir assez rapidement, même si je crois qu'au fond d'elle même, elle le refusait : Nicolas son fils de 14 ans, devait être jugé à la fin de l'année et il risquait la prison. Il fallait tenir au moins jusque-là!
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