[article] 
inEthique et santé > n° 3 [01/09/2013] . - p. 119-124

Titre :	L'utilisation des loteries comme forme d'indemnité compensatoire dans la recherche en santé : une analyse philosophique
Type de document :	Article
Auteurs :	Yanick Farmer, Auteur
Année de publication :	2013
Article en page(s) :	p. 119-124
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	DROITS DU PATIENT ETHIQUE INDEMNISATION KANT (EMMANUEL) PHILOSOPHIE RECHERCHE BIOMEDICALE RECHERCHE CLINIQUE
Résumé :	Les loteries comme forme d'indemnité compensatoire sont devenues une pratique de plus en plus courante dans les recherches en santé au Québec. Dans certains cas, elles servent à encourager la participation à des projets pour lesquels il est difficile de recruter, alors que pour d'autres, elles aident à compenser les sujets quand les fonds de recherche ne permettent pas de le faire plus généreusement. Mais les limites éthiques doivent être définies par rapport à cette pratique. A l'aide d'une étude de cas, deux perspectives sur la question seront dégagées : la perspective utilitariste, qui se concentre davantage sur l'analyse bénéfices - inconvénients ; et l'approche kantienne, qui favorise d'abord une protection stricte de l'autonomie. L'article tentera par la suite de démontrer qu'il vaut mieux que les comités d'éthique privilégient l'approche kantienne, même si celle-ci peut paraître rigide...
Cote :
Permalink :	https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

[article] L'utilisation des loteries comme forme d'indemnité compensatoire dans la recherche en santé : une analyse philosophique [Article] / Yanick Farmer, Auteur . - 2013 . - p. 119-124.
Langues : Français (fre)
in Ethique et santé > n° 3 [01/09/2013] . - p. 119-124

Mots-clés :	DROITS DU PATIENT ETHIQUE INDEMNISATION KANT (EMMANUEL) PHILOSOPHIE RECHERCHE BIOMEDICALE RECHERCHE CLINIQUE
Résumé :	Les loteries comme forme d'indemnité compensatoire sont devenues une pratique de plus en plus courante dans les recherches en santé au Québec. Dans certains cas, elles servent à encourager la participation à des projets pour lesquels il est difficile de recruter, alors que pour d'autres, elles aident à compenser les sujets quand les fonds de recherche ne permettent pas de le faire plus généreusement. Mais les limites éthiques doivent être définies par rapport à cette pratique. A l'aide d'une étude de cas, deux perspectives sur la question seront dégagées : la perspective utilitariste, qui se concentre davantage sur l'analyse bénéfices - inconvénients ; et l'approche kantienne, qui favorise d'abord une protection stricte de l'autonomie. L'article tentera par la suite de démontrer qu'il vaut mieux que les comités d'éthique privilégient l'approche kantienne, même si celle-ci peut paraître rigide...
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