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Auteur Léon Blaise Savadogo |
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Culture locale et participation communautaire : journées du Djandioba de la planification familiale au Burkina Faso / Souleymane Kaboré in Santé publique, n° 6 ([01/11/2016])
[article]
Titre : Culture locale et participation communautaire : journées du Djandioba de la planification familiale au Burkina Faso Type de document : Article Auteurs : Souleymane Kaboré, Auteur ; Léon Blaise Savadogo, Auteur ; Ziemlé Clément Meda, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 817-826 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCES AUX SOINS
AFRIQUE
BURKINA FASO
CONTRACEPTION
CULTURE
OFFRE DE SOINS
PLANIFICATION FAMILIALE
SANTE COMMUNAUTAIRERésumé : Objectif : Pour réduire les barrières culturelles à l’utilisation des services de planification familiale dans le district sanitaire de Tougan, il a été conçu un concept de promotion des méthodes de contraception modernes nommé : Journée du Djandioba de la Planification Familiale. La présente étude avait pour objectif d’évaluer cette expérience dans le but de tirer des leçons utiles au renforcement de l’accessibilité des méthodes contraceptives modernes. Méthodes : Il s’est agi d’une enquête transversale et évaluative dont la collecte des données a été réalisée au niveau de 39 centres de santé et auprès de 448 personnes. Les résultats de cette étude ont été comparés dans le temps (2010 à 2015). Résultats : Les journées du Djandioba ont été organisées dans 39 centres de santé et ont permis de sensibiliser 197 548 personnes et d’offrir des méthodes contraceptives à 10 480 bénéficiaires en quatre éditions. Au total, 4 598 nouvelles utilisatrices ont été recensées au cours de ces journées. Le nombre de couples-années de protection du district a été triplé en trois ans. Conclusion : La double approche : « culture locale et participation communautaire » comme support de mise en œuvre des programmes de santé est efficace pour réduire les barrières culturelles de l’accessibilité aux services de santé. Ces journées ont permis d’accroître l’utilisation des méthodes contraceptives modernes dans ce contexte particulier où les perceptions, les croyances et les opinions erronées constituent un réel obstacle à l’offre des produits contraceptifs. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 6 [01/11/2016] . - p. 817-826[article] Culture locale et participation communautaire : journées du Djandioba de la planification familiale au Burkina Faso [Article] / Souleymane Kaboré, Auteur ; Léon Blaise Savadogo, Auteur ; Ziemlé Clément Meda, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p. 817-826.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 6 [01/11/2016] . - p. 817-826
Mots-clés : ACCES AUX SOINS
AFRIQUE
BURKINA FASO
CONTRACEPTION
CULTURE
OFFRE DE SOINS
PLANIFICATION FAMILIALE
SANTE COMMUNAUTAIRERésumé : Objectif : Pour réduire les barrières culturelles à l’utilisation des services de planification familiale dans le district sanitaire de Tougan, il a été conçu un concept de promotion des méthodes de contraception modernes nommé : Journée du Djandioba de la Planification Familiale. La présente étude avait pour objectif d’évaluer cette expérience dans le but de tirer des leçons utiles au renforcement de l’accessibilité des méthodes contraceptives modernes. Méthodes : Il s’est agi d’une enquête transversale et évaluative dont la collecte des données a été réalisée au niveau de 39 centres de santé et auprès de 448 personnes. Les résultats de cette étude ont été comparés dans le temps (2010 à 2015). Résultats : Les journées du Djandioba ont été organisées dans 39 centres de santé et ont permis de sensibiliser 197 548 personnes et d’offrir des méthodes contraceptives à 10 480 bénéficiaires en quatre éditions. Au total, 4 598 nouvelles utilisatrices ont été recensées au cours de ces journées. Le nombre de couples-années de protection du district a été triplé en trois ans. Conclusion : La double approche : « culture locale et participation communautaire » comme support de mise en œuvre des programmes de santé est efficace pour réduire les barrières culturelles de l’accessibilité aux services de santé. Ces journées ont permis d’accroître l’utilisation des méthodes contraceptives modernes dans ce contexte particulier où les perceptions, les croyances et les opinions erronées constituent un réel obstacle à l’offre des produits contraceptifs. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Évolution du taux et de la place des accouchements par césarienne au Burkina Faso / Issiaka Sombie in Santé publique, n° 1 ([01/03/2017])
[article]
Titre : Évolution du taux et de la place des accouchements par césarienne au Burkina Faso Type de document : Article Auteurs : Issiaka Sombie, Auteur ; Ziemlé Clément Meda, Auteur ; Léon Blaise Savadogo, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 133-139 Langues : Français (fre) Mots-clés : AFRIQUE
BURKINA FASO
CESARIENNERésumé : Objectif : L’objectif de l’article était d’étudier l’évolution, la létalité et la place de la césarienne par niveau de soins au Burkina Faso.
Matériel et Méthode : Une étude rétrospective a été réalisée à partir des annuaires statistiques et des rapports des hôpitaux publics du Burkina Faso de 2000 à 2014. Une régression linéaire a permis d’analyser l’évolution de la césarienne, la létalité suite aux césariennes par les hôpitaux de district (HD), les Centres hospitaliers régionaux (CHR) et les Centres hospitaliers universitaires (CHU).
Résultats : De 2000 à 2014, le nombre de césariennes réalisées dans les hôpitaux publics du Burkina Faso est passé d’environ 2 365 à 19 081 soit à peu près une multiplication du nombre de départ par 10. Cela représente une évolution d’un taux de 0,5 à 2 césariennes par 100 accouchements attendus. Cette évolution était linéaire. Entre 2000 à 2004, les CHU ont assuré la plus grande partie de ces césariennes, alors qu’à partir de 2007, les HD ont assuré la majeure partie des césariennes. La contribution des hôpitaux régionaux était presque constante en proportion, même si leur nombre était multiplié par 3. En 2014, les HD ont réalisé 52 % des césariennes, suivi des CHU (25 %) et des hôpitaux régionaux (23 %). L’analyse de la létalité suite à la césarienne a montré une évolution en dents de scie allant de 1 à 2 % avant 2008 et ensuite une régression pour atteindre 0,15 % en 2014. Cette même évolution de la létalité était notée au niveau de chaque type d’hôpital.
Conclusion : Les résultats montrent l’augmentation du taux, de la qualité et du rapprochement de la place de la césarienne du domicile de la femme au Burkina Faso tout en réduisant la létalité à un niveau équivalent dans chaque type d’hôpital. Les politiques de décentralisation de l’offre des soins obstétricaux d’urgence, les approches de renforcement de la qualité de soins et de réduction du coût des soins en place ont probablement contribué à obtenir ces résultats.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 1 [01/03/2017] . - p. 133-139[article] Évolution du taux et de la place des accouchements par césarienne au Burkina Faso [Article] / Issiaka Sombie, Auteur ; Ziemlé Clément Meda, Auteur ; Léon Blaise Savadogo, Auteur . - 2017 . - p. 133-139.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 1 [01/03/2017] . - p. 133-139
Mots-clés : AFRIQUE
BURKINA FASO
CESARIENNERésumé : Objectif : L’objectif de l’article était d’étudier l’évolution, la létalité et la place de la césarienne par niveau de soins au Burkina Faso.
Matériel et Méthode : Une étude rétrospective a été réalisée à partir des annuaires statistiques et des rapports des hôpitaux publics du Burkina Faso de 2000 à 2014. Une régression linéaire a permis d’analyser l’évolution de la césarienne, la létalité suite aux césariennes par les hôpitaux de district (HD), les Centres hospitaliers régionaux (CHR) et les Centres hospitaliers universitaires (CHU).
Résultats : De 2000 à 2014, le nombre de césariennes réalisées dans les hôpitaux publics du Burkina Faso est passé d’environ 2 365 à 19 081 soit à peu près une multiplication du nombre de départ par 10. Cela représente une évolution d’un taux de 0,5 à 2 césariennes par 100 accouchements attendus. Cette évolution était linéaire. Entre 2000 à 2004, les CHU ont assuré la plus grande partie de ces césariennes, alors qu’à partir de 2007, les HD ont assuré la majeure partie des césariennes. La contribution des hôpitaux régionaux était presque constante en proportion, même si leur nombre était multiplié par 3. En 2014, les HD ont réalisé 52 % des césariennes, suivi des CHU (25 %) et des hôpitaux régionaux (23 %). L’analyse de la létalité suite à la césarienne a montré une évolution en dents de scie allant de 1 à 2 % avant 2008 et ensuite une régression pour atteindre 0,15 % en 2014. Cette même évolution de la létalité était notée au niveau de chaque type d’hôpital.
Conclusion : Les résultats montrent l’augmentation du taux, de la qualité et du rapprochement de la place de la césarienne du domicile de la femme au Burkina Faso tout en réduisant la létalité à un niveau équivalent dans chaque type d’hôpital. Les politiques de décentralisation de l’offre des soins obstétricaux d’urgence, les approches de renforcement de la qualité de soins et de réduction du coût des soins en place ont probablement contribué à obtenir ces résultats.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible