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IVG de 12 à 14 semaines d’aménorrhée, une anesthésie plus délicate / Alexandra Driffaud in Oxymag, n° 152 ([01/01/2017])
[article]
Titre : IVG de 12 à 14 semaines d’aménorrhée, une anesthésie plus délicate Type de document : Article Auteurs : Alexandra Driffaud, Auteur ; Tania Rousseau, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 24-28 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANESTHESIE
COMPLICATION CHIRURGICALE
DOULEUR
INTERRUPTION VOLONTAIRE DE GROSSESSE
INTUBATION TRACHEALERésumé : Les interruptions volontaires de grossesse au-delà de 12 semaines d’aménorrhée doivent être réalisées par un opérateur expérimenté.
La technique chirurgicale est à privilégier.
Sur un plan anesthésique, le terme à partir duquel on doit considérer la femme enceinte comme ayant un estomac plein reste encore très vague.
Pour le jeûne préopératoire, tant qu’elle n’est pas entrée en travail, c’est une patiente “standard”.
En cas d’anesthésie générale, l’intubation orotrachéale n’est plus systématique, la ventilation par masque facial ou laryngé est possible.
L’anesthésie locorégionale reste la méthode de choix.
La prise en charge de la douleur doit aussi être plus rigoureuse et multimodale chez ces patientes de terme avancé.
De même, l’aspect psychologique est primordial.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Oxymag > n° 152 [01/01/2017] . - p. 24-28[article] IVG de 12 à 14 semaines d’aménorrhée, une anesthésie plus délicate [Article] / Alexandra Driffaud, Auteur ; Tania Rousseau, Auteur . - 2017 . - p. 24-28.
Langues : Français (fre)
in Oxymag > n° 152 [01/01/2017] . - p. 24-28
Mots-clés : ANESTHESIE
COMPLICATION CHIRURGICALE
DOULEUR
INTERRUPTION VOLONTAIRE DE GROSSESSE
INTUBATION TRACHEALERésumé : Les interruptions volontaires de grossesse au-delà de 12 semaines d’aménorrhée doivent être réalisées par un opérateur expérimenté.
La technique chirurgicale est à privilégier.
Sur un plan anesthésique, le terme à partir duquel on doit considérer la femme enceinte comme ayant un estomac plein reste encore très vague.
Pour le jeûne préopératoire, tant qu’elle n’est pas entrée en travail, c’est une patiente “standard”.
En cas d’anesthésie générale, l’intubation orotrachéale n’est plus systématique, la ventilation par masque facial ou laryngé est possible.
L’anesthésie locorégionale reste la méthode de choix.
La prise en charge de la douleur doit aussi être plus rigoureuse et multimodale chez ces patientes de terme avancé.
De même, l’aspect psychologique est primordial.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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