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Attentes des patientes en termes d’accompagnement postnatal : arguments en faveur de la mise en place d’un entretien postnatal précoce à la maternité du centre hospitalier régional universitaire (CHRU) de Nancy / Z. Kez in Revue sage-femme (La), n° 4 ([01/09/2019])
[article]
Titre : Attentes des patientes en termes d’accompagnement postnatal : arguments en faveur de la mise en place d’un entretien postnatal précoce à la maternité du centre hospitalier régional universitaire (CHRU) de Nancy Type de document : Article Auteurs : Z. Kez, Auteur ; C. Blanchot-Isola, Auteur ; L. Galliot, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 181-188 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCOMPAGNEMENT
CONSULTATION
ENTRETIEN
POST PARTUM
RETOUR A DOMICILE
SAGE-FEMMERésumé : Objectifs
Décrire les attentes des patientes ayant accouché à la maternité du centre hospitalier régional universitaire (CHRU) de Nancy dans les cinq dernières années en termes d’accompagnement postnatal après leur sortie de la maternité et faire émerger les arguments en faveur de la mise en place d’un entretien postnatal précoce (EPNP).
Méthode
Une étude qualitative monocentrique par entretiens semi-directifs a été réalisée auprès des patientes ayant accouché à la maternité du CHRU de Nancy dans les cinq dernières années.
Résultats
Trente entretiens semi-directifs ont été réalisés entre le 7 octobre 2017 et le 26 janvier 2018 auprès de 15 primipares et 15 multipares. Les patientes ont majoritairement exprimé le souhait d’être rassurées, écoutées et soutenues. Toutes ont bénéficié d’un relais par le programme d’accompagnement au retour à domicile (PRADO) à leur sortie de la maternité. Elles ont en outre exprimé le besoin d’échanger avec une sage-femme à propos de leurs ressentis, de préférence connue en amont afin de revenir sur leur vécu de l’accouchement et pouvoir faire part de leurs doutes et inquiétudes.
Conclusion
Les attentes exprimées par les patientes rejoignent les objectifs défendus par l’EPNP. À travers ce dispositif, la sage-femme a tout son rôle à jouer en matière de prévention et d’éducation à la parentalité. L’information et le recueil du point de vue des professionnels sont donc intéressants à envisager pour la suite.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 4 [01/09/2019] . - p. 181-188[article] Attentes des patientes en termes d’accompagnement postnatal : arguments en faveur de la mise en place d’un entretien postnatal précoce à la maternité du centre hospitalier régional universitaire (CHRU) de Nancy [Article] / Z. Kez, Auteur ; C. Blanchot-Isola, Auteur ; L. Galliot, Auteur . - 2019 . - p. 181-188.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 4 [01/09/2019] . - p. 181-188
Mots-clés : ACCOMPAGNEMENT
CONSULTATION
ENTRETIEN
POST PARTUM
RETOUR A DOMICILE
SAGE-FEMMERésumé : Objectifs
Décrire les attentes des patientes ayant accouché à la maternité du centre hospitalier régional universitaire (CHRU) de Nancy dans les cinq dernières années en termes d’accompagnement postnatal après leur sortie de la maternité et faire émerger les arguments en faveur de la mise en place d’un entretien postnatal précoce (EPNP).
Méthode
Une étude qualitative monocentrique par entretiens semi-directifs a été réalisée auprès des patientes ayant accouché à la maternité du CHRU de Nancy dans les cinq dernières années.
Résultats
Trente entretiens semi-directifs ont été réalisés entre le 7 octobre 2017 et le 26 janvier 2018 auprès de 15 primipares et 15 multipares. Les patientes ont majoritairement exprimé le souhait d’être rassurées, écoutées et soutenues. Toutes ont bénéficié d’un relais par le programme d’accompagnement au retour à domicile (PRADO) à leur sortie de la maternité. Elles ont en outre exprimé le besoin d’échanger avec une sage-femme à propos de leurs ressentis, de préférence connue en amont afin de revenir sur leur vécu de l’accouchement et pouvoir faire part de leurs doutes et inquiétudes.
Conclusion
Les attentes exprimées par les patientes rejoignent les objectifs défendus par l’EPNP. À travers ce dispositif, la sage-femme a tout son rôle à jouer en matière de prévention et d’éducation à la parentalité. L’information et le recueil du point de vue des professionnels sont donc intéressants à envisager pour la suite.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Intérêt du toucher vaginal en systématique lors d’une consultation de gynécologie chez une femme à bas risque et asymptomatique : enquête en 2015 auprès de 69 sages-femmes lorraines / Justine Perry in Revue sage-femme (La), n° 5 ([01/11/2017])
[article]
Titre : Intérêt du toucher vaginal en systématique lors d’une consultation de gynécologie chez une femme à bas risque et asymptomatique : enquête en 2015 auprès de 69 sages-femmes lorraines Type de document : Article Auteurs : Justine Perry, Auteur ; L. Galliot, Auteur ; Fabienne Donner, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 291-295 Langues : Français (fre) Mots-clés : GYNECOLOGIE
SAGE-FEMMERésumé : Introduction
Le toucher vaginal est un geste central en gynécologie. Pourtant, de nombreuses études étrangères le discriminent comme outil de dépistage. Les auteurs ne recommandent pas son utilisation annuelle chez des femmes asymptomatiques.
Méthode
Nous avons mené une enquête auprès de 69 sages-femmes lorraines via un questionnaire en 2015. Nous souhaitions faire un état des lieux des pratiques professionnelles et évaluer leurs représentations autour du toucher vaginal.
Résultats
La moitié des professionnels interrogés n’effectuait pas de toucher vaginal systématiquement. La peur de manquer une pathologie et le besoin de rassurer leurs patientes étaient les raisons principales le justifiant pour 69 % et 41 % des sages-femmes. Les pratiques changeaient après les deux premières années d’exercice où le toucher vaginal perdait son caractère systématique.
Discussion
La pratique du toucher vaginal est impactée par les représentations des professionnels qui le pensent utile comme outil de dépistage. L’absence de directives officielles en France démunit les professionnels.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 5 [01/11/2017] . - p. 291-295[article] Intérêt du toucher vaginal en systématique lors d’une consultation de gynécologie chez une femme à bas risque et asymptomatique : enquête en 2015 auprès de 69 sages-femmes lorraines [Article] / Justine Perry, Auteur ; L. Galliot, Auteur ; Fabienne Donner, Auteur . - 2017 . - p. 291-295.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 5 [01/11/2017] . - p. 291-295
Mots-clés : GYNECOLOGIE
SAGE-FEMMERésumé : Introduction
Le toucher vaginal est un geste central en gynécologie. Pourtant, de nombreuses études étrangères le discriminent comme outil de dépistage. Les auteurs ne recommandent pas son utilisation annuelle chez des femmes asymptomatiques.
Méthode
Nous avons mené une enquête auprès de 69 sages-femmes lorraines via un questionnaire en 2015. Nous souhaitions faire un état des lieux des pratiques professionnelles et évaluer leurs représentations autour du toucher vaginal.
Résultats
La moitié des professionnels interrogés n’effectuait pas de toucher vaginal systématiquement. La peur de manquer une pathologie et le besoin de rassurer leurs patientes étaient les raisons principales le justifiant pour 69 % et 41 % des sages-femmes. Les pratiques changeaient après les deux premières années d’exercice où le toucher vaginal perdait son caractère systématique.
Discussion
La pratique du toucher vaginal est impactée par les représentations des professionnels qui le pensent utile comme outil de dépistage. L’absence de directives officielles en France démunit les professionnels.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Santé gynécologique de la femme jeune. Etat des lieux auprès des étudiantes de 18 à 25 ans de l'université de Lorraine en 2014 / A. Crociati in Revue sage-femme (La), n° 3 ([01/06/2017])
[article]
Titre : Santé gynécologique de la femme jeune. Etat des lieux auprès des étudiantes de 18 à 25 ans de l'université de Lorraine en 2014 Type de document : Article Auteurs : A. Crociati, Auteur ; L. Galliot, Auteur ; J. Flenghi, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 175-179 Langues : Français (fre) Mots-clés : CONTRACEPTION
DEPISTAGE
ETAT DE SANTE
ETUDIANT
FEMME
GYNECOLOGIE
INFECTION SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE
INFORMATION
PREVENTION
SAGE-FEMME
SEXUALITE
SUIVI
VACCINATIONRésumé : Introduction
Les étudiants constituent une population en bonne santé mais qui adoptent des comportements à risque notamment dans le domaine de la sexualité. Ce constat a justifié la multiplication de campagnes de prévention et d’information ciblant chez les 18–25 ans la prévention des IST et des grossesses non désirées. Pourtant, certains indicateurs tels que le taux de recours à l’IVG ou l’incidence des infections sexuellement transmissibles restent préoccupants.
Objectif: Établir un diagnostic de l’état de santé gynécologique des étudiantes de 18 à 25 ans à Nancy en 2014 et situer la profession de sage-femme dans le suivi de cette population.
Méthodes
Réalisation d’une étude observationnelle, descriptive, transversale par questionnaire auprès de 430 étudiantes de l’université de Lorraine entre octobre et décembre 2014.
Résultats
Au total, 84,9 % des étudiantes ont déjà bénéficié d’une consultation gynécologique mais 25 % ne consultent que lorsqu’elles l’estiment nécessaire. Le ressenti lors de cet examen est péjoratif. La sage-femme était jugée apte par 58,2 % des femmes à assurer le suivi gynécologique mais peu consultée (
Conclusion
Les étudiantes de la cohorte ont recours aux soins et sont dans l’ensemble bien suivies. Cependant, cette étude révèle une irrégularité dans le suivi, un ressenti péjoratif de la consultation de gynécologie et un recours faible aux examens de dépistage malgré la persistance de situations « à risque ». Face à la multiplication des supports d’information, on constate paradoxalement une évolution lente des comportements, une banalisation des messages de prévention et une méconnaissance concernant les IST. La sage-femme, qui devrait constituer un professionnel de premier recours pour les jeunes femmes en bonne santé, est peu sollicitée.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 3 [01/06/2017] . - p. 175-179[article] Santé gynécologique de la femme jeune. Etat des lieux auprès des étudiantes de 18 à 25 ans de l'université de Lorraine en 2014 [Article] / A. Crociati, Auteur ; L. Galliot, Auteur ; J. Flenghi, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p. 175-179.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 3 [01/06/2017] . - p. 175-179
Mots-clés : CONTRACEPTION
DEPISTAGE
ETAT DE SANTE
ETUDIANT
FEMME
GYNECOLOGIE
INFECTION SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE
INFORMATION
PREVENTION
SAGE-FEMME
SEXUALITE
SUIVI
VACCINATIONRésumé : Introduction
Les étudiants constituent une population en bonne santé mais qui adoptent des comportements à risque notamment dans le domaine de la sexualité. Ce constat a justifié la multiplication de campagnes de prévention et d’information ciblant chez les 18–25 ans la prévention des IST et des grossesses non désirées. Pourtant, certains indicateurs tels que le taux de recours à l’IVG ou l’incidence des infections sexuellement transmissibles restent préoccupants.
Objectif: Établir un diagnostic de l’état de santé gynécologique des étudiantes de 18 à 25 ans à Nancy en 2014 et situer la profession de sage-femme dans le suivi de cette population.
Méthodes
Réalisation d’une étude observationnelle, descriptive, transversale par questionnaire auprès de 430 étudiantes de l’université de Lorraine entre octobre et décembre 2014.
Résultats
Au total, 84,9 % des étudiantes ont déjà bénéficié d’une consultation gynécologique mais 25 % ne consultent que lorsqu’elles l’estiment nécessaire. Le ressenti lors de cet examen est péjoratif. La sage-femme était jugée apte par 58,2 % des femmes à assurer le suivi gynécologique mais peu consultée (
Conclusion
Les étudiantes de la cohorte ont recours aux soins et sont dans l’ensemble bien suivies. Cependant, cette étude révèle une irrégularité dans le suivi, un ressenti péjoratif de la consultation de gynécologie et un recours faible aux examens de dépistage malgré la persistance de situations « à risque ». Face à la multiplication des supports d’information, on constate paradoxalement une évolution lente des comportements, une banalisation des messages de prévention et une méconnaissance concernant les IST. La sage-femme, qui devrait constituer un professionnel de premier recours pour les jeunes femmes en bonne santé, est peu sollicitée.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Sexualité durant la grossesse : revue systématique / E. Thomas in Revue sage-femme (La), n° 6 ([01/12/2019])
[article]
Titre : Sexualité durant la grossesse : revue systématique Type de document : Article Auteurs : E. Thomas, Auteur ; C. Beaumann, Auteur ; L. Galliot, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 293-301 Langues : Français (fre) Mots-clés : FEMME
GROSSESSE
SEXUALITE
VECURésumé : Objectif
Décrire la façon dont est vécue la sexualité des femmes enceintes et recenser les facteurs qui l’influencent.
Matériel et méthode
Revue systématique de la littérature incluant les études publiées en anglais ou en français, entre 1990 et 2018.
Résultats
Trente-cinq études ont été sélectionnées. La fréquence des rapports sexuels, la satisfaction et la fonction sexuelle, ainsi que les pratiques sexuelles sont impactées négativement par la grossesse. Un déclin des rapports sexuels vaginaux de la pré-grossesse au 3e trimestre a été observé, ainsi qu’une part importante de dysfonctionnement sexuel chez les patientes au 3e trimestre de la grossesse. Une corrélation entre satisfaction sexuelle et qualité de vie mentale a été mise en avant. De nombreux facteurs, modifiables ou non modifiables, d’ordre physiologique, psychologique, physique, culturel et social participent à cet impact. Les représentations, les idées reçues et les croyances concernant la sexualité durant la grossesse sont les facteurs les plus fréquemment cités. Cette étude a montré que les femmes enceintes aspiraient à plus d’informations relatives à la sexualité durant la grossesse.
Conclusion
La grossesse influence négativement la sexualité des femmes enceintes. Une part de ce constat est modifiable par la prise en charge de certains facteurs influençant tels que les croyances et idées reçues. La prise en charge des femmes enceintes devrait intégrer systématiquement une information standardisée mais aussi personnalisée de la sexualité durant la grossesse par des professionnels de santé formés.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue sage-femme (La) > n° 6 [01/12/2019] . - p. 293-301[article] Sexualité durant la grossesse : revue systématique [Article] / E. Thomas, Auteur ; C. Beaumann, Auteur ; L. Galliot, Auteur . - 2019 . - p. 293-301.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 6 [01/12/2019] . - p. 293-301
Mots-clés : FEMME
GROSSESSE
SEXUALITE
VECURésumé : Objectif
Décrire la façon dont est vécue la sexualité des femmes enceintes et recenser les facteurs qui l’influencent.
Matériel et méthode
Revue systématique de la littérature incluant les études publiées en anglais ou en français, entre 1990 et 2018.
Résultats
Trente-cinq études ont été sélectionnées. La fréquence des rapports sexuels, la satisfaction et la fonction sexuelle, ainsi que les pratiques sexuelles sont impactées négativement par la grossesse. Un déclin des rapports sexuels vaginaux de la pré-grossesse au 3e trimestre a été observé, ainsi qu’une part importante de dysfonctionnement sexuel chez les patientes au 3e trimestre de la grossesse. Une corrélation entre satisfaction sexuelle et qualité de vie mentale a été mise en avant. De nombreux facteurs, modifiables ou non modifiables, d’ordre physiologique, psychologique, physique, culturel et social participent à cet impact. Les représentations, les idées reçues et les croyances concernant la sexualité durant la grossesse sont les facteurs les plus fréquemment cités. Cette étude a montré que les femmes enceintes aspiraient à plus d’informations relatives à la sexualité durant la grossesse.
Conclusion
La grossesse influence négativement la sexualité des femmes enceintes. Une part de ce constat est modifiable par la prise en charge de certains facteurs influençant tels que les croyances et idées reçues. La prise en charge des femmes enceintes devrait intégrer systématiquement une information standardisée mais aussi personnalisée de la sexualité durant la grossesse par des professionnels de santé formés.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible