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Auteur Jean-Paul Freiermuth |
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Agir dans un espace confiné : soigner dans un espace confiné 9/10 / Ischkia Vega in Soins, n° 820 ([01/11/2017])
[article]
Titre : Agir dans un espace confiné : soigner dans un espace confiné 9/10 Type de document : Article Auteurs : Ischkia Vega, Auteur ; Jean-Paul Freiermuth, Auteur ; Benjamin Baudin, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 61-63 Langues : Français (fre) Mots-clés : INFIRMIER
URGENCERésumé : De nombreux soignants travaillent de façon isolée ou en situation d’exception. Leurs actions sont particulièrement cadrées, sous couvert de protocoles ou d’un accès à un avis médical à même de valider leurs actions de soins. En dehors de ces cadres anticipés, chaque soignant peut être amené à réaliser des soins en milieu confiné, particulièrement anxiogène, comme un bateau, un avion, un train. Ces situations exceptionnelles contraignent l’infirmier à agir en dehors de son cadre habituel de travail, sans disposer d’un environnement qu’il maîtrise avec ses références, ses protocoles et son matériel propre. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Soins > n° 820 [01/11/2017] . - p. 61-63[article] Agir dans un espace confiné : soigner dans un espace confiné 9/10 [Article] / Ischkia Vega, Auteur ; Jean-Paul Freiermuth, Auteur ; Benjamin Baudin, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p. 61-63.
Langues : Français (fre)
in Soins > n° 820 [01/11/2017] . - p. 61-63
Mots-clés : INFIRMIER
URGENCERésumé : De nombreux soignants travaillent de façon isolée ou en situation d’exception. Leurs actions sont particulièrement cadrées, sous couvert de protocoles ou d’un accès à un avis médical à même de valider leurs actions de soins. En dehors de ces cadres anticipés, chaque soignant peut être amené à réaliser des soins en milieu confiné, particulièrement anxiogène, comme un bateau, un avion, un train. Ces situations exceptionnelles contraignent l’infirmier à agir en dehors de son cadre habituel de travail, sans disposer d’un environnement qu’il maîtrise avec ses références, ses protocoles et son matériel propre. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(2)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible . Périodique IFPS Fougères - Centre de documentation Disponible Épidémiologie des évacuations sanitaires héliportées des blessés français au combat en Afghanistan de 2010 à 2012 / Justine Simonet in Anesthésie & Réanimation, n° 5 ([01/09/2017])
[article]
Titre : Épidémiologie des évacuations sanitaires héliportées des blessés français au combat en Afghanistan de 2010 à 2012 Type de document : Article Auteurs : Justine Simonet, Auteur ; Frédérik Belot, Auteur ; Jean-Paul Freiermuth, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 413-418 Langues : Français (fre) Mots-clés : AFGHANISTAN
EPIDEMIOLOGIE
GUERRE
TRANSPORT SANITAIRE
TRAUMATISMERésumé : L’Afghanistan a été un théâtre d’opération extérieure majeur pour les armées françaises. Le but de cette étude est d’évaluer la prévalence et les caractéristiques des blessures de guerre des combattants français lors de ce conflit. Il s’agit d’une analyse rétrospective des blessés au combat français évacués par hélicoptère et prise en charge aux urgences de l’hôpital médicochirurgical KaIA (Kabul International Airport, Afghanistan) du 01/10/2010 au 17/08/2012. Pendant la période étudiée, 93 évacuations médicales héliportées ont été réalisées pour 190 combattants français blessés au combat. Les mécanismes lésionnels étaient majoritairement des explosions (67 %). Les régions anatomiques concernées par les blessures étaient principalement les membres (67,9 %) et la région craniofaciale (37,4 %). Vingt-trois pour cent des blessés ont été catégorisés « urgence absolue » et la durée médiane d’évacuation a été de 60minutes [50 ; 79]. Quatre-vingt-huit patients (46,3 %) ont nécessité une chirurgie immédiate après passage aux urgences. La durée médiane de séjour à KaIA a été de 3jours [2 ; 6], avant un rapatriement en France (60 %) ou un retour au poste opérationnel (36 %). Neuf blessés (4,7 %) sont décédés après le début prise en charge médicale. Dans cette étude, les mécanismes lésionnels et la répartition anatomique des blessures diffèrent par rapport aux précédents conflits. L’amélioration du taux de survie des blessés au combat a été expliquée par l’amélioration des équipements de protection et la généralisation des principes fondamentaux de médecine opérationnelle moderne. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 5 [01/09/2017] . - p. 413-418[article] Épidémiologie des évacuations sanitaires héliportées des blessés français au combat en Afghanistan de 2010 à 2012 [Article] / Justine Simonet, Auteur ; Frédérik Belot, Auteur ; Jean-Paul Freiermuth, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p. 413-418.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 5 [01/09/2017] . - p. 413-418
Mots-clés : AFGHANISTAN
EPIDEMIOLOGIE
GUERRE
TRANSPORT SANITAIRE
TRAUMATISMERésumé : L’Afghanistan a été un théâtre d’opération extérieure majeur pour les armées françaises. Le but de cette étude est d’évaluer la prévalence et les caractéristiques des blessures de guerre des combattants français lors de ce conflit. Il s’agit d’une analyse rétrospective des blessés au combat français évacués par hélicoptère et prise en charge aux urgences de l’hôpital médicochirurgical KaIA (Kabul International Airport, Afghanistan) du 01/10/2010 au 17/08/2012. Pendant la période étudiée, 93 évacuations médicales héliportées ont été réalisées pour 190 combattants français blessés au combat. Les mécanismes lésionnels étaient majoritairement des explosions (67 %). Les régions anatomiques concernées par les blessures étaient principalement les membres (67,9 %) et la région craniofaciale (37,4 %). Vingt-trois pour cent des blessés ont été catégorisés « urgence absolue » et la durée médiane d’évacuation a été de 60minutes [50 ; 79]. Quatre-vingt-huit patients (46,3 %) ont nécessité une chirurgie immédiate après passage aux urgences. La durée médiane de séjour à KaIA a été de 3jours [2 ; 6], avant un rapatriement en France (60 %) ou un retour au poste opérationnel (36 %). Neuf blessés (4,7 %) sont décédés après le début prise en charge médicale. Dans cette étude, les mécanismes lésionnels et la répartition anatomique des blessures diffèrent par rapport aux précédents conflits. L’amélioration du taux de survie des blessés au combat a été expliquée par l’amélioration des équipements de protection et la généralisation des principes fondamentaux de médecine opérationnelle moderne. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible