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Surveillance du chikungunya, de la dengue et des infections à virus Zika en France métropolitaine, 2017 / Nelly Fournet
Titre : Surveillance du chikungunya, de la dengue et des infections à virus Zika en France métropolitaine, 2017 Type de document : Document électronique Auteurs : Nelly Fournet, Auteur ; Florian Franke, Auteur ; Pascal Chaud, Auteur ; et al., Auteur Editeur : Santé publique France Année de publication : 2018 Collection : Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire Importance : p. 494-503 Note générale : BEH n° 24 du 10 juillet 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIKUNGUNYA
DENGUE
INFECTION
SURVEILLANCE
ZIKARésumé : Implanté en France métropolitaine depuis 2004, le moustique Aedes albopictus – vecteur des virus de la dengue, du chikungunya et du virus Zika – expose au risque de transmission autochtone de ces arboviroses en cas de retour en métropole de personnes infectées dans des zones où circulent ces virus.
En métropole, la surveillance épidémiologique est basée sur la déclaration obligatoire (DO) des cas probables et confirmés. Pendant la période d’activité du moustique Ae. albopictus dans les départements où le moustique est implanté, du 1er mai au 30 novembre, dite « période de surveillance renforcée », la DO est complétée par le signalement de cas importés dès leur suspicion clinique.
En 2017, 37 cas de chikungunya, 269 cas de dengue et 28 cas d’infection à virus Zika ont été notifiés. Pendant la période de surveillance renforcée, 729 signalements ont été effectués. Parmi eux, 7 cas importés et un foyer de 17 cas autochtones de chikungunya, 151 cas importés de dengue, 15 cas importés et 1 cas autochtone d’infection à virus Zika ont été confirmés.
L’extension d’Ae. albopictus à neuf nouveaux départements en 2018 pose la question de la soutenabilité du dispositif actuel de surveillance. Il pourrait être recentré sur les cas confirmés, en l’absence de transmission autochtone, pour une meilleure efficacité et utilisation des moyens. Avec l’augmentation constante du poids des arboviroses dans le monde, il apparait fondamental d’informer les voyageurs se rendant ou revenant des zones à risque et de toujours sensibiliser les professionnels de santé à cette surveillance.En ligne : http://invs.santepubliquefrance.fr/beh/2018/24/pdf/2018_24_1.pdf Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Surveillance du chikungunya, de la dengue et des infections à virus Zika en France métropolitaine, 2017 [Document électronique] / Nelly Fournet, Auteur ; Florian Franke, Auteur ; Pascal Chaud, Auteur ; et al., Auteur . - Santé publique France, 2018 . - p. 494-503. - (Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire) .
BEH n° 24 du 10 juillet 2018
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CHIKUNGUNYA
DENGUE
INFECTION
SURVEILLANCE
ZIKARésumé : Implanté en France métropolitaine depuis 2004, le moustique Aedes albopictus – vecteur des virus de la dengue, du chikungunya et du virus Zika – expose au risque de transmission autochtone de ces arboviroses en cas de retour en métropole de personnes infectées dans des zones où circulent ces virus.
En métropole, la surveillance épidémiologique est basée sur la déclaration obligatoire (DO) des cas probables et confirmés. Pendant la période d’activité du moustique Ae. albopictus dans les départements où le moustique est implanté, du 1er mai au 30 novembre, dite « période de surveillance renforcée », la DO est complétée par le signalement de cas importés dès leur suspicion clinique.
En 2017, 37 cas de chikungunya, 269 cas de dengue et 28 cas d’infection à virus Zika ont été notifiés. Pendant la période de surveillance renforcée, 729 signalements ont été effectués. Parmi eux, 7 cas importés et un foyer de 17 cas autochtones de chikungunya, 151 cas importés de dengue, 15 cas importés et 1 cas autochtone d’infection à virus Zika ont été confirmés.
L’extension d’Ae. albopictus à neuf nouveaux départements en 2018 pose la question de la soutenabilité du dispositif actuel de surveillance. Il pourrait être recentré sur les cas confirmés, en l’absence de transmission autochtone, pour une meilleure efficacité et utilisation des moyens. Avec l’augmentation constante du poids des arboviroses dans le monde, il apparait fondamental d’informer les voyageurs se rendant ou revenant des zones à risque et de toujours sensibiliser les professionnels de santé à cette surveillance.En ligne : http://invs.santepubliquefrance.fr/beh/2018/24/pdf/2018_24_1.pdf Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id