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Auteur Christine Tessier Cazeneuve |
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Analyse du premier contrôle des frottis ASC-US par les médecins généralistes en Maine-et-Loire en 2014 / Laure Theurier in Santé publique, n° 4 ([01/07/2018])
[article]
Titre : Analyse du premier contrôle des frottis ASC-US par les médecins généralistes en Maine-et-Loire en 2014 Type de document : Article Auteurs : Laure Theurier, Auteur ; Christine Tessier Cazeneuve, Auteur ; Anne-Sophie Le Duc-Banaszuk, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 499-505 Langues : Français (fre) Mots-clés : CANCER DU COL DE L'UTERUS
CONTROLE
DEPISTAGE
FROTTIS
MEDECIN GENERALISTE
UTERUSRésumé : Introduction : Lors de l’étude, l’HAS recommandait 3 options de premier contrôle (C1) en cas de découverte d’un ASC-US sur un frottis de dépistage : un frottis à 6 mois, un test HPV ou une colposcopie.
Notre objectif principal était de connaître l’option choisie du C1. Les objectifs secondaires étaient d’évaluer le nombre de C1 réalisés par les médecins généralistes, le taux de suivi et celui des comptes-rendus des frottis C1 adaptés.
Méthode : Étude rétrospective descriptive, réalisée sur les données de CAP Santé 49 (organisme départemental du dépistage organisé des cancers), concernant les femmes de 25 à 65 ans ayant un frottis de dépistage avec un résultat ASC-US réalisé par un médecin généraliste.
Résultats : 397 patientes incluses, 373 avec suivi soit 94 % dont 367 C1 et 6 traitements.
Parmi les C1 : 212 frottis (57,76 %), 89 tests HPV (24,25 %), 40 colposcopies (10,9 %), 26 techniques couplées (7,08 %). 235 soit 64,03 % sont réalisés par les médecins généralistes, 130 soit 35,42 % par les gynécologues et 2 par les sages-femmes soit 0,54 %.
Sur les 126 comptes-rendus de frottis normaux reçus par les médecins généralistes, 70,63 % renseignaient l’antécédent d’ASC-US. Parmi eux 14 soit 15,7 % précisaient un délai de contrôle conforme aux recommandations.
Conclusion : Cette étude réalisée en 2014 montre le doublement des tests HPV par rapport à l’étude similaire de 2011. En décembre 2016, l’INCa a positionné ce test comme référence du contrôle des ASC-US. En 2018 débutera le dépistage organisé du cancer du col de l’utérus qui impliquera les médecins généralistes. Cette étude pourra servir de base pour évaluer les modifications de leur pratique.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 4 [01/07/2018] . - p. 499-505[article] Analyse du premier contrôle des frottis ASC-US par les médecins généralistes en Maine-et-Loire en 2014 [Article] / Laure Theurier, Auteur ; Christine Tessier Cazeneuve, Auteur ; Anne-Sophie Le Duc-Banaszuk, Auteur ; et al., Auteur . - 2018 . - p. 499-505.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 4 [01/07/2018] . - p. 499-505
Mots-clés : CANCER DU COL DE L'UTERUS
CONTROLE
DEPISTAGE
FROTTIS
MEDECIN GENERALISTE
UTERUSRésumé : Introduction : Lors de l’étude, l’HAS recommandait 3 options de premier contrôle (C1) en cas de découverte d’un ASC-US sur un frottis de dépistage : un frottis à 6 mois, un test HPV ou une colposcopie.
Notre objectif principal était de connaître l’option choisie du C1. Les objectifs secondaires étaient d’évaluer le nombre de C1 réalisés par les médecins généralistes, le taux de suivi et celui des comptes-rendus des frottis C1 adaptés.
Méthode : Étude rétrospective descriptive, réalisée sur les données de CAP Santé 49 (organisme départemental du dépistage organisé des cancers), concernant les femmes de 25 à 65 ans ayant un frottis de dépistage avec un résultat ASC-US réalisé par un médecin généraliste.
Résultats : 397 patientes incluses, 373 avec suivi soit 94 % dont 367 C1 et 6 traitements.
Parmi les C1 : 212 frottis (57,76 %), 89 tests HPV (24,25 %), 40 colposcopies (10,9 %), 26 techniques couplées (7,08 %). 235 soit 64,03 % sont réalisés par les médecins généralistes, 130 soit 35,42 % par les gynécologues et 2 par les sages-femmes soit 0,54 %.
Sur les 126 comptes-rendus de frottis normaux reçus par les médecins généralistes, 70,63 % renseignaient l’antécédent d’ASC-US. Parmi eux 14 soit 15,7 % précisaient un délai de contrôle conforme aux recommandations.
Conclusion : Cette étude réalisée en 2014 montre le doublement des tests HPV par rapport à l’étude similaire de 2011. En décembre 2016, l’INCa a positionné ce test comme référence du contrôle des ASC-US. En 2018 débutera le dépistage organisé du cancer du col de l’utérus qui impliquera les médecins généralistes. Cette étude pourra servir de base pour évaluer les modifications de leur pratique.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Modalités et difficultés d’utilisation du Pass prévention contraception par les jeunes en Maine-et-Loire / Charlotte Aubry in Santé publique, n° 3 ([01/05/2019])
[article]
Titre : Modalités et difficultés d’utilisation du Pass prévention contraception par les jeunes en Maine-et-Loire Type de document : Article Auteurs : Charlotte Aubry, Auteur ; Christine Tessier Cazeneuve, Auteur ; Serge Fanello, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 339-345 Langues : Français (fre) Mots-clés : ADOLESCENT
CONTRACEPTION
EDUCATION SEXUELLE
ELEVE
ETABLISSEMENT D'ENSEIGNEMENT
FILLE
GARCON
INFECTION SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE
INTERRUPTION VOLONTAIRE DE GROSSESSE
PREVENTIONRésumé : Objectifs : L’évaluation du Pass prévention contraception (PPC) par le conseil régional des Pays de la Loire expose un bilan favorable du dispositif par les professionnels de santé et référents PPC. Qu’en est-il des bénéficiaires ? L’objectif primaire de cette étude est d’évaluer les modalités et difficultés d’utilisation du PPC par les jeunes éligibles, scolarisés dans les établissements du Maine-et-Loire et sensibilisés au dispositif.
Méthode : Il s’agit d’une étude quantitative, de cohorte rétrospective et descriptive par questionnaire individuel, porté et anonyme. Les critères d’inclusion sont les élèves scolarisés dans les établissements du Maine-et-Loire ayant accepté la diffusion du Pass dans leur enceinte.
Résultats : Un total de 683 élèves a été inclus. La moitié d’entre eux, essentiellement des filles (p = 0,008), issues d’établissements publics, du centre de formation pour adultes–maison familiale rurale (CFA-MFR) et des filières professionnelles (p = 0,005) connaissaient le PPC. Plus précisément, 56 % en avaient entendu parler, mais seulement 41 % avaient bénéficié d’une explication. Un jeune sur dix se procurait seul un PPC ; 14 % l’utilisaient principalement pour une délivrance de contraceptifs sans ordonnance (préservatifs) ; 61 % des filles et 44 % des garçons estimaient ne pas en avoir besoin (p = 10–5). Deux fois plus de filles (11 %) que de garçons estimaient pouvoir s’adresser directement au médecin traitant (p = 0,005). Un sur quatre pensait qu’il était plus facile d’utiliser le PPC que d’aller au centre de planification et d’éducation familiale (CPEF), surtout pour les ruraux (p = 0,02).
Discussion : L’information collective donnée au sein d’une population souvent peu concernée ou non demandeuse mériterait d’être réinterrogée. Il conviendrait de proposer de nouveaux supports de communication en adéquation avec les comportements des jeunes, mais aussi plus explicites, afin d’orienter ce public vers des professionnels libéraux référencés et d’accentuer les propositions du dispositif, avec pour objectif : une absence d’avance de frais pour les préservatifs, une incitation à pratiquer des tests de dépistage par le médecin traitant ou aux centres gratuits d’information, de diagnostic et de dépistage (Ceggid) et un élargissement de la diffusion du Pass aux majeurs de plus de 20 ans.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 3 [01/05/2019] . - p. 339-345[article] Modalités et difficultés d’utilisation du Pass prévention contraception par les jeunes en Maine-et-Loire [Article] / Charlotte Aubry, Auteur ; Christine Tessier Cazeneuve, Auteur ; Serge Fanello, Auteur . - 2019 . - p. 339-345.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 3 [01/05/2019] . - p. 339-345
Mots-clés : ADOLESCENT
CONTRACEPTION
EDUCATION SEXUELLE
ELEVE
ETABLISSEMENT D'ENSEIGNEMENT
FILLE
GARCON
INFECTION SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE
INTERRUPTION VOLONTAIRE DE GROSSESSE
PREVENTIONRésumé : Objectifs : L’évaluation du Pass prévention contraception (PPC) par le conseil régional des Pays de la Loire expose un bilan favorable du dispositif par les professionnels de santé et référents PPC. Qu’en est-il des bénéficiaires ? L’objectif primaire de cette étude est d’évaluer les modalités et difficultés d’utilisation du PPC par les jeunes éligibles, scolarisés dans les établissements du Maine-et-Loire et sensibilisés au dispositif.
Méthode : Il s’agit d’une étude quantitative, de cohorte rétrospective et descriptive par questionnaire individuel, porté et anonyme. Les critères d’inclusion sont les élèves scolarisés dans les établissements du Maine-et-Loire ayant accepté la diffusion du Pass dans leur enceinte.
Résultats : Un total de 683 élèves a été inclus. La moitié d’entre eux, essentiellement des filles (p = 0,008), issues d’établissements publics, du centre de formation pour adultes–maison familiale rurale (CFA-MFR) et des filières professionnelles (p = 0,005) connaissaient le PPC. Plus précisément, 56 % en avaient entendu parler, mais seulement 41 % avaient bénéficié d’une explication. Un jeune sur dix se procurait seul un PPC ; 14 % l’utilisaient principalement pour une délivrance de contraceptifs sans ordonnance (préservatifs) ; 61 % des filles et 44 % des garçons estimaient ne pas en avoir besoin (p = 10–5). Deux fois plus de filles (11 %) que de garçons estimaient pouvoir s’adresser directement au médecin traitant (p = 0,005). Un sur quatre pensait qu’il était plus facile d’utiliser le PPC que d’aller au centre de planification et d’éducation familiale (CPEF), surtout pour les ruraux (p = 0,02).
Discussion : L’information collective donnée au sein d’une population souvent peu concernée ou non demandeuse mériterait d’être réinterrogée. Il conviendrait de proposer de nouveaux supports de communication en adéquation avec les comportements des jeunes, mais aussi plus explicites, afin d’orienter ce public vers des professionnels libéraux référencés et d’accentuer les propositions du dispositif, avec pour objectif : une absence d’avance de frais pour les préservatifs, une incitation à pratiquer des tests de dépistage par le médecin traitant ou aux centres gratuits d’information, de diagnostic et de dépistage (Ceggid) et un élargissement de la diffusion du Pass aux majeurs de plus de 20 ans.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible