36. La place du PET-scan dans le diagnostic de la maladie de Horton / Annabella Tiboul in Soins Gérontologie, n° 134 ([01/11/2018])

Public ISBD [article]  inSoins Gérontologie > n° 134 [01/11/2018] . - p. 40-41 Titre : 36. La place du PET-scan dans le diagnostic de la maladie de Horton Type de document : Article Auteurs : Annabella Tiboul, Auteur ; Dany Vythilingum, Auteur ; Marie Breton, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 40-41 Langues : Français (fre) Mots-clés : DIAGNOSTIC IMAGERIE MEDICALE MALADIE DE HORTON SCANNER TOMOGRAPHIE Résumé : La maladie de Horton, artérite à cellules géantes de l’aorte et de ses principales branches, se manifeste par une altération majeure de l’état général. Elle est par ailleurs à l’origine d’un risque vasculaire, essentiellement ophtalmologique ou cérébral. Son diagnostic repose sur la biopsie des artères temporales et son traitement sur une corticothérapie prolongée à forte dose. L’enjeu d’un diagnostic robuste est donc majeur, notamment chez le sujet âgé. Le positron emission tomography (PET)-scan au 18fluoro-désoxy-glucose (FDG) peut contribuer au diagnostic mais n’est pas recommandé aujourd’hui en première intention. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] 36. La place du PET-scan dans le diagnostic de la maladie de Horton [Article] / Annabella Tiboul, Auteur ; Dany Vythilingum, Auteur ; Marie Breton, Auteur ; et al., Auteur . - 2018 . - p. 40-41. Langues : Français (fre) in Soins Gérontologie > n° 134 [01/11/2018] . - p. 40-41 Mots-clés : DIAGNOSTIC IMAGERIE MEDICALE MALADIE DE HORTON SCANNER TOMOGRAPHIE Résumé : La maladie de Horton, artérite à cellules géantes de l’aorte et de ses principales branches, se manifeste par une altération majeure de l’état général. Elle est par ailleurs à l’origine d’un risque vasculaire, essentiellement ophtalmologique ou cérébral. Son diagnostic repose sur la biopsie des artères temporales et son traitement sur une corticothérapie prolongée à forte dose. L’enjeu d’un diagnostic robuste est donc majeur, notamment chez le sujet âgé. Le positron emission tomography (PET)-scan au 18fluoro-désoxy-glucose (FDG) peut contribuer au diagnostic mais n’est pas recommandé aujourd’hui en première intention. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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