[article] 
inEnfances & Psy > n° 63 [01/06/2014] . - p. 117-122

Titre :	Le poids des photos, le choc des vidéos. Quand les parents filment ou photographient indûment leurs enfants : une inquiétante régression ?
Type de document :	Article
Auteurs :	Alain Quesney, Auteur
Année de publication :	2014
Article en page(s) :	p. 117-122
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	PARENTALITE PHOTOGRAPHIE RELATION MEDECIN/FAMILLE RELATION PARENT/ENFANT TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION VIDEO
Résumé :	La fascination des enfants de plus en plus jeunes pour les technologies est un constat banal. De plus en plus d'adultes semblent, eux aussi, succomber à ces pièges de la pseudo-communication. C'est encore plus grave quand cela touche la relation parent-enfant et lorsque vidéos et photos, comme autant d'objets partiels, viennent masquer le sujet, l'obscurcir alors prétendant l'éclairer -lui cet enfant qui n'a besoin somme toute que d'une parole humanisante, d'un interdit structurant ou d'un geste empathique. A partir de trois observations issues de la pratique d'un pédiatre installé "en ville", nous verrons comment les parents peuvent utiliser caméras, portables ou tablettes pour prendre à témoin le pédiatre de leur impasse, de leur impossibilité à comprendre la souffrance psychique de leur enfant.
Cote :
Permalink :	https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

[article] Le poids des photos, le choc des vidéos. Quand les parents filment ou photographient indûment leurs enfants : une inquiétante régression ? [Article] / Alain Quesney, Auteur . - 2014 . - p. 117-122.
Langues : Français (fre)
in Enfances & Psy > n° 63 [01/06/2014] . - p. 117-122

Mots-clés :	PARENTALITE PHOTOGRAPHIE RELATION MEDECIN/FAMILLE RELATION PARENT/ENFANT TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION VIDEO
Résumé :	La fascination des enfants de plus en plus jeunes pour les technologies est un constat banal. De plus en plus d'adultes semblent, eux aussi, succomber à ces pièges de la pseudo-communication. C'est encore plus grave quand cela touche la relation parent-enfant et lorsque vidéos et photos, comme autant d'objets partiels, viennent masquer le sujet, l'obscurcir alors prétendant l'éclairer -lui cet enfant qui n'a besoin somme toute que d'une parole humanisante, d'un interdit structurant ou d'un geste empathique. A partir de trois observations issues de la pratique d'un pédiatre installé "en ville", nous verrons comment les parents peuvent utiliser caméras, portables ou tablettes pour prendre à témoin le pédiatre de leur impasse, de leur impossibilité à comprendre la souffrance psychique de leur enfant.
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