[article] 
inAnesthésie & Réanimation > n° 5 [01/11/2015] . - p. 441-450

Titre :	Quelle analgésie pour la reprise rapide de la marche ?
Type de document :	Article
Auteurs :	Denis Jochum, Auteur
Année de publication :	2015
Article en page(s) :	p. 441-450
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	ANALGESIE ANESTHESIE LOCALE CHIRURGIE MEMBRE INFERIEUR
Résumé :	Une intervention chirurgicale au niveau du membre inférieur peut menacer ou compromettre la sûreté de la marche de l’opéré. L’optimisation de la prise en charge du patient passe par une approche multimodale de l’analgésie mais ce n’est qu’un élément du programme de récupération précoce. Les anesthésiques locaux doivent être utilisés en première intention. L’analgésie par infiltration d’anesthésiques locaux par son efficacité pour la période postopératoire initiale permet une reprise précoce de la marche. Les techniques d’analgésie locorégionale, par contre, vont entraîner plus de répercussions sur la fonction motrice et vont nécessiter la mise en place de précautions pour limiter les risques, notamment de chute lors de la reprise de la marche. Il est essentiel d’identifier les patients à risque élevé de chute. Les moyens de prévention passent par l’information du personnel soignant et par celle du patient et de son entourage. Le rôle majeur de l’équipe de kinésithérapie doit permettre de coordonner la prise en charge des patients pour optimiser la rééducation de la marche.
Cote :	.
Permalink :	https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

[article] Quelle analgésie pour la reprise rapide de la marche ? [Article] / Denis Jochum, Auteur . - 2015 . - p. 441-450.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 5 [01/11/2015] . - p. 441-450

Mots-clés :	ANALGESIE ANESTHESIE LOCALE CHIRURGIE MEMBRE INFERIEUR
Résumé :	Une intervention chirurgicale au niveau du membre inférieur peut menacer ou compromettre la sûreté de la marche de l’opéré. L’optimisation de la prise en charge du patient passe par une approche multimodale de l’analgésie mais ce n’est qu’un élément du programme de récupération précoce. Les anesthésiques locaux doivent être utilisés en première intention. L’analgésie par infiltration d’anesthésiques locaux par son efficacité pour la période postopératoire initiale permet une reprise précoce de la marche. Les techniques d’analgésie locorégionale, par contre, vont entraîner plus de répercussions sur la fonction motrice et vont nécessiter la mise en place de précautions pour limiter les risques, notamment de chute lors de la reprise de la marche. Il est essentiel d’identifier les patients à risque élevé de chute. Les moyens de prévention passent par l’information du personnel soignant et par celle du patient et de son entourage. Le rôle majeur de l’équipe de kinésithérapie doit permettre de coordonner la prise en charge des patients pour optimiser la rééducation de la marche.
Cote :	.
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