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Auteur Fifonsi A. Gbeasor-Komlanvi |
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Acceptabilité de l’utilisation de la téléphonie mobile dans la prise en charge du VIH au Togo / Fifonsi A. Gbeasor-Komlanvi in Santé publique, n° 2-3 ([01/03/2020])
[article]
Titre : Acceptabilité de l’utilisation de la téléphonie mobile dans la prise en charge du VIH au Togo Type de document : Article Auteurs : Fifonsi A. Gbeasor-Komlanvi, Auteur ; Andoche C. Chokpon, Auteur ; Wendpouiré Ida C. Zida-Compaore, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 253-262 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCEPTABILITE
AFRIQUE
COMMUNICATION
CONFIDENTIALITE
E-SANTE
SIDA
TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION
TELEPHONE
TOGORésumé : Objectif : Décrire l’acceptabilité de l’utilisation de la téléphonie mobile pour améliorer la prise en charge des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) à Lomé au Togo.
Méthode : Une étude transversale à visée descriptive et analytique a été réalisée du 5 janvier au 31 mars 2018 à Lomé. Les PVVIH ont été recrutées dans le Service de Maladies Infectieuses et Tropicales du CHU Sylvanus Olympio et à l’ONG Espoir Vie Togo. Un questionnaire administré en face-à-face a été utilisé pour le recueil des données sociodémographiques et cliniques, ainsi que sur l’accès au téléphone portable et l’acceptabilité de communication par téléphone portable avec un professionnel de santé.
Résultats : Au total 259 PVVIH (79,6 % de femmes) ont été recrutées. L’âge moyen (± écart type) des PVVIH était de 43,7 ans (± 9,8) et la majorité (95,4 %) avait un téléphone portable. La quasi-totalité (98,1 %) des PVVIH ont déclaré que le téléphone portable était un moyen d’être en contact avec un professionnel de santé. Les appels téléphoniques (43 %), les messages écrits (SMS) (35,1 %), et les messages vocaux (20 %) étaient les principaux modes de communication souhaités avec le personnel de santé. Les facteurs associés à l’acceptabilité des SMS émis par le personnel de santé étaient l’âge inférieur à 44 ans et un niveau d’instruction supérieur ou égal au secondaire.
Conclusion : Les PVVIH sont favorables à intégrer la technologie mobile dans la gestion des soins. La m-santé pourrait constituer une opportunité pour améliorer la prise en charge de l’infection à VIH au Togo.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 2-3 [01/03/2020] . - p. 253-262[article] Acceptabilité de l’utilisation de la téléphonie mobile dans la prise en charge du VIH au Togo [Article] / Fifonsi A. Gbeasor-Komlanvi, Auteur ; Andoche C. Chokpon, Auteur ; Wendpouiré Ida C. Zida-Compaore, Auteur ; et al., Auteur . - 2020 . - p. 253-262.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 2-3 [01/03/2020] . - p. 253-262
Mots-clés : ACCEPTABILITE
AFRIQUE
COMMUNICATION
CONFIDENTIALITE
E-SANTE
SIDA
TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION
TELEPHONE
TOGORésumé : Objectif : Décrire l’acceptabilité de l’utilisation de la téléphonie mobile pour améliorer la prise en charge des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) à Lomé au Togo.
Méthode : Une étude transversale à visée descriptive et analytique a été réalisée du 5 janvier au 31 mars 2018 à Lomé. Les PVVIH ont été recrutées dans le Service de Maladies Infectieuses et Tropicales du CHU Sylvanus Olympio et à l’ONG Espoir Vie Togo. Un questionnaire administré en face-à-face a été utilisé pour le recueil des données sociodémographiques et cliniques, ainsi que sur l’accès au téléphone portable et l’acceptabilité de communication par téléphone portable avec un professionnel de santé.
Résultats : Au total 259 PVVIH (79,6 % de femmes) ont été recrutées. L’âge moyen (± écart type) des PVVIH était de 43,7 ans (± 9,8) et la majorité (95,4 %) avait un téléphone portable. La quasi-totalité (98,1 %) des PVVIH ont déclaré que le téléphone portable était un moyen d’être en contact avec un professionnel de santé. Les appels téléphoniques (43 %), les messages écrits (SMS) (35,1 %), et les messages vocaux (20 %) étaient les principaux modes de communication souhaités avec le personnel de santé. Les facteurs associés à l’acceptabilité des SMS émis par le personnel de santé étaient l’âge inférieur à 44 ans et un niveau d’instruction supérieur ou égal au secondaire.
Conclusion : Les PVVIH sont favorables à intégrer la technologie mobile dans la gestion des soins. La m-santé pourrait constituer une opportunité pour améliorer la prise en charge de l’infection à VIH au Togo.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Prévalence de Chlamydia trachomatis, Neisseria gonorrhoeae, Treponema pallidum et du VIH chez les femmes à Kara, en 2022 / Gatibe Yendu-Sullpak Gnatou
Titre : Prévalence de Chlamydia trachomatis, Neisseria gonorrhoeae, Treponema pallidum et du VIH chez les femmes à Kara, en 2022 Type de document : Article Auteurs : Gatibe Yendu-Sullpak Gnatou, Auteur ; Fifonsi A. Gbeasor-Komlanvi, Auteur ; Kossivi Agbélenko Afanvi, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2024 Importance : p. 137-146 Langues : Français (fre) Mots-clés : AFRIQUE
FEMME
INFECTION BACTERIENNE
INFECTION SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE
PREVALENCE
SIDA
SYPHILIS
TOGORésumé : Objectif de l’étude : Estimer la prévalence de quatre IST chez les femmes en âge de procréer dans la région de Kara.
Méthodes : Une étude transversale a été réalisée en mars 2022. Les données ont été recueillies à l’aide d’un questionnaire standardisé. Le dépistage du VIH et de la syphilis a été réalisé à l’aide des tests rapides « SD-BIOLINE HIV/Syphilis Duo® ». La technique PCR sur GeneXpert a été utilisée pour rechercher Chlamydia trachomatis et Neisseria gonorrhoeae. Les prévalences des IST (Chlamydia trachomatis, Neisseria gonorrhoeae, Treponema pallidum et VIH) ont été rapportées avec leurs intervalles de confiance à 95 %.
Résultats : Au total, 300 femmes d’âge médian 32 ans intervalle interquartile [24-39] ont été incluses. Parmi elles, 25,7 % avaient consulté un gynécologue au cours des douze derniers mois. La prévalence de Chlamydia trachomatis était de 4,3 % (IC95 % : [2,4 - 7,5]), Neisseria gonorrhoeae 3,3 % (IC95 % : [1,7 - 6,2]), Treponema pallidum 0,3 % (IC95 % : [0,02 - 2,1]) et VIH 3,7 % (IC95 % : [1,9 - 6,7]). Trois cas de coïnfection Neisseria gonorrhoeae, Chlamydia trachomatis et une absence de coïnfection du VIH et des IST bactériennes ont été notés.
Conclusion : Cette étude confirme une faible accessibilité des femmes aux consultations de gynécologie, une faible circulation de la syphilis et la présence de Neisseria gonorrhoeae et de Chlamydia trachomatis chez les femmes en âge de procréer dans la région de Kara. La mise en place d’un système de surveillance des IST au sein de cette population est nécessaire pour une meilleure prise en charge.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Prévalence de Chlamydia trachomatis, Neisseria gonorrhoeae, Treponema pallidum et du VIH chez les femmes à Kara, en 2022 [Article] / Gatibe Yendu-Sullpak Gnatou, Auteur ; Fifonsi A. Gbeasor-Komlanvi, Auteur ; Kossivi Agbélenko Afanvi, Auteur ; et al., Auteur . - 2024 . - p. 137-146.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : AFRIQUE
FEMME
INFECTION BACTERIENNE
INFECTION SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE
PREVALENCE
SIDA
SYPHILIS
TOGORésumé : Objectif de l’étude : Estimer la prévalence de quatre IST chez les femmes en âge de procréer dans la région de Kara.
Méthodes : Une étude transversale a été réalisée en mars 2022. Les données ont été recueillies à l’aide d’un questionnaire standardisé. Le dépistage du VIH et de la syphilis a été réalisé à l’aide des tests rapides « SD-BIOLINE HIV/Syphilis Duo® ». La technique PCR sur GeneXpert a été utilisée pour rechercher Chlamydia trachomatis et Neisseria gonorrhoeae. Les prévalences des IST (Chlamydia trachomatis, Neisseria gonorrhoeae, Treponema pallidum et VIH) ont été rapportées avec leurs intervalles de confiance à 95 %.
Résultats : Au total, 300 femmes d’âge médian 32 ans intervalle interquartile [24-39] ont été incluses. Parmi elles, 25,7 % avaient consulté un gynécologue au cours des douze derniers mois. La prévalence de Chlamydia trachomatis était de 4,3 % (IC95 % : [2,4 - 7,5]), Neisseria gonorrhoeae 3,3 % (IC95 % : [1,7 - 6,2]), Treponema pallidum 0,3 % (IC95 % : [0,02 - 2,1]) et VIH 3,7 % (IC95 % : [1,9 - 6,7]). Trois cas de coïnfection Neisseria gonorrhoeae, Chlamydia trachomatis et une absence de coïnfection du VIH et des IST bactériennes ont été notés.
Conclusion : Cette étude confirme une faible accessibilité des femmes aux consultations de gynécologie, une faible circulation de la syphilis et la présence de Neisseria gonorrhoeae et de Chlamydia trachomatis chez les femmes en âge de procréer dans la région de Kara. La mise en place d’un système de surveillance des IST au sein de cette population est nécessaire pour une meilleure prise en charge.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(0)
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