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Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP)
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Titre : Bénéfices-risques de la cigarette électronique ou e-cigarette, étendus en population générale Type de document : Document électronique Editeur : Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) Année de publication : 2014 Importance : 12 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : CIGARETTE ELECTRONIQUE
TABAGISMERésumé : Un nouveau mode de consommation de substance à inhaler pouvant contenir de la nicotine se développe en France avec l’utilisation de la cigarette électronique ou e-cigarette.
L’utilisation de ce produit industriel, récent et non pharmaceutique, se veut une « alternative » au tabac et à l’acte de fumer. La réduction possible du risque liée à la fumée de tabac est un sujet de grande importance compte tenu de la mortalité et de la morbidité liée au tabac. L’e-cigarette est présentée comme un moyen d’aide au sevrage tabagique et de nombreux utilisateurs y voient un espoir de sortir du tabagisme. Le Haut Conseil de la santé publique (HCSP), en réponse à la saisine de la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDECA), a réalisé une analyse de la littérature du rapport bénéfices-risques de la consommation d’e-cigarette et de ses conséquences possibles sur la population générale.
L’analyse bénéfices-risques dépend du type de situation.
Les risques du développement de l’e-cigarette sont :
- la re-normalisation du tabac ;
- et pour les non-fumeurs, l’entrée dans la dépendance à la nicotine avec son corollaire, l’entrée dans le tabagisme. Ce risque semble particulièrement élevé chez les jeunes.
- Pour les fumeurs ayant envie d’arrêter, la consommation d’e-cigarette est un outil de réduction des risques lorsqu’il amène au sevrage.
- Pour les vapofumeurs (consommation de tabac et d’e-cigarette) de nombreuses interrogations demeurent et nous avons encore besoin d’études pour élaborer des recommandations étayées scientifiquement.
- La principale mise en garde du HCSP concerne le risque d’entrée en addiction nicotinique des adolescents et leur détournement vers le tabagisme.
Le HCSP recommande :
- L’observation périodique des niveaux et modes de consommation de l’e-cigarette.
- L’information publique des consommateurs sur les risques ou sur la méconnaissance des risques.
- La communication sur l’interdiction de vente aux mineurs des e-cigarettes et sur le risque du vapotage pour la femme enceinte.
- Un contrôle périodique de la présence de nicotine et de sa concentration dans les e-liquides.
- La mise en place de mesures pour contrer la « renormalisation » de la consommation de nicotine inhalée ou fumée.En ligne : http://www.automesure.com/library/pdf/hcsp-ecigarette2014.pdf Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Bénéfices-risques de la cigarette électronique ou e-cigarette, étendus en population générale [Document électronique] . - Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP), 2014 . - 12 p.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CIGARETTE ELECTRONIQUE
TABAGISMERésumé : Un nouveau mode de consommation de substance à inhaler pouvant contenir de la nicotine se développe en France avec l’utilisation de la cigarette électronique ou e-cigarette.
L’utilisation de ce produit industriel, récent et non pharmaceutique, se veut une « alternative » au tabac et à l’acte de fumer. La réduction possible du risque liée à la fumée de tabac est un sujet de grande importance compte tenu de la mortalité et de la morbidité liée au tabac. L’e-cigarette est présentée comme un moyen d’aide au sevrage tabagique et de nombreux utilisateurs y voient un espoir de sortir du tabagisme. Le Haut Conseil de la santé publique (HCSP), en réponse à la saisine de la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDECA), a réalisé une analyse de la littérature du rapport bénéfices-risques de la consommation d’e-cigarette et de ses conséquences possibles sur la population générale.
L’analyse bénéfices-risques dépend du type de situation.
Les risques du développement de l’e-cigarette sont :
- la re-normalisation du tabac ;
- et pour les non-fumeurs, l’entrée dans la dépendance à la nicotine avec son corollaire, l’entrée dans le tabagisme. Ce risque semble particulièrement élevé chez les jeunes.
- Pour les fumeurs ayant envie d’arrêter, la consommation d’e-cigarette est un outil de réduction des risques lorsqu’il amène au sevrage.
- Pour les vapofumeurs (consommation de tabac et d’e-cigarette) de nombreuses interrogations demeurent et nous avons encore besoin d’études pour élaborer des recommandations étayées scientifiquement.
- La principale mise en garde du HCSP concerne le risque d’entrée en addiction nicotinique des adolescents et leur détournement vers le tabagisme.
Le HCSP recommande :
- L’observation périodique des niveaux et modes de consommation de l’e-cigarette.
- L’information publique des consommateurs sur les risques ou sur la méconnaissance des risques.
- La communication sur l’interdiction de vente aux mineurs des e-cigarettes et sur le risque du vapotage pour la femme enceinte.
- Un contrôle périodique de la présence de nicotine et de sa concentration dans les e-liquides.
- La mise en place de mesures pour contrer la « renormalisation » de la consommation de nicotine inhalée ou fumée.En ligne : http://www.automesure.com/library/pdf/hcsp-ecigarette2014.pdf Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(0)
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Titre : Bénéfices-risques de la cigarette électronique pour la population générale Type de document : Document électronique Editeur : Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) Année de publication : 2016 Importance : 26 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : CIGARETTE ELECTRONIQUE
TABAC
TABAGISMERésumé : Le HCSP actualise son avis du 25 avril 2014 relatif aux bénéfices-risques de la cigarette électronique étendus en population générale.
Des travaux du HCSP, il ressort que la cigarette électronique :
- peut être considérée comme une aide pour arrêter ou réduire la consommation de tabac des fumeurs ;
- pourrait constituer une porte d’entrée dans le tabagisme ;
- induit un risque de renormalisation de la consommation de tabac compte tenu de l’image positive véhiculée par son marketing et sa visibilité dans les espaces publics.
Le HCSP recommande :
- d’informer, sans en faire publicité, les professionnels de santé et les fumeurs que la cigarette électronique est une aide à l’arrêt du tabac; et un mode de réduction des risques du tabac en usage exclusif.
- de maintenir les modalités d’interdictions de vente et de publicité prévues par la loi et d’étendre l’interdiction d’utilisation à tous les lieux affectés à un usage collectif.
Le HCSP invite :
- au renforcement du dispositif observationnel du tabagisme, à la réalisation d’études épidémiologiques et cliniques robustes sur la cigarette électronique, ainsi qu’au lancement de recherches en sciences humaines et sociales sur cette question ;
- à clarifier le statut de la cigarette électronique et des flacons de recharge ;
- à poursuivre les efforts de labellisations et de marquages pour informer les consommateurs et assurer leur sécurité ;
à engager une réflexion sur la création d’une cigarette électronique « médicalisée ».En ligne : http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=541 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Bénéfices-risques de la cigarette électronique pour la population générale [Document électronique] . - Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP), 2016 . - 26 p.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CIGARETTE ELECTRONIQUE
TABAC
TABAGISMERésumé : Le HCSP actualise son avis du 25 avril 2014 relatif aux bénéfices-risques de la cigarette électronique étendus en population générale.
Des travaux du HCSP, il ressort que la cigarette électronique :
- peut être considérée comme une aide pour arrêter ou réduire la consommation de tabac des fumeurs ;
- pourrait constituer une porte d’entrée dans le tabagisme ;
- induit un risque de renormalisation de la consommation de tabac compte tenu de l’image positive véhiculée par son marketing et sa visibilité dans les espaces publics.
Le HCSP recommande :
- d’informer, sans en faire publicité, les professionnels de santé et les fumeurs que la cigarette électronique est une aide à l’arrêt du tabac; et un mode de réduction des risques du tabac en usage exclusif.
- de maintenir les modalités d’interdictions de vente et de publicité prévues par la loi et d’étendre l’interdiction d’utilisation à tous les lieux affectés à un usage collectif.
Le HCSP invite :
- au renforcement du dispositif observationnel du tabagisme, à la réalisation d’études épidémiologiques et cliniques robustes sur la cigarette électronique, ainsi qu’au lancement de recherches en sciences humaines et sociales sur cette question ;
- à clarifier le statut de la cigarette électronique et des flacons de recharge ;
- à poursuivre les efforts de labellisations et de marquages pour informer les consommateurs et assurer leur sécurité ;
à engager une réflexion sur la création d’une cigarette électronique « médicalisée ».En ligne : http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=541 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(0)
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cigarette_électronique_2016.pdfAdobe Acrobat PDFL'EDUCATION THERAPEUTIQUE INTEGREE AUX SOINS DE PREMIER RECOURS / Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP)
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Titre : L'EDUCATION THERAPEUTIQUE INTEGREE AUX SOINS DE PREMIER RECOURS Type de document : Document électronique Auteurs : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP), Auteur Editeur : Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) Année de publication : 11/2009 Importance : 38 p. Mots-clés : COORDINATION
EDUCATION DU PATIENT
EQUIPE DE SOIN
FINANCEMENT
GESTION DU TEMPS
ORGANISATION DES SOINS
PHARMACIEN
PRATIQUE
PROFESSION DE SANTE
RECOMMANDATION
REFERENTIEL
RELATION SOIGNANT SOIGNE
RESEAU DE SOIN
SOINRésumé : L’éducation thérapeutique aide les personnes atteintes de maladie chronique et leur entourage à comprendre la maladie et le traitement, à coopérer avec les soignants et à maintenir ou améliorer leur qualité de vie. Pour bon nombre de pathologies, il est démontré que l’éducation thérapeutique des patients améliore l’efficacité des soins et permet de réduire la fréquence et la gravité des complications. A côté des programmes – qui évoquent un processus limité dans le temps, dont le contenu et le déroulement sont précisés à l’avance – il existe une éducation thérapeutique intégrée à la pratique des professionnels de premier recours, en particulier à celle du médecin traitant. Ce rapport s’attache à la décrire et à identifier les mesures qui permettront son développement et son articulation avec les programmes mis en oeuvre par diverses structures. En ligne : http://www.hcsp.fr/docspdf/avisrapports/hcspr20091112_edthsoprre.pdf Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id L'EDUCATION THERAPEUTIQUE INTEGREE AUX SOINS DE PREMIER RECOURS [Document électronique] / Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP), Auteur . - Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP), 11/2009 . - 38 p.
Mots-clés : COORDINATION
EDUCATION DU PATIENT
EQUIPE DE SOIN
FINANCEMENT
GESTION DU TEMPS
ORGANISATION DES SOINS
PHARMACIEN
PRATIQUE
PROFESSION DE SANTE
RECOMMANDATION
REFERENTIEL
RELATION SOIGNANT SOIGNE
RESEAU DE SOIN
SOINRésumé : L’éducation thérapeutique aide les personnes atteintes de maladie chronique et leur entourage à comprendre la maladie et le traitement, à coopérer avec les soignants et à maintenir ou améliorer leur qualité de vie. Pour bon nombre de pathologies, il est démontré que l’éducation thérapeutique des patients améliore l’efficacité des soins et permet de réduire la fréquence et la gravité des complications. A côté des programmes – qui évoquent un processus limité dans le temps, dont le contenu et le déroulement sont précisés à l’avance – il existe une éducation thérapeutique intégrée à la pratique des professionnels de premier recours, en particulier à celle du médecin traitant. Ce rapport s’attache à la décrire et à identifier les mesures qui permettront son développement et son articulation avec les programmes mis en oeuvre par diverses structures. En ligne : http://www.hcsp.fr/docspdf/avisrapports/hcspr20091112_edthsoprre.pdf Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(0)
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Titre : Effets de l’exposition des enfants et des jeunes aux écrans Type de document : Document électronique Editeur : Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) Année de publication : 2020 Importance : 84 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : ADOLESCENT
DEVELOPPEMENT DE L'ENFANT
ECRAN
ENFANT
JEU VIDEO
OBESITE
RECOMMANDATION
RESEAU SOCIAL
RISQUE
SANTE
SANTE MENTALERésumé : Les écrans font aujourd’hui partie du quotidien.
La littérature apporte des éléments contradictoires sur l’effet des écrans sur le développement cognitif de l’enfant, ses apprentissages, et sur les troubles de la santé mentale. Les effets sur le sommeil sont établis et sont plus importants si le temps d’utilisation augmente. Les comportements associés aux écrans sont responsables de l’augmentation du surpoids : prises alimentaires augmentées, temps de sommeil réduit et de qualité altérée. Les chercheurs font état d’un risque significatif lorsque les enfants et les adolescents ont accès à des contenus sexuels, pornographiques ou violents. Les écrans peuvent avoir des effets positifs dans certaines situations. Il existe des différences de comportements vis-à-vis des écrans en fonction des catégories sociales.
Le HCSP recommande :
- Avant l’âge de 3 ans, les écrans sont à proscrire si les conditions d’une interaction parentale ne sont pas réunies. Interdire les écrans 3D pour les enfants âgés de moins 5 ans.
- Ne pas disposer d’écran dans la chambre des enfants et ne pas les laisser regarder la télévision une heure avant l’endormissement.
- Accompagner la consommation d’écran en fonction des écrans, des catégories d’âge et des contenus.
- Trouver un équilibre entre autorisation et interdiction, et limiter le temps d’utilisation pour consacrer du temps aux autres activités.
- Être capable de repérer les signes d’alerte d’une utilisation excessive des écrans et demander aide et conseil.
Le soutien à la « parentalité » et la formation des adultes doit intégrer la problématique des écrans.
Les nombreuses incertitudes scientifiques soulignent le besoin de développer la recherche.En ligne : https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=759 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Effets de l’exposition des enfants et des jeunes aux écrans [Document électronique] . - Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP), 2020 . - 84 p.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ADOLESCENT
DEVELOPPEMENT DE L'ENFANT
ECRAN
ENFANT
JEU VIDEO
OBESITE
RECOMMANDATION
RESEAU SOCIAL
RISQUE
SANTE
SANTE MENTALERésumé : Les écrans font aujourd’hui partie du quotidien.
La littérature apporte des éléments contradictoires sur l’effet des écrans sur le développement cognitif de l’enfant, ses apprentissages, et sur les troubles de la santé mentale. Les effets sur le sommeil sont établis et sont plus importants si le temps d’utilisation augmente. Les comportements associés aux écrans sont responsables de l’augmentation du surpoids : prises alimentaires augmentées, temps de sommeil réduit et de qualité altérée. Les chercheurs font état d’un risque significatif lorsque les enfants et les adolescents ont accès à des contenus sexuels, pornographiques ou violents. Les écrans peuvent avoir des effets positifs dans certaines situations. Il existe des différences de comportements vis-à-vis des écrans en fonction des catégories sociales.
Le HCSP recommande :
- Avant l’âge de 3 ans, les écrans sont à proscrire si les conditions d’une interaction parentale ne sont pas réunies. Interdire les écrans 3D pour les enfants âgés de moins 5 ans.
- Ne pas disposer d’écran dans la chambre des enfants et ne pas les laisser regarder la télévision une heure avant l’endormissement.
- Accompagner la consommation d’écran en fonction des écrans, des catégories d’âge et des contenus.
- Trouver un équilibre entre autorisation et interdiction, et limiter le temps d’utilisation pour consacrer du temps aux autres activités.
- Être capable de repérer les signes d’alerte d’une utilisation excessive des écrans et demander aide et conseil.
Le soutien à la « parentalité » et la formation des adultes doit intégrer la problématique des écrans.
Les nombreuses incertitudes scientifiques soulignent le besoin de développer la recherche.En ligne : https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=759 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(0)
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HcSP_2020_avis.pdfAdobe Acrobat PDF
Titre : Evaluation du plan psychiatrie et santé mentale 2011-2015 Type de document : Document électronique Editeur : Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) Année de publication : 2016 Importance : 228 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCOMPAGNEMENT
AGENCE REGIONALE DE SANTE
AIDANT
CONTINUITE DES SOINS
DISCRIMINATION
EVALUATION
GOUVERNANCE
OFFRE DE SOINS
PLAN
PSYCHIATRIE
SANTE MENTALE
SOINRésumé : Le Plan psychiatrie et santé mentale 2011-2015 a été évalué par le HCSP.
Ce plan a été construit autour d’objectifs stratégiques avec un rôle central des agences régionales de santé pour sa mise en œuvre. Il est décliné autour de quatre axes pour prévenir et réduire les ruptures :
- au cours de la vie ;
- selon les publics et les territoires ;
- entre la psychiatrie et son environnement sociétal ;
- entre les savoirs.
Le HCSP dresse les constats suivants : ce plan est consensuel et pertinent. On constate des progrès dans la reconnaissance du rôle des personnes vivant avec des troubles psychiques et de leur entourage. Les études et les recommandations sur le handicap psychique se sont développées. On a assisté à un rôle accru des secteurs médico-social et social, et à un début de rééquilibrage de l’offre de soins. La santé somatique est mieux prise en compte et une attention a été apportée à la prise en charge en urgence et à l’accès aux soins des populations défavorisées.
Il persiste cependant des difficultés : notamment une hétérogénéité des pratiques de soins et des moyens. Le HCSP regrette l’absence de remboursement des soins de psychothérapie.
Le HCSP recommande d’inscrire la politique de santé mentale et de psychiatrie de façon pérenne et pilotée à long terme, avec une dimension interministérielle, plutôt que de mettre en place des plans successifs.
Une enquête qualitative dans 5 régions a permis d’enrichir cette évaluation. Le rapport comporte 64 recommandations déclinées autour de cinq thèmes principaux : organisation des actions, prévention, développement des formations et soutien de la recherche, amélioration de l’accès aux soins, et amélioration des conditions de vie des personnes vivant avec un trouble psychique.En ligne : http://www.hcsp.fr/Explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=555 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Evaluation du plan psychiatrie et santé mentale 2011-2015 [Document électronique] . - Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP), 2016 . - 228 p.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ACCOMPAGNEMENT
AGENCE REGIONALE DE SANTE
AIDANT
CONTINUITE DES SOINS
DISCRIMINATION
EVALUATION
GOUVERNANCE
OFFRE DE SOINS
PLAN
PSYCHIATRIE
SANTE MENTALE
SOINRésumé : Le Plan psychiatrie et santé mentale 2011-2015 a été évalué par le HCSP.
Ce plan a été construit autour d’objectifs stratégiques avec un rôle central des agences régionales de santé pour sa mise en œuvre. Il est décliné autour de quatre axes pour prévenir et réduire les ruptures :
- au cours de la vie ;
- selon les publics et les territoires ;
- entre la psychiatrie et son environnement sociétal ;
- entre les savoirs.
Le HCSP dresse les constats suivants : ce plan est consensuel et pertinent. On constate des progrès dans la reconnaissance du rôle des personnes vivant avec des troubles psychiques et de leur entourage. Les études et les recommandations sur le handicap psychique se sont développées. On a assisté à un rôle accru des secteurs médico-social et social, et à un début de rééquilibrage de l’offre de soins. La santé somatique est mieux prise en compte et une attention a été apportée à la prise en charge en urgence et à l’accès aux soins des populations défavorisées.
Il persiste cependant des difficultés : notamment une hétérogénéité des pratiques de soins et des moyens. Le HCSP regrette l’absence de remboursement des soins de psychothérapie.
Le HCSP recommande d’inscrire la politique de santé mentale et de psychiatrie de façon pérenne et pilotée à long terme, avec une dimension interministérielle, plutôt que de mettre en place des plans successifs.
Une enquête qualitative dans 5 régions a permis d’enrichir cette évaluation. Le rapport comporte 64 recommandations déclinées autour de cinq thèmes principaux : organisation des actions, prévention, développement des formations et soutien de la recherche, amélioration de l’accès aux soins, et amélioration des conditions de vie des personnes vivant avec un trouble psychique.En ligne : http://www.hcsp.fr/Explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=555 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(0)
Disponibilité aucun exemplaire PermalinkPermalinkRévision des repères alimentaires pour les adultes du futur Programme national nutrition santé 2017-2021
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