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Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP)
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Titre : Bénéfices-risques de la cigarette électronique pour la population générale Type de document : Document électronique Editeur : Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) Année de publication : 2016 Importance : 26 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : CIGARETTE ELECTRONIQUE
TABAC
TABAGISMERésumé : Le HCSP actualise son avis du 25 avril 2014 relatif aux bénéfices-risques de la cigarette électronique étendus en population générale.
Des travaux du HCSP, il ressort que la cigarette électronique :
- peut être considérée comme une aide pour arrêter ou réduire la consommation de tabac des fumeurs ;
- pourrait constituer une porte d’entrée dans le tabagisme ;
- induit un risque de renormalisation de la consommation de tabac compte tenu de l’image positive véhiculée par son marketing et sa visibilité dans les espaces publics.
Le HCSP recommande :
- d’informer, sans en faire publicité, les professionnels de santé et les fumeurs que la cigarette électronique est une aide à l’arrêt du tabac; et un mode de réduction des risques du tabac en usage exclusif.
- de maintenir les modalités d’interdictions de vente et de publicité prévues par la loi et d’étendre l’interdiction d’utilisation à tous les lieux affectés à un usage collectif.
Le HCSP invite :
- au renforcement du dispositif observationnel du tabagisme, à la réalisation d’études épidémiologiques et cliniques robustes sur la cigarette électronique, ainsi qu’au lancement de recherches en sciences humaines et sociales sur cette question ;
- à clarifier le statut de la cigarette électronique et des flacons de recharge ;
- à poursuivre les efforts de labellisations et de marquages pour informer les consommateurs et assurer leur sécurité ;
à engager une réflexion sur la création d’une cigarette électronique « médicalisée ».Cote : En ligne : http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=541 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Bénéfices-risques de la cigarette électronique pour la population générale [Document électronique] . - Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP), 2016 . - 26 p.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CIGARETTE ELECTRONIQUE
TABAC
TABAGISMERésumé : Le HCSP actualise son avis du 25 avril 2014 relatif aux bénéfices-risques de la cigarette électronique étendus en population générale.
Des travaux du HCSP, il ressort que la cigarette électronique :
- peut être considérée comme une aide pour arrêter ou réduire la consommation de tabac des fumeurs ;
- pourrait constituer une porte d’entrée dans le tabagisme ;
- induit un risque de renormalisation de la consommation de tabac compte tenu de l’image positive véhiculée par son marketing et sa visibilité dans les espaces publics.
Le HCSP recommande :
- d’informer, sans en faire publicité, les professionnels de santé et les fumeurs que la cigarette électronique est une aide à l’arrêt du tabac; et un mode de réduction des risques du tabac en usage exclusif.
- de maintenir les modalités d’interdictions de vente et de publicité prévues par la loi et d’étendre l’interdiction d’utilisation à tous les lieux affectés à un usage collectif.
Le HCSP invite :
- au renforcement du dispositif observationnel du tabagisme, à la réalisation d’études épidémiologiques et cliniques robustes sur la cigarette électronique, ainsi qu’au lancement de recherches en sciences humaines et sociales sur cette question ;
- à clarifier le statut de la cigarette électronique et des flacons de recharge ;
- à poursuivre les efforts de labellisations et de marquages pour informer les consommateurs et assurer leur sécurité ;
à engager une réflexion sur la création d’une cigarette électronique « médicalisée ».Cote : En ligne : http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=541 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(0)
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Titre : Effets de l’exposition des enfants et des jeunes aux écrans Type de document : Document électronique Editeur : Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) Année de publication : 2020 Importance : 84 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : ADOLESCENT
DEVELOPPEMENT DE L'ENFANT
ECRAN
ENFANT
JEU VIDEO
OBESITE
RECOMMANDATION
RESEAU SOCIAL
RISQUE
SANTE
SANTE MENTALERésumé : Les écrans font aujourd’hui partie du quotidien.
La littérature apporte des éléments contradictoires sur l’effet des écrans sur le développement cognitif de l’enfant, ses apprentissages, et sur les troubles de la santé mentale. Les effets sur le sommeil sont établis et sont plus importants si le temps d’utilisation augmente. Les comportements associés aux écrans sont responsables de l’augmentation du surpoids : prises alimentaires augmentées, temps de sommeil réduit et de qualité altérée. Les chercheurs font état d’un risque significatif lorsque les enfants et les adolescents ont accès à des contenus sexuels, pornographiques ou violents. Les écrans peuvent avoir des effets positifs dans certaines situations. Il existe des différences de comportements vis-à-vis des écrans en fonction des catégories sociales.
Le HCSP recommande :
- Avant l’âge de 3 ans, les écrans sont à proscrire si les conditions d’une interaction parentale ne sont pas réunies. Interdire les écrans 3D pour les enfants âgés de moins 5 ans.
- Ne pas disposer d’écran dans la chambre des enfants et ne pas les laisser regarder la télévision une heure avant l’endormissement.
- Accompagner la consommation d’écran en fonction des écrans, des catégories d’âge et des contenus.
- Trouver un équilibre entre autorisation et interdiction, et limiter le temps d’utilisation pour consacrer du temps aux autres activités.
- Être capable de repérer les signes d’alerte d’une utilisation excessive des écrans et demander aide et conseil.
Le soutien à la « parentalité » et la formation des adultes doit intégrer la problématique des écrans.
Les nombreuses incertitudes scientifiques soulignent le besoin de développer la recherche.Cote : En ligne : https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=759 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Effets de l’exposition des enfants et des jeunes aux écrans [Document électronique] . - Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP), 2020 . - 84 p.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ADOLESCENT
DEVELOPPEMENT DE L'ENFANT
ECRAN
ENFANT
JEU VIDEO
OBESITE
RECOMMANDATION
RESEAU SOCIAL
RISQUE
SANTE
SANTE MENTALERésumé : Les écrans font aujourd’hui partie du quotidien.
La littérature apporte des éléments contradictoires sur l’effet des écrans sur le développement cognitif de l’enfant, ses apprentissages, et sur les troubles de la santé mentale. Les effets sur le sommeil sont établis et sont plus importants si le temps d’utilisation augmente. Les comportements associés aux écrans sont responsables de l’augmentation du surpoids : prises alimentaires augmentées, temps de sommeil réduit et de qualité altérée. Les chercheurs font état d’un risque significatif lorsque les enfants et les adolescents ont accès à des contenus sexuels, pornographiques ou violents. Les écrans peuvent avoir des effets positifs dans certaines situations. Il existe des différences de comportements vis-à-vis des écrans en fonction des catégories sociales.
Le HCSP recommande :
- Avant l’âge de 3 ans, les écrans sont à proscrire si les conditions d’une interaction parentale ne sont pas réunies. Interdire les écrans 3D pour les enfants âgés de moins 5 ans.
- Ne pas disposer d’écran dans la chambre des enfants et ne pas les laisser regarder la télévision une heure avant l’endormissement.
- Accompagner la consommation d’écran en fonction des écrans, des catégories d’âge et des contenus.
- Trouver un équilibre entre autorisation et interdiction, et limiter le temps d’utilisation pour consacrer du temps aux autres activités.
- Être capable de repérer les signes d’alerte d’une utilisation excessive des écrans et demander aide et conseil.
Le soutien à la « parentalité » et la formation des adultes doit intégrer la problématique des écrans.
Les nombreuses incertitudes scientifiques soulignent le besoin de développer la recherche.Cote : En ligne : https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=759 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(0)
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Titre : Recommandations vaccinales pour les enfants nés prématurés Type de document : Document électronique Editeur : Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) Année de publication : 2015 Importance : 8 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : NOUVEAU-NE
PREMATURITE
RECOMMANDATION
VACCIN
VACCINATIONRésumé : Le HCSP a recommandé en 2013 une simplification du calendrier vaccinal. Pour les nourrissons, un schéma allégé et raccourci a été proposé pour la vaccination contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, et l’Haemophilus influenzae b.
Afin de déterminer si des recommandations spécifiques concernant cette vaccination étaient nécessaires pour les nouveau-nés prématurés, le HCSP a pris notamment en considération des données sur le développement immunitaire, l’immunogénicité post-vaccinale et l’épidémiologie de la coqueluche et des infections à Haemophilus influenzae b chez les nourrissons nés prématurés.
Il rappelle que la prématurité expose à un risque infectieux majoré en termes d’incidence et de gravité, pour certaines maladies infectieuses du jeune nourrisson, et tout particulièrement pour la coqueluche.
Le HCSP recommande de vacciner sans retard les nourrissons nés prématurés selon le calendrier vaccinal en vigueur, c’est-à-dire à l’âge de 8 semaines de vie. Il insiste sur l’importance de mettre en place une protection indirecte contre la coqueluche par la stratégie du cocooning, seul moyen de prévention précoce pour ces nourrissons nés prématurés.
Le HCSP estime qu’il n’existe pas à ce jour de données épidémiologiques justifiant de recommander un schéma vaccinal renforcé pour l’immunisation des nourrissons nés prématurés contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche et les infections à Haemophilus influenzae b.
De plus, le HCSP rappelle que le schéma vaccinal vis-à-vis des infections invasives à pneumocoque n’est pas modifié et que pour les nouveau-nés prématurés de mère porteuse de l’antigène HBs, la recommandation d’un schéma renforcé de vaccination dès la naissance contre l’hépatite B est maintenue.Cote : En ligne : https://www.mesvaccins.net/textes/hcspa20150522_recovaccprematures.pdf Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Recommandations vaccinales pour les enfants nés prématurés [Document électronique] . - Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP), 2015 . - 8 p.
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Mots-clés : NOUVEAU-NE
PREMATURITE
RECOMMANDATION
VACCIN
VACCINATIONRésumé : Le HCSP a recommandé en 2013 une simplification du calendrier vaccinal. Pour les nourrissons, un schéma allégé et raccourci a été proposé pour la vaccination contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, et l’Haemophilus influenzae b.
Afin de déterminer si des recommandations spécifiques concernant cette vaccination étaient nécessaires pour les nouveau-nés prématurés, le HCSP a pris notamment en considération des données sur le développement immunitaire, l’immunogénicité post-vaccinale et l’épidémiologie de la coqueluche et des infections à Haemophilus influenzae b chez les nourrissons nés prématurés.
Il rappelle que la prématurité expose à un risque infectieux majoré en termes d’incidence et de gravité, pour certaines maladies infectieuses du jeune nourrisson, et tout particulièrement pour la coqueluche.
Le HCSP recommande de vacciner sans retard les nourrissons nés prématurés selon le calendrier vaccinal en vigueur, c’est-à-dire à l’âge de 8 semaines de vie. Il insiste sur l’importance de mettre en place une protection indirecte contre la coqueluche par la stratégie du cocooning, seul moyen de prévention précoce pour ces nourrissons nés prématurés.
Le HCSP estime qu’il n’existe pas à ce jour de données épidémiologiques justifiant de recommander un schéma vaccinal renforcé pour l’immunisation des nourrissons nés prématurés contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche et les infections à Haemophilus influenzae b.
De plus, le HCSP rappelle que le schéma vaccinal vis-à-vis des infections invasives à pneumocoque n’est pas modifié et que pour les nouveau-nés prématurés de mère porteuse de l’antigène HBs, la recommandation d’un schéma renforcé de vaccination dès la naissance contre l’hépatite B est maintenue.Cote : En ligne : https://www.mesvaccins.net/textes/hcspa20150522_recovaccprematures.pdf Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(0)
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recovaccprematures.pdfAdobe Acrobat PDF Révision des repères alimentaires pour les adultes du futur Programme national nutrition santé 2017-2021
Titre : Révision des repères alimentaires pour les adultes du futur Programme national nutrition santé 2017-2021 Type de document : Document électronique Editeur : Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) Année de publication : 2017 Importance : 7 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : ALIMENTATION
NUTRITION
PROGRAMME NATIONAL NUTRITION SANTE
RECOMMANDATION
SANTE PUBLIQUERésumé : Le HCSP actualise les repères alimentaires du Programme national nutrition santé pour les adultes. Le périmètre de certains des groupes d’aliments faisant l’objet de recommandations actuelles est redéfini et de nouveaux repères sont ajoutés (au total, 12 au lieu des 8 actuels).
Les repères sont définis sur la base d’une analyse de santé publique des relations épidémiologiques entre la consommation des différents aliments et le risque de maladies chroniques et la prise en compte du risque d’exposition à des contaminants environnementaux. Chaque repère propose une fréquence de consommation (ou, à défaut, une évolution souhaitable des consommations) et est complété par des informations sur la taille des portions, les aliments composant le groupe ou à privilégier dans ce groupe, des limites de consommation ou sur la prise en compte des contaminants. Par exemple, des repères spécifiques sont définis pour les légumineuses, les fruits à coque sans sel ajouté et les produits céréaliers complets et peu raffinés. Des limites de consommation sont précisées pout la viande rouge et la charcuterie. Est mis en avant l’intérêt de privilégier des aliments cultivés selon des modes de production diminuant l’exposition aux pesticides pour les fruits et légumes, les légumineuses, les produits céréaliers complets, et de varier les espèces et les lieux d’approvisionnement pour les poissons.
Outre les repères spécifiques définis, le HCSP insiste sur des conseils généraux tels que privilégier l’utilisation de produits bruts, éviter les portions excessives et le grignotage, ne suivre un régime amaigrissant qu’avec l’avis d’un professionnel de santé. Une vigilance particulière a été assurée pour garantir une convergence entre les dimensions nutritionnelles et environnementales de l’alimentation lors de l’établissement de ces repères de consommation.Cote : En ligne : http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=600&wb48617274=B423D0F7 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Révision des repères alimentaires pour les adultes du futur Programme national nutrition santé 2017-2021 [Document électronique] . - Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP), 2017 . - 7 p.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ALIMENTATION
NUTRITION
PROGRAMME NATIONAL NUTRITION SANTE
RECOMMANDATION
SANTE PUBLIQUERésumé : Le HCSP actualise les repères alimentaires du Programme national nutrition santé pour les adultes. Le périmètre de certains des groupes d’aliments faisant l’objet de recommandations actuelles est redéfini et de nouveaux repères sont ajoutés (au total, 12 au lieu des 8 actuels).
Les repères sont définis sur la base d’une analyse de santé publique des relations épidémiologiques entre la consommation des différents aliments et le risque de maladies chroniques et la prise en compte du risque d’exposition à des contaminants environnementaux. Chaque repère propose une fréquence de consommation (ou, à défaut, une évolution souhaitable des consommations) et est complété par des informations sur la taille des portions, les aliments composant le groupe ou à privilégier dans ce groupe, des limites de consommation ou sur la prise en compte des contaminants. Par exemple, des repères spécifiques sont définis pour les légumineuses, les fruits à coque sans sel ajouté et les produits céréaliers complets et peu raffinés. Des limites de consommation sont précisées pout la viande rouge et la charcuterie. Est mis en avant l’intérêt de privilégier des aliments cultivés selon des modes de production diminuant l’exposition aux pesticides pour les fruits et légumes, les légumineuses, les produits céréaliers complets, et de varier les espèces et les lieux d’approvisionnement pour les poissons.
Outre les repères spécifiques définis, le HCSP insiste sur des conseils généraux tels que privilégier l’utilisation de produits bruts, éviter les portions excessives et le grignotage, ne suivre un régime amaigrissant qu’avec l’avis d’un professionnel de santé. Une vigilance particulière a été assurée pour garantir une convergence entre les dimensions nutritionnelles et environnementales de l’alimentation lors de l’établissement de ces repères de consommation.Cote : En ligne : http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=600&wb48617274=B423D0F7 Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(0)
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hcspa20170216.pdfAdobe Acrobat PDF
Titre : La santé en France et en Europe : convergences et contrastes Type de document : Document électronique Editeur : Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) Année de publication : 2012 Importance : 266 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
AIDE-SOIGNANT
ALCOOL
CANCER COLORECTAL
CANCER DU COL DE L'UTERUS
CANCER DU SEIN
DECES
DEPISTAGE
DROGUE
ESPERANCE DE VIE
ETAT DE SANTE
EUROPE
FRANCE
INDICATEUR
INFIRMIER
MEDECIN
MORTALITE
MORTALITE INFANTILE
POLITIQUE DE SANTE
POPULATION
PROMOTION DE LA SANTE
SANTE
SOIGNANT
SUICIDE
SYSTEME DE SANTE
TABAC
TABAGISME
VACCINATIONRésumé : La France affiche l’un des meilleurs taux d’espérance de vie dans l’Union européenne, mais, la mortalité par suicide est très élevée. On observa aussi que le poids de dépenses de santé dans le PIB est le plus élevé de l’Union européenne, mais le niveau de dépenses par habitant n’arrive qu’en sixième position.
Voici quelques-uns des enseignements de ce rapport comparatif France-Union européenne sur l’état de santé. Le rapport met ainsi en exergue les atouts et les handicaps de la situation française en indiquant des pistes possibles d'amélioration.
Réalisé pour la première fois par le Haut Conseil de la santé publique, ce rapport prend appui sur l’ensemble des indicateurs de santé ECHI (European Community Health Indicators), défini par la Commission européenne en vue d’établir une cohérence dans les données statistiques à l’échelle communautaire.Cote : En ligne : https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&ved=0ahUKEwjGgPDb [...] Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id La santé en France et en Europe : convergences et contrastes [Document électronique] . - Paris : Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP), 2012 . - 266 p.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
AIDE-SOIGNANT
ALCOOL
CANCER COLORECTAL
CANCER DU COL DE L'UTERUS
CANCER DU SEIN
DECES
DEPISTAGE
DROGUE
ESPERANCE DE VIE
ETAT DE SANTE
EUROPE
FRANCE
INDICATEUR
INFIRMIER
MEDECIN
MORTALITE
MORTALITE INFANTILE
POLITIQUE DE SANTE
POPULATION
PROMOTION DE LA SANTE
SANTE
SOIGNANT
SUICIDE
SYSTEME DE SANTE
TABAC
TABAGISME
VACCINATIONRésumé : La France affiche l’un des meilleurs taux d’espérance de vie dans l’Union européenne, mais, la mortalité par suicide est très élevée. On observa aussi que le poids de dépenses de santé dans le PIB est le plus élevé de l’Union européenne, mais le niveau de dépenses par habitant n’arrive qu’en sixième position.
Voici quelques-uns des enseignements de ce rapport comparatif France-Union européenne sur l’état de santé. Le rapport met ainsi en exergue les atouts et les handicaps de la situation française en indiquant des pistes possibles d'amélioration.
Réalisé pour la première fois par le Haut Conseil de la santé publique, ce rapport prend appui sur l’ensemble des indicateurs de santé ECHI (European Community Health Indicators), défini par la Commission européenne en vue d’établir une cohérence dans les données statistiques à l’échelle communautaire.Cote : En ligne : https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&ved=0ahUKEwjGgPDb [...] Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(0)
Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
hcsp_santeFranceEurope.pdfAdobe Acrobat PDF