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Auteur Anne Rousseau |
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Soins primaires et COVID-19 en France : apports d’un réseau de recherche associant praticiens et chercheurs / Sylvain Gauthier in Santé publique, n° 6 ([01/12/2021])
[article]
Titre : Soins primaires et COVID-19 en France : apports d’un réseau de recherche associant praticiens et chercheurs Type de document : Article Auteurs : Sylvain Gauthier, Auteur ; Marine Ray, Auteur ; Anne Rousseau, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 923-934 Langues : Français (fre) Mots-clés : COLLABORATION
COVID-19
FRANCE
MEDECIN
ORGANISATION SANITAIRE
RECHERCHE
RESEAU DE SANTE
SOIN DE SANTE PRIMAIRERésumé : Introduction
L’épidémie de COVID a présenté un défi majeur pour les acteurs et les organisations des soins primaires en France. L’objectif de ce travail réalisé par le réseau de recherche ACCORD, associant praticiens et chercheurs, est de décrire et d’analyser en interprofessionnalité les adaptations et organisations précoces des acteurs des soins primaires durant le premier confinement.
Méthodes
Ce travail confronte du matériel quantitatif et qualitatif. Les données quantitatives résultent d’une exploitation croisée des six enquêtes en ligne réalisées par le réseau ACCORD, entre mars et mai 2020, auprès des médecins généralistes, sages-femmes et structures pluriprofessionnelles en France. Ces données ont été enrichies d’échanges collectifs pluriprofessionnels et pluridisciplinaires, conduits en groupes focaux lors d’un séminaire dématérialisé.
Résultats
Durant la période considérée, une baisse importante de l’activité en soins primaires a été constatée. Les acteurs ont été nombreux à adapter leurs organisations pour concilier risque épidémique et maintien de l’accès et de la continuité des soins. Les sources d’information utilisées par les professionnels se sont avérées très variables. La crise a révélé des réseaux d’échange et de collaboration importants au niveau des territoires.
Conclusion
Face à la crise sanitaire, les acteurs des soins primaires ont adapté leurs organisations et leurs pratiques de façon précoce et diversifiée, soulignant l’importance des organisations préexistantes et des collaborations à l’échelon territorial.Cote : . Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 6 [01/12/2021] . - p. 923-934[article] Soins primaires et COVID-19 en France : apports d’un réseau de recherche associant praticiens et chercheurs [Article] / Sylvain Gauthier, Auteur ; Marine Ray, Auteur ; Anne Rousseau, Auteur ; et al., Auteur . - 2021 . - p. 923-934.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 6 [01/12/2021] . - p. 923-934
Mots-clés : COLLABORATION
COVID-19
FRANCE
MEDECIN
ORGANISATION SANITAIRE
RECHERCHE
RESEAU DE SANTE
SOIN DE SANTE PRIMAIRERésumé : Introduction
L’épidémie de COVID a présenté un défi majeur pour les acteurs et les organisations des soins primaires en France. L’objectif de ce travail réalisé par le réseau de recherche ACCORD, associant praticiens et chercheurs, est de décrire et d’analyser en interprofessionnalité les adaptations et organisations précoces des acteurs des soins primaires durant le premier confinement.
Méthodes
Ce travail confronte du matériel quantitatif et qualitatif. Les données quantitatives résultent d’une exploitation croisée des six enquêtes en ligne réalisées par le réseau ACCORD, entre mars et mai 2020, auprès des médecins généralistes, sages-femmes et structures pluriprofessionnelles en France. Ces données ont été enrichies d’échanges collectifs pluriprofessionnels et pluridisciplinaires, conduits en groupes focaux lors d’un séminaire dématérialisé.
Résultats
Durant la période considérée, une baisse importante de l’activité en soins primaires a été constatée. Les acteurs ont été nombreux à adapter leurs organisations pour concilier risque épidémique et maintien de l’accès et de la continuité des soins. Les sources d’information utilisées par les professionnels se sont avérées très variables. La crise a révélé des réseaux d’échange et de collaboration importants au niveau des territoires.
Conclusion
Face à la crise sanitaire, les acteurs des soins primaires ont adapté leurs organisations et leurs pratiques de façon précoce et diversifiée, soulignant l’importance des organisations préexistantes et des collaborations à l’échelon territorial.Cote : . Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Exclu du prêt « Un vaccin qui reste quand même à part » : Papillomavirus et vaccination en France / Laetitia Mezin in Santé publique, n° 2 ([01/03/2023])
[article]
Titre : « Un vaccin qui reste quand même à part » : Papillomavirus et vaccination en France Type de document : Article Auteurs : Laetitia Mezin, Auteur ; Anne Rousseau, Auteur ; Yann Sellier, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 127-137 Langues : Français (fre) Mots-clés : CANCER DU COL DE L'UTERUS
FRANCE
INFECTION SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE
MEDECIN GENERALISTE
PREVENTION
VACCINATION
VIRUSRésumé : Introduction : La vaccination contre le papillomavirus humain (HPV) est aujourd’hui peu répandue en France où le taux vaccinal est l’un des plus faibles d’Europe. Pourtant, ce virus est rencontré par 80 % de la population et entraine 3 000 nouveaux cas de cancers du col de l’utérus par an. Cette vaccination constitue un réel levier d’action, notamment par le biais des médecins généralistes.
But de l’étude : L’objectif était de comprendre le faible taux vaccinal en France et de proposer des solutions durables pour augmenter l’adhésion à ce vaccin. Avec une approche qualitative, nous avons documenté les perceptions, réticences et obstacles de seize médecins généralistes en Île de France.
Résultats : Le vaccin anti-HPV présente des particularités qui rendent son abord plus délicat auprès de la population. D’abord, parce qu’il touche à l’intimité des patients et ce, dès un très jeune âge. Ensuite, parce qu’il a longtemps été dédié à un public féminin ; l’ouverture de la vaccination aux garçons du même âge entraine donc une modification des discours et une rupture avec son image genrée. Enfin, cette vaccination s’inscrit dans un contexte où l’hésitation vaccinale est marquée en France, avec une circulation rapide d’informations plus ou moins fiables venant souvent mettre en difficulté le corps médical.
Conclusions : Les professionnels de santé détiennent un rôle clé pour convaincre et entrainer l’adhésion des patients, et une majorité des médecins reste favorable à cette vaccination. S’appuyer sur un ensemble de professionnels de santé plus large pourrait permettre d’augmenter l’adhésion vaccinale en France.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 2 [01/03/2023] . - p. 127-137[article] « Un vaccin qui reste quand même à part » : Papillomavirus et vaccination en France [Article] / Laetitia Mezin, Auteur ; Anne Rousseau, Auteur ; Yann Sellier, Auteur ; et al., Auteur . - 2023 . - p. 127-137.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 2 [01/03/2023] . - p. 127-137
Mots-clés : CANCER DU COL DE L'UTERUS
FRANCE
INFECTION SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE
MEDECIN GENERALISTE
PREVENTION
VACCINATION
VIRUSRésumé : Introduction : La vaccination contre le papillomavirus humain (HPV) est aujourd’hui peu répandue en France où le taux vaccinal est l’un des plus faibles d’Europe. Pourtant, ce virus est rencontré par 80 % de la population et entraine 3 000 nouveaux cas de cancers du col de l’utérus par an. Cette vaccination constitue un réel levier d’action, notamment par le biais des médecins généralistes.
But de l’étude : L’objectif était de comprendre le faible taux vaccinal en France et de proposer des solutions durables pour augmenter l’adhésion à ce vaccin. Avec une approche qualitative, nous avons documenté les perceptions, réticences et obstacles de seize médecins généralistes en Île de France.
Résultats : Le vaccin anti-HPV présente des particularités qui rendent son abord plus délicat auprès de la population. D’abord, parce qu’il touche à l’intimité des patients et ce, dès un très jeune âge. Ensuite, parce qu’il a longtemps été dédié à un public féminin ; l’ouverture de la vaccination aux garçons du même âge entraine donc une modification des discours et une rupture avec son image genrée. Enfin, cette vaccination s’inscrit dans un contexte où l’hésitation vaccinale est marquée en France, avec une circulation rapide d’informations plus ou moins fiables venant souvent mettre en difficulté le corps médical.
Conclusions : Les professionnels de santé détiennent un rôle clé pour convaincre et entrainer l’adhésion des patients, et une majorité des médecins reste favorable à cette vaccination. S’appuyer sur un ensemble de professionnels de santé plus large pourrait permettre d’augmenter l’adhésion vaccinale en France.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Exclu du prêt