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Auteur Anne Serisé-Dupuis |
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Répercussions psychiques d’une grave maladie de l’enfant / Anne Serisé-Dupuis in Revue internationale de soins palliatifs, n° 1 ([01/03/2023])
[article]
Titre : Répercussions psychiques d’une grave maladie de l’enfant Type de document : Article Auteurs : Anne Serisé-Dupuis, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 29-33 Langues : Français (fre) Mots-clés : EMOTION-SENTIMENT
ENFANT
EQUIPE DE SOIN
FAMILLE
MALADIE
MERE
OBSERVATION
PARENT
PEDIATRE
PERE
PSYCHOLOGIE
RELATION MERE/ENFANTRésumé : Une maladie grave peut évoluer vers une situation palliative pour laquelle il n’y a pas de guérison et où le pronostic vital est en jeu. Au début du XXe siècle, les premiers psychanalystes qui ont observé et étudié les effets de la maladie sur les jeunes enfants sont René Spitz à New-York[1], John Bowlby[2] à Londres. René Spitz a développé la notion d’hospitalisme et de dépression anaclitique. Ils ont surtout orienté leurs travaux sur les répercussions de la séparation de l’enfant d’avec sa mère. Leurs enquêtes, leurs films ont modifié le regard porté par l’adulte à ces enfants. Il se développe alors l’idée que ce n’est pas la réalité de la maladie qui compte mais comme le dit Anna Freud[3] : « l’état de maladie dans ses répercussions sur le monde intérieur de l’enfant. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Revue internationale de soins palliatifs > n° 1 [01/03/2023] . - p. 29-33[article] Répercussions psychiques d’une grave maladie de l’enfant [Article] / Anne Serisé-Dupuis, Auteur . - 2023 . - p. 29-33.
Langues : Français (fre)
in Revue internationale de soins palliatifs > n° 1 [01/03/2023] . - p. 29-33
Mots-clés : EMOTION-SENTIMENT
ENFANT
EQUIPE DE SOIN
FAMILLE
MALADIE
MERE
OBSERVATION
PARENT
PEDIATRE
PERE
PSYCHOLOGIE
RELATION MERE/ENFANTRésumé : Une maladie grave peut évoluer vers une situation palliative pour laquelle il n’y a pas de guérison et où le pronostic vital est en jeu. Au début du XXe siècle, les premiers psychanalystes qui ont observé et étudié les effets de la maladie sur les jeunes enfants sont René Spitz à New-York[1], John Bowlby[2] à Londres. René Spitz a développé la notion d’hospitalisme et de dépression anaclitique. Ils ont surtout orienté leurs travaux sur les répercussions de la séparation de l’enfant d’avec sa mère. Leurs enquêtes, leurs films ont modifié le regard porté par l’adulte à ces enfants. Il se développe alors l’idée que ce n’est pas la réalité de la maladie qui compte mais comme le dit Anna Freud[3] : « l’état de maladie dans ses répercussions sur le monde intérieur de l’enfant. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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