[article] 
inRevue sage-femme (La) > n° 6 [01/12/2017] . - p. 349-356

Titre :	Apport de l’hypnose eriksonienne dans la baisse du niveau d’anxiété prénatale chez la femme primigeste : étude de cas
Type de document :	Article
Auteurs :	C. Grévin-Laroche, Auteur ; K. Cheneau, Auteur ; E. Josse, Auteur ; et al., Auteur
Année de publication :	2017
Article en page(s) :	p. 349-356
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	ANXIETE ETUDE DE CAS GROSSESSE HYPNOSE
Résumé :	Objectifs L’objectif de cette étude pilote est de mettre en évidence et de mesurer la contribution de séances d’hypnose eriksonienne sur le niveau d’anxiété prénatale d’une femme primigeste, au cours du dernier trimestre de grossesse. À partir d’un protocole adéquatement choisi, l’impact de ces séances est évalué à partir de l’observation et de la mesure de variables physiologiques, mais également par une auto-évaluation du niveau d’anxiété de la future mère. Matériels et méthodes Une femme primigeste dont la grossesse se situe en phase finale ascendante d’anxiété (entre la semaine 31 d’aménorrhée et le terme) a servi de sujet d’étude. Un protocole de cas individuel A-B-A’ a été mis en place sur trois semaines d’étude, permettant d’objectiver l’impact de la phase interventionnelle d’hypnose. L’apport de cette phase a été évalué à partir de l’analyse de mesures de fréquences cardiaques, pressions artérielles, température faciale par thermographie infrarouge, contractions utérines, mais également à partir du dépouillement d’un questionnaire STAI permettant de scorer l’état anxieux de la femme enceinte. Résultats et perspectives L’analyse montre clairement que la phase hypnotique a eu un effet bénéfique statistiquement significatif sur le niveau anxieux rapporté par le sujet durant la semaine de traitement hypnotique. En revanche, l’analyse montre également que le retrait de l’hypnose dans le suivi de la patiente induit des effets négatifs sur son degré d’anxiété. Une suite à ce travail sera de vérifier la tendance dégagée et d’étendre la méthodologie et l’analyse pilote déduite sur une plus large population de femmes enceintes, en effectuant un suivi longitudinal complet du traitement hypnotique sur deux groupes de femmes, un groupe test et un groupe de témoin.
Cote :
Permalink :	https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

[article] Apport de l’hypnose eriksonienne dans la baisse du niveau d’anxiété prénatale chez la femme primigeste : étude de cas [Article] / C. Grévin-Laroche, Auteur ; K. Cheneau, Auteur ; E. Josse, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p. 349-356.
Langues : Français (fre)
in Revue sage-femme (La) > n° 6 [01/12/2017] . - p. 349-356

Mots-clés :	ANXIETE ETUDE DE CAS GROSSESSE HYPNOSE
Résumé :	Objectifs L’objectif de cette étude pilote est de mettre en évidence et de mesurer la contribution de séances d’hypnose eriksonienne sur le niveau d’anxiété prénatale d’une femme primigeste, au cours du dernier trimestre de grossesse. À partir d’un protocole adéquatement choisi, l’impact de ces séances est évalué à partir de l’observation et de la mesure de variables physiologiques, mais également par une auto-évaluation du niveau d’anxiété de la future mère. Matériels et méthodes Une femme primigeste dont la grossesse se situe en phase finale ascendante d’anxiété (entre la semaine 31 d’aménorrhée et le terme) a servi de sujet d’étude. Un protocole de cas individuel A-B-A’ a été mis en place sur trois semaines d’étude, permettant d’objectiver l’impact de la phase interventionnelle d’hypnose. L’apport de cette phase a été évalué à partir de l’analyse de mesures de fréquences cardiaques, pressions artérielles, température faciale par thermographie infrarouge, contractions utérines, mais également à partir du dépouillement d’un questionnaire STAI permettant de scorer l’état anxieux de la femme enceinte. Résultats et perspectives L’analyse montre clairement que la phase hypnotique a eu un effet bénéfique statistiquement significatif sur le niveau anxieux rapporté par le sujet durant la semaine de traitement hypnotique. En revanche, l’analyse montre également que le retrait de l’hypnose dans le suivi de la patiente induit des effets négatifs sur son degré d’anxiété. Une suite à ce travail sera de vérifier la tendance dégagée et d’étendre la méthodologie et l’analyse pilote déduite sur une plus large population de femmes enceintes, en effectuant un suivi longitudinal complet du traitement hypnotique sur deux groupes de femmes, un groupe test et un groupe de témoin.
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