[article] Titre : |
Gestion périopératoire des agents antiplaquettaires chez le patient coronarien |
Type de document : |
Article |
Auteurs : |
Anne Godier, Auteur |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 343-348 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
CHIRURGIE CORONAIRE HEMORRAGIE INFARCTUS DU MYOCARDE SOIN PERIOPERATOIRE
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Résumé : |
La gestion des agents antiplaquettaires (AAP) pour une procédure invasive chez un patient coronarien dépend de la balance des risques thrombotiques et hémorragiques et de la possibilité d’un éventuel report la procédure. Le risque hémorragique de la procédure se classe en risque faible, intermédiaire ou élevé selon que la procédure peut être réalisée sous bithérapie antiplaquettaire, sous aspirine ou qu’elle doit être réalisée sans AAP. Si l’arrêt des AAP est indispensable, ils sont arrêtés avec une dernière prise d’aspirine à j–3 pour l’aspirine (j0=jour de la procédure), à j–5 pour le clopidogrel et le ticagrelor et à j–7 pour le prasugrel. La gestion des AAP dépend aussi du risque thrombotique du patient coronarien, d’autant plus élevé que la procédure s’envisage précocement après une pose de stent ou un infarctus du myocarde. Dans ces situations, la procédure doit être différée, au mieux à la fin de la bithérapie, au minimum après le premier mois ; l’aspirine doit être poursuivie ; et l’approche périopératoire doit être multidisciplinaire. |
Permalink : |
https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id |
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 343-348
[article] Gestion périopératoire des agents antiplaquettaires chez le patient coronarien [Article] / Anne Godier, Auteur . - 2017 . - p. 343-348. Langues : Français ( fre) in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 343-348 Mots-clés : |
CHIRURGIE CORONAIRE HEMORRAGIE INFARCTUS DU MYOCARDE SOIN PERIOPERATOIRE
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Résumé : |
La gestion des agents antiplaquettaires (AAP) pour une procédure invasive chez un patient coronarien dépend de la balance des risques thrombotiques et hémorragiques et de la possibilité d’un éventuel report la procédure. Le risque hémorragique de la procédure se classe en risque faible, intermédiaire ou élevé selon que la procédure peut être réalisée sous bithérapie antiplaquettaire, sous aspirine ou qu’elle doit être réalisée sans AAP. Si l’arrêt des AAP est indispensable, ils sont arrêtés avec une dernière prise d’aspirine à j–3 pour l’aspirine (j0=jour de la procédure), à j–5 pour le clopidogrel et le ticagrelor et à j–7 pour le prasugrel. La gestion des AAP dépend aussi du risque thrombotique du patient coronarien, d’autant plus élevé que la procédure s’envisage précocement après une pose de stent ou un infarctus du myocarde. Dans ces situations, la procédure doit être différée, au mieux à la fin de la bithérapie, au minimum après le premier mois ; l’aspirine doit être poursuivie ; et l’approche périopératoire doit être multidisciplinaire. |
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