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Auteur Andrée-Anne Choquette |
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Voir la personne et non le stéréotype en santé mentale / Andrée-Anne Choquette
Titre : Voir la personne et non le stéréotype en santé mentale Type de document : Article Auteurs : Andrée-Anne Choquette, Auteur ; Laurence Caron, Auteur ; Marie-Claude Jacques, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2024 Importance : p. 51-65 Langues : Français (fre) Mots-clés : CAS CONCRET
DISCRIMINATION
INFIRMIER
PSYCHOPATHOLOGIE
QUALITE DES SOINS
RETABLISSEMENT
SANTE MENTALE
STEREOTYPE
STIGMATISATIONRésumé : La pratique infirmière se fonde sur des valeurs comme le respect de la personne, l’humanité et l’excellence des soins (OIIQ, 2014). Si vous questionnez vos collègues infirmières, il y a fort à parier qu’elles vous confirmeront partager ces valeurs. Pourtant, certaines personnes, telles que celles sans emploi, en surpoids (Pachankis et al., 2018), vivant avec un trouble mental ou un trouble lié à l’usage de substances, ou ayant un dossier psychiatrique (Livingston, 2020) sont moins susceptibles que la population générale de recevoir des soins de santé de qualité. De plus, leur espérance de vie est de 10 à 25 ans plus courte (Livingston, 2020). Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Voir la personne et non le stéréotype en santé mentale [Article] / Andrée-Anne Choquette, Auteur ; Laurence Caron, Auteur ; Marie-Claude Jacques, Auteur ; et al., Auteur . - 2024 . - p. 51-65.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CAS CONCRET
DISCRIMINATION
INFIRMIER
PSYCHOPATHOLOGIE
QUALITE DES SOINS
RETABLISSEMENT
SANTE MENTALE
STEREOTYPE
STIGMATISATIONRésumé : La pratique infirmière se fonde sur des valeurs comme le respect de la personne, l’humanité et l’excellence des soins (OIIQ, 2014). Si vous questionnez vos collègues infirmières, il y a fort à parier qu’elles vous confirmeront partager ces valeurs. Pourtant, certaines personnes, telles que celles sans emploi, en surpoids (Pachankis et al., 2018), vivant avec un trouble mental ou un trouble lié à l’usage de substances, ou ayant un dossier psychiatrique (Livingston, 2020) sont moins susceptibles que la population générale de recevoir des soins de santé de qualité. De plus, leur espérance de vie est de 10 à 25 ans plus courte (Livingston, 2020). Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(0)
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