La communication et le recueil du consentement auprès du patient aphasique atteint de la maladie d’Alzheimer. / Romane Denais 

Public ISBD Titre : La communication et le recueil du consentement auprès du patient aphasique atteint de la maladie d’Alzheimer. Type de document : Mémoire Auteurs : Romane Denais, Auteur Editeur : Rennes : Pôle de Formation des Professionnels de Santé du CHU de Rennes Année de publication : 2024 Importance : 27 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : ALZHEIMER (MALADIE DE) APHASIE COMMUNICATION CONSENTEMENT INFIRMIER SOIN Résumé : À travers ce mémoire de fin d’études, j’ai choisi de travailler sur la maladie d’Alzheimer et son impact sur le prendre soin. J’ai d’abord décrit une situation de départ qui m’a interpellé, où j’ai rencontré des obstacles dans la communication avec un patient atteint de cette maladie. Dans celle-ci, j’ai eu du mal à pour communiquer avec le patient, celui-ci rencontrant des difficultés pour s’exprimer verbalement. J’ai également observé que le recueil du consentement n’était pas systématique de la part du personnel soignant. J’ai ainsi formulé ma question de départ : « « En quoi la communication de l’infirmière avec un patient aphasique souffrant de la maladie d’Alzheimer influence-t-elle le recueil du consentement lors des soins ? » Ensuite, j’ai exploré différents concepts tel que les caractéristiques de la maladie d’Alzheimer, l’aphasie, la communication et le consentement, en me basant sur diverses lectures pour enrichir mon étude. Puis, j’ai interrogé un infirmier et une infirmière travaillant dans un EHPAD disposant d’une unité Alzheimer, ce qui a permis d’enrichir mes recherches et m’a amenée à de nouveaux questionnements, notamment autour du refus de soin. Après avoir analysé ces entretiens, je les ai comparés aux éléments théoriques trouvés. J’ai ainsi constaté que la maladie d’Alzheimer est complexe et évolutive. La communication avec ces patients est primordiale, en particulier la communication non verbale. À travers celle-ci, de nombreux patients aphasiques s’expriment, il est donc essentiel pour les soignants d’essayer de les comprendre. Ce travail de recherche me semble très pertinent dans l’exercice de ma future profession, dans laquelle je serai probablement amenée à prendre soin de patients âgés et/ou ayant des difficultés d’expression. J’ai désormais acquis des outils et des connaissances me permettant d’appréhender ces situations avec moins d’appréhension. Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id La communication et le recueil du consentement auprès du patient aphasique atteint de la maladie d’Alzheimer. [Mémoire] / Romane Denais, Auteur . - Rennes : Pôle de Formation des Professionnels de Santé du CHU de Rennes, 2024 . - 27 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : ALZHEIMER (MALADIE DE) APHASIE COMMUNICATION CONSENTEMENT INFIRMIER SOIN Résumé : À travers ce mémoire de fin d’études, j’ai choisi de travailler sur la maladie d’Alzheimer et son impact sur le prendre soin. J’ai d’abord décrit une situation de départ qui m’a interpellé, où j’ai rencontré des obstacles dans la communication avec un patient atteint de cette maladie. Dans celle-ci, j’ai eu du mal à pour communiquer avec le patient, celui-ci rencontrant des difficultés pour s’exprimer verbalement. J’ai également observé que le recueil du consentement n’était pas systématique de la part du personnel soignant. J’ai ainsi formulé ma question de départ : « « En quoi la communication de l’infirmière avec un patient aphasique souffrant de la maladie d’Alzheimer influence-t-elle le recueil du consentement lors des soins ? » Ensuite, j’ai exploré différents concepts tel que les caractéristiques de la maladie d’Alzheimer, l’aphasie, la communication et le consentement, en me basant sur diverses lectures pour enrichir mon étude. Puis, j’ai interrogé un infirmier et une infirmière travaillant dans un EHPAD disposant d’une unité Alzheimer, ce qui a permis d’enrichir mes recherches et m’a amenée à de nouveaux questionnements, notamment autour du refus de soin. Après avoir analysé ces entretiens, je les ai comparés aux éléments théoriques trouvés. J’ai ainsi constaté que la maladie d’Alzheimer est complexe et évolutive. La communication avec ces patients est primordiale, en particulier la communication non verbale. À travers celle-ci, de nombreux patients aphasiques s’expriment, il est donc essentiel pour les soignants d’essayer de les comprendre. Ce travail de recherche me semble très pertinent dans l’exercice de ma future profession, dans laquelle je serai probablement amenée à prendre soin de patients âgés et/ou ayant des difficultés d’expression. J’ai désormais acquis des outils et des connaissances me permettant d’appréhender ces situations avec moins d’appréhension. Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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