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Santé publique . n° 3Paru le : 01/05/2012 |
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n° 3 [Article] . - 2012 . - p. 186-276. Langues : Français (fre)
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. | Périodique | Espace de Ressources Formation-Recherche | Disponible |
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Ajouter le résultat dans votre panierLe COPSOQ : un nouveau questionnaire français d'évaluation des risques psychosociaux / Emilie Dupret in Santé publique, n° 3 ([01/05/2012])
[article]
Titre : Le COPSOQ : un nouveau questionnaire français d'évaluation des risques psychosociaux Type de document : Article Auteurs : Emilie Dupret, Auteur ; Christine Bocéréean, Auteur ; Christine Teherani, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p.189-207 Langues : Français (fre) Mots-clés : AUTONOMIE
BIEN-ETRE
CONDITION DE TRAVAIL
ENQUETE
EPIDEMIOLOGIE
FACTEUR PSYCHOSOCIAL
GESTION DES RISQUES
HIERARCHIE
MANAGEMENT
ORGANISATION
PROFESSION
QUESTIONNAIRE
TRAVAIL
VECURésumé : L’étude présente la validation française du Copenhagen Psychosocial Questionnaire (COPSOQ). Ce questionnaire évalue les facteurs de risques psychosociaux au travail. La version française actuelle est composée de 46 items regroupés en 24 échelles et rendant compte de six dimensions. Le questionnaire a été proposé à 3 166 salariés d’une grande entreprise française implantée dans dix villes de la région parisienne et de province. Toutes les analyses psychométriques (analyse de la consistance interne des échelles, analyses factorielles exploratoire et confirmatoire, analyse de la validité concourante) sont satisfaisantes et démontrent la validité de la version française du COPSOQ. Des données en grand nombre sont actuellement recueillies dans le but d’effectuer des comparaisons entre professions et entre type d’entreprises.(R.A) Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 3 [01/05/2012] . - p.189-207[article] Le COPSOQ : un nouveau questionnaire français d'évaluation des risques psychosociaux [Article] / Emilie Dupret, Auteur ; Christine Bocéréean, Auteur ; Christine Teherani, Auteur ; et al., Auteur . - 2012 . - p.189-207.
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in Santé publique > n° 3 [01/05/2012] . - p.189-207
Mots-clés : AUTONOMIE
BIEN-ETRE
CONDITION DE TRAVAIL
ENQUETE
EPIDEMIOLOGIE
FACTEUR PSYCHOSOCIAL
GESTION DES RISQUES
HIERARCHIE
MANAGEMENT
ORGANISATION
PROFESSION
QUESTIONNAIRE
TRAVAIL
VECURésumé : L’étude présente la validation française du Copenhagen Psychosocial Questionnaire (COPSOQ). Ce questionnaire évalue les facteurs de risques psychosociaux au travail. La version française actuelle est composée de 46 items regroupés en 24 échelles et rendant compte de six dimensions. Le questionnaire a été proposé à 3 166 salariés d’une grande entreprise française implantée dans dix villes de la région parisienne et de province. Toutes les analyses psychométriques (analyse de la consistance interne des échelles, analyses factorielles exploratoire et confirmatoire, analyse de la validité concourante) sont satisfaisantes et démontrent la validité de la version française du COPSOQ. Des données en grand nombre sont actuellement recueillies dans le but d’effectuer des comparaisons entre professions et entre type d’entreprises.(R.A) Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Antennes-relais et cancer : évolution et déterminants du risque perçu par le public, 2005-2010 / Patrick Peretti-Watel in Santé publique, n° 3 ([01/05/2012])
[article]
Titre : Antennes-relais et cancer : évolution et déterminants du risque perçu par le public, 2005-2010 Type de document : Article Auteurs : Patrick Peretti-Watel, Auteur ; Chantal Vergelys, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 209-218 Langues : Français (fre) Mots-clés : CANCER
CONFIANCE
ENQUETE
ENVIRONNEMENT
GESTION DES RISQUES
OPINION
PERCEPTION
POPULATION
POUVOIRS PUBLICS
RADIOFREQUENCE
RISQUE SANITAIRE
TELEPHONERésumé : Cet article étudie les opinions de la population française concernant les risques de cancer que pourraient courir les personnes résidant à côté d’une antenne-relais de téléphonie mobile. Il utilise les données de deux enquêtes téléphoniques nationales représentatives, réalisées par l’Institut National de Prévention et d’Éducation pour la Santé : les Baromètres Cancer 2005 et 2010. En 2005, 48,5 % des personnes âgées de 16-75 ans estimaient que vivre à côté d’une antenne-relais favorise le cancer, contre 68,9 % en 2010 (et la proportion d’indécis a été divisée par deux d’une enquête à l’autre). Cette progression est très supérieure à celle observée pour la perception des risques de cancer associés à d’autres facteurs environnementaux (centrales nucléaires, pollution de l’air, aliments traités avec des produits chimiques) qui sont plus souvent incriminés par le public. En 2005, ce risque perçu était corrélé avec le sexe, l’âge, le niveau de revenu, le type de commune de résidence et la sensibilité aux facteurs environnementaux de cancer. Toutefois, en même temps que cette perception s’amplifie, ce profil particulier s’estompe partiellement en 2010. Il est possible que la perception de ce risque cristallise à la fois des craintes diffuses et un manque de confiance à l’égard des autorités, tout en s’ancrant dans un contexte local.(R.A) Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 3 [01/05/2012] . - p. 209-218[article] Antennes-relais et cancer : évolution et déterminants du risque perçu par le public, 2005-2010 [Article] / Patrick Peretti-Watel, Auteur ; Chantal Vergelys, Auteur . - 2012 . - p. 209-218.
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in Santé publique > n° 3 [01/05/2012] . - p. 209-218
Mots-clés : CANCER
CONFIANCE
ENQUETE
ENVIRONNEMENT
GESTION DES RISQUES
OPINION
PERCEPTION
POPULATION
POUVOIRS PUBLICS
RADIOFREQUENCE
RISQUE SANITAIRE
TELEPHONERésumé : Cet article étudie les opinions de la population française concernant les risques de cancer que pourraient courir les personnes résidant à côté d’une antenne-relais de téléphonie mobile. Il utilise les données de deux enquêtes téléphoniques nationales représentatives, réalisées par l’Institut National de Prévention et d’Éducation pour la Santé : les Baromètres Cancer 2005 et 2010. En 2005, 48,5 % des personnes âgées de 16-75 ans estimaient que vivre à côté d’une antenne-relais favorise le cancer, contre 68,9 % en 2010 (et la proportion d’indécis a été divisée par deux d’une enquête à l’autre). Cette progression est très supérieure à celle observée pour la perception des risques de cancer associés à d’autres facteurs environnementaux (centrales nucléaires, pollution de l’air, aliments traités avec des produits chimiques) qui sont plus souvent incriminés par le public. En 2005, ce risque perçu était corrélé avec le sexe, l’âge, le niveau de revenu, le type de commune de résidence et la sensibilité aux facteurs environnementaux de cancer. Toutefois, en même temps que cette perception s’amplifie, ce profil particulier s’estompe partiellement en 2010. Il est possible que la perception de ce risque cristallise à la fois des craintes diffuses et un manque de confiance à l’égard des autorités, tout en s’ancrant dans un contexte local.(R.A) Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Tabagisme aux collèges publics de Casablanca / Zineb Serhier in Santé publique, n° 3 ([01/05/2012])
[article]
Titre : Tabagisme aux collèges publics de Casablanca Type de document : Article Auteurs : Zineb Serhier, Auteur ; Mohammed Bennani othmani, Auteur ; Samy Housbane, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 219-228 Langues : Français (fre) Mots-clés : ADOLESCENT
COLLEGE
DROGUE
ENQUETE
PREVALENCE
PREVENTION
TABAGISMERésumé : La période de transition entre l’école élémentaire et l’école secondaire serait un moment à haut risque pour l’initiation du tabagisme. La mise en place de mesures préventives adaptées nécessiterait des informations sur l’usage du tabac par les adolescents. L’objectif de ce travail était d’estimer la prévalence du tabagisme chez des collégiens de la ville de Casablanca. Une étude transversale a été réalisée en 2010 dans 6 collèges de cette ville par questionnaire auto-administré. La moyenne d’âge était de 16,3 ans (E.T. 2,1) et 55 % étaient de sexe féminin. La prévalence du tabagisme était 7,5 %, 11,4 % chez les garçons et 4,6 % chez les filles. L’âge de début de la consommation de tabac était compris entre 14 et 18 ans pour 52,5 % des fumeurs. Les objectifs recherchés par les élèves fumeurs étaient l’oubli des problèmes (30 %), la détente (16 %) et l’expérience (7 %). Le comportement tabagique était associé à une consommation régulière de drogue (23,3 % chez les fumeurs versus 0,6 % chez les non-fumeurs, p Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 3 [01/05/2012] . - p. 219-228[article] Tabagisme aux collèges publics de Casablanca [Article] / Zineb Serhier, Auteur ; Mohammed Bennani othmani, Auteur ; Samy Housbane, Auteur ; et al., Auteur . - 2012 . - p. 219-228.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 3 [01/05/2012] . - p. 219-228
Mots-clés : ADOLESCENT
COLLEGE
DROGUE
ENQUETE
PREVALENCE
PREVENTION
TABAGISMERésumé : La période de transition entre l’école élémentaire et l’école secondaire serait un moment à haut risque pour l’initiation du tabagisme. La mise en place de mesures préventives adaptées nécessiterait des informations sur l’usage du tabac par les adolescents. L’objectif de ce travail était d’estimer la prévalence du tabagisme chez des collégiens de la ville de Casablanca. Une étude transversale a été réalisée en 2010 dans 6 collèges de cette ville par questionnaire auto-administré. La moyenne d’âge était de 16,3 ans (E.T. 2,1) et 55 % étaient de sexe féminin. La prévalence du tabagisme était 7,5 %, 11,4 % chez les garçons et 4,6 % chez les filles. L’âge de début de la consommation de tabac était compris entre 14 et 18 ans pour 52,5 % des fumeurs. Les objectifs recherchés par les élèves fumeurs étaient l’oubli des problèmes (30 %), la détente (16 %) et l’expérience (7 %). Le comportement tabagique était associé à une consommation régulière de drogue (23,3 % chez les fumeurs versus 0,6 % chez les non-fumeurs, p Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible L’Agence Nationale de Santé : le défi d’un pilotage national unifié, refusant technocratie et centralisation / Cécile Courreges in Santé publique, n° 3 ([01/05/2012])
[article]
Titre : L’Agence Nationale de Santé : le défi d’un pilotage national unifié, refusant technocratie et centralisation Type de document : Article Auteurs : Cécile Courreges, Auteur ; Alain Lopez, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 229-240 Langues : Français (fre) Mots-clés : ADMINISTRATION D'ETAT
AUTORITE
FONCTION
INSTITUTION
MINISTERE DE LA SANTE
ORGANISATION SANITAIRE
ORGANISME
POLITIQUE DE SANTE
POUVOIRS PUBLICSRésumé : La création des ARS a rendu plus pressante la nécessité d’une réorganisation du pilotage national de la politique de santé. Le conseil national de pilotage voulu par la loi HPST ne saurait à cet égard représenter qu’une étape. Il faut aller au-delà d’une simple coordination assurée entre les différents décideurs publics nationaux, aussi bien pour mettre en œuvre la politique de santé que pour la concevoir. La mise en place d’une agence nationale de santé (ANS) est généralement considérée comme étant le moyen de se doter d’un véritable pilotage national capable de déterminer et de conduire une politique globale de santé. Cette nouvelle structure ne saurait être une agence des agences, coiffant toutes les agences sanitaires aujourd’hui existantes. L’ANS devrait avoir pour vocation d’être une agence de régulation, agissant sur l’organisation des soins, le financement des activités, la qualité et l’efficience des pratiques de santé. Elle regrouperait les services de l’État et de l’assurance maladie.
Mais, deux conceptions de l’agence se distinguent. Soit l’ANS est une autorité technique disposant d’une relative autonomie dans l’exercice de ses missions, sur le modèle actuel de la CNAMTS. Soit l’ANS est placée sous l’autorité directe du Ministre de la santé. Dans tous les cas, l’ANS fait courir le risque d’une administration de la santé technocratique et centralisatrice.
Une solution intermédiaire entre l’ANS et le statu quo est concevable. Elle consisterait à renforcer l’autorité du secrétariat général des ministères sociaux sur les administrations centrales du ministère de la santé, les caisses nationales de l’assurance maladie, la CNSA. Un service à compétence nationale constitué auprès du secrétaire général lui permettrait d’assurer ses missions. Cet intermédiaire, instaurant un pilotage national plus cohérent, tout en préservant le caractère polycentrique de l’organisation administrative actuelle, aurait l’avantage de ne pas imposer dans l’immédiat une profonde et lourde restructuration des institutions nationales existantes, quand les défis actuels à relever pour la santé de la population exigent notre mobilisation pleine et entière sans délai.(R.A)Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 3 [01/05/2012] . - p. 229-240[article] L’Agence Nationale de Santé : le défi d’un pilotage national unifié, refusant technocratie et centralisation [Article] / Cécile Courreges, Auteur ; Alain Lopez, Auteur . - 2012 . - p. 229-240.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 3 [01/05/2012] . - p. 229-240
Mots-clés : ADMINISTRATION D'ETAT
AUTORITE
FONCTION
INSTITUTION
MINISTERE DE LA SANTE
ORGANISATION SANITAIRE
ORGANISME
POLITIQUE DE SANTE
POUVOIRS PUBLICSRésumé : La création des ARS a rendu plus pressante la nécessité d’une réorganisation du pilotage national de la politique de santé. Le conseil national de pilotage voulu par la loi HPST ne saurait à cet égard représenter qu’une étape. Il faut aller au-delà d’une simple coordination assurée entre les différents décideurs publics nationaux, aussi bien pour mettre en œuvre la politique de santé que pour la concevoir. La mise en place d’une agence nationale de santé (ANS) est généralement considérée comme étant le moyen de se doter d’un véritable pilotage national capable de déterminer et de conduire une politique globale de santé. Cette nouvelle structure ne saurait être une agence des agences, coiffant toutes les agences sanitaires aujourd’hui existantes. L’ANS devrait avoir pour vocation d’être une agence de régulation, agissant sur l’organisation des soins, le financement des activités, la qualité et l’efficience des pratiques de santé. Elle regrouperait les services de l’État et de l’assurance maladie.
Mais, deux conceptions de l’agence se distinguent. Soit l’ANS est une autorité technique disposant d’une relative autonomie dans l’exercice de ses missions, sur le modèle actuel de la CNAMTS. Soit l’ANS est placée sous l’autorité directe du Ministre de la santé. Dans tous les cas, l’ANS fait courir le risque d’une administration de la santé technocratique et centralisatrice.
Une solution intermédiaire entre l’ANS et le statu quo est concevable. Elle consisterait à renforcer l’autorité du secrétariat général des ministères sociaux sur les administrations centrales du ministère de la santé, les caisses nationales de l’assurance maladie, la CNSA. Un service à compétence nationale constitué auprès du secrétaire général lui permettrait d’assurer ses missions. Cet intermédiaire, instaurant un pilotage national plus cohérent, tout en préservant le caractère polycentrique de l’organisation administrative actuelle, aurait l’avantage de ne pas imposer dans l’immédiat une profonde et lourde restructuration des institutions nationales existantes, quand les défis actuels à relever pour la santé de la population exigent notre mobilisation pleine et entière sans délai.(R.A)Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Structurer la politique nationale de santé, une ambition raisonnable / Alain Lopez in Santé publique, n° 3 ([01/05/2012])
[article]
Titre : Structurer la politique nationale de santé, une ambition raisonnable Type de document : Article Auteurs : Alain Lopez, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 241-251 Langues : Français (fre) Mots-clés : AGENCE REGIONALE DE SANTE
COORDINATION
EVALUATION
ORGANISATION SANITAIRE
PLANIFICATION
POLITIQUE DE SANTE
STRATEGIE
TERRITOIRERésumé : La politique nationale de santé est aujourd’hui introuvable. Elle apparaît éparpillée entre une trentaine de plans et une centaine d’objectifs fixés par la loi de 2004. Pourtant, les textes législatifs veulent qu’elle serve de référence à l’action publique décidée et conduite par les nombreuses autorités « périphériques » dont est entourée le ministère de la Santé. De plus, cette politique est peu concertée, pas toujours évaluée. Parvenir à concevoir une politique nationale de santé, interministérielle, combinant de façon complémentaire plusieurs modes d’intervention, employant différents leviers de régulation, peut sembler être une ambition pharaonique, mais aussi imprudente quand elle prétend faire des choix de priorités et de moyens. Une architecture de la politique faite de trois composantes (une stratégie, des plans, des politiques déconcentrées et décentralisées) permet de dépasser les contradictions inhérentes à l’entreprise et de surmonter ses difficultés. Mais, définir une architecture ne suffit pas. Il faut aussi concevoir le dispositif de pilotage de la construction, la concertation nécessaire, l’organisation du suivi et de l’évaluation. En fait, les fondations sont en place. Il suffirait de tirer toutes les conséquences des orientations déjà prises avec la création des ARS, la mise en place d’un conseil national de pilotage, l’élaboration depuis 20 ans de nombreux plans nationaux de santé publique.(R.A) Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 3 [01/05/2012] . - p. 241-251[article] Structurer la politique nationale de santé, une ambition raisonnable [Article] / Alain Lopez, Auteur . - 2012 . - p. 241-251.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 3 [01/05/2012] . - p. 241-251
Mots-clés : AGENCE REGIONALE DE SANTE
COORDINATION
EVALUATION
ORGANISATION SANITAIRE
PLANIFICATION
POLITIQUE DE SANTE
STRATEGIE
TERRITOIRERésumé : La politique nationale de santé est aujourd’hui introuvable. Elle apparaît éparpillée entre une trentaine de plans et une centaine d’objectifs fixés par la loi de 2004. Pourtant, les textes législatifs veulent qu’elle serve de référence à l’action publique décidée et conduite par les nombreuses autorités « périphériques » dont est entourée le ministère de la Santé. De plus, cette politique est peu concertée, pas toujours évaluée. Parvenir à concevoir une politique nationale de santé, interministérielle, combinant de façon complémentaire plusieurs modes d’intervention, employant différents leviers de régulation, peut sembler être une ambition pharaonique, mais aussi imprudente quand elle prétend faire des choix de priorités et de moyens. Une architecture de la politique faite de trois composantes (une stratégie, des plans, des politiques déconcentrées et décentralisées) permet de dépasser les contradictions inhérentes à l’entreprise et de surmonter ses difficultés. Mais, définir une architecture ne suffit pas. Il faut aussi concevoir le dispositif de pilotage de la construction, la concertation nécessaire, l’organisation du suivi et de l’évaluation. En fait, les fondations sont en place. Il suffirait de tirer toutes les conséquences des orientations déjà prises avec la création des ARS, la mise en place d’un conseil national de pilotage, l’élaboration depuis 20 ans de nombreux plans nationaux de santé publique.(R.A) Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Pour une nouvelle loi de santé publique en France au service d’une politique nationale de santé plus égalitaire et plus efficiente / Linda Cambon in Santé publique, n° 3 ([01/05/2012])
[article]
Titre : Pour une nouvelle loi de santé publique en France au service d’une politique nationale de santé plus égalitaire et plus efficiente Type de document : Article Auteurs : Linda Cambon, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 253-261 Langues : Français (fre) Mots-clés : EDUCATION A LA SANTE
GOUVERNANCE
INEGALITE DEVANT LES SOINS
LEGISLATION
ORGANISATION SANITAIRE
PERFORMANCE
POLITIQUE DE SANTE
PREVENTION
PRIORITE DE SANTE
SANTE PUBLIQUERésumé : La prochaine loi de santé publique devra répondre à un certain nombre d’enjeux. Les rapports accumulés depuis quelques années soulignent à la fois un état des lieux sanitaire contrasté – marqué par une mortalité prématurée forte et l’aggravation des inégalités sociales de santé – ainsi que la nécessité d’organiser la santé publique. La dispersion des politiques de santé publique, l’absence d’inter-ministérialité pourtant condition majeure de réduction des inégalités de santé, l’absence de structuration et d’évaluation en matière de prévention sont autant de faiblesses que la nouvelle loi de santé publique aura à corriger. En ce sens, la nouvelle loi de santé publique ne pourra pas faire l’économie, au-delà des mesures thématiques nécessaires, de mesures profondément structurantes : une politique nationale unifiée, recentrée sur quelques priorités, intégrant les secteurs non sanitaires ; le développement d’une politique de prévention plus efficace car plus organisée et enfin, la prise en compte de la question des inégalités obligeant à des mesures intégrées et définies, non plus comme un principe affiché mais comme un résultat à atteindre par toute mesure sanitaire. Il convient que la prochaine loi de santé publique devienne le vecteur d’une structuration désormais incontournable de la politique de santé publique.(R.A) Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 3 [01/05/2012] . - p. 253-261[article] Pour une nouvelle loi de santé publique en France au service d’une politique nationale de santé plus égalitaire et plus efficiente [Article] / Linda Cambon, Auteur . - 2012 . - p. 253-261.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 3 [01/05/2012] . - p. 253-261
Mots-clés : EDUCATION A LA SANTE
GOUVERNANCE
INEGALITE DEVANT LES SOINS
LEGISLATION
ORGANISATION SANITAIRE
PERFORMANCE
POLITIQUE DE SANTE
PREVENTION
PRIORITE DE SANTE
SANTE PUBLIQUERésumé : La prochaine loi de santé publique devra répondre à un certain nombre d’enjeux. Les rapports accumulés depuis quelques années soulignent à la fois un état des lieux sanitaire contrasté – marqué par une mortalité prématurée forte et l’aggravation des inégalités sociales de santé – ainsi que la nécessité d’organiser la santé publique. La dispersion des politiques de santé publique, l’absence d’inter-ministérialité pourtant condition majeure de réduction des inégalités de santé, l’absence de structuration et d’évaluation en matière de prévention sont autant de faiblesses que la nouvelle loi de santé publique aura à corriger. En ce sens, la nouvelle loi de santé publique ne pourra pas faire l’économie, au-delà des mesures thématiques nécessaires, de mesures profondément structurantes : une politique nationale unifiée, recentrée sur quelques priorités, intégrant les secteurs non sanitaires ; le développement d’une politique de prévention plus efficace car plus organisée et enfin, la prise en compte de la question des inégalités obligeant à des mesures intégrées et définies, non plus comme un principe affiché mais comme un résultat à atteindre par toute mesure sanitaire. Il convient que la prochaine loi de santé publique devienne le vecteur d’une structuration désormais incontournable de la politique de santé publique.(R.A) Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Le transsexualisme : une catégorie nosographique obsolète / Arnaud Alessandrin in Santé publique, n° 3 ([01/05/2012])
[article]
Titre : Le transsexualisme : une catégorie nosographique obsolète Type de document : Article Auteurs : Arnaud Alessandrin, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 263-268 Langues : Français (fre) Mots-clés : DIAGNOSTIC
DROIT
IDENTITE
IDENTITE SEXUELLE
MEDECINE
PROTOCOLE DE SOIN
PSYCHIATRIE
TRANSSEXUALITE
VULNERABILITERésumé : Le transsexualisme est une invention médicale récente. En France, c’est la conjonction « psychiatrie-droit-médecine » qui assure aujourd’hui son diagnostic et sa clinique. Or, tant d’un point de vue quantitatif que qualitatif, il apparaît que le « transsexualisme » tel qu’il est proposé par les équipes hospitalières ne répond plus aux demandes des personnes transidentitaires. En effet, seule une minorité de personnes concernées passent par un protocole public de transsexualisation dans leurs « carrières » transidentitaires. Cette désunion, démontrée quantitativement dans l’enquête INSERM réalisée par Alain Giami, est aussi visible dans les biographies des personnes concernées qui évitent l’étiquette « transsexuelle » et condamnent une clinique qu’ils jugent maltraitante. Dans cet article, je tente de montrer les mécanismes de cette déprise de la psychiatrie sur les transidentités, et les formes actuelles que prend alors la question des « devenirs » Trans.(R.A) Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 3 [01/05/2012] . - p. 263-268[article] Le transsexualisme : une catégorie nosographique obsolète [Article] / Arnaud Alessandrin, Auteur . - 2012 . - p. 263-268.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 3 [01/05/2012] . - p. 263-268
Mots-clés : DIAGNOSTIC
DROIT
IDENTITE
IDENTITE SEXUELLE
MEDECINE
PROTOCOLE DE SOIN
PSYCHIATRIE
TRANSSEXUALITE
VULNERABILITERésumé : Le transsexualisme est une invention médicale récente. En France, c’est la conjonction « psychiatrie-droit-médecine » qui assure aujourd’hui son diagnostic et sa clinique. Or, tant d’un point de vue quantitatif que qualitatif, il apparaît que le « transsexualisme » tel qu’il est proposé par les équipes hospitalières ne répond plus aux demandes des personnes transidentitaires. En effet, seule une minorité de personnes concernées passent par un protocole public de transsexualisation dans leurs « carrières » transidentitaires. Cette désunion, démontrée quantitativement dans l’enquête INSERM réalisée par Alain Giami, est aussi visible dans les biographies des personnes concernées qui évitent l’étiquette « transsexuelle » et condamnent une clinique qu’ils jugent maltraitante. Dans cet article, je tente de montrer les mécanismes de cette déprise de la psychiatrie sur les transidentités, et les formes actuelles que prend alors la question des « devenirs » Trans.(R.A) Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible