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Santé publique . n° 5Paru le : 01/10/2012 |
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n° 5 [Article] . - 2012 . - p. 383-473 . Langues : Français (fre)
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. | Périodique | Espace de Ressources Formation-Recherche | Disponible |
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Ajouter le résultat dans votre panierDémarche participative de santé globale en collège et lycée : le « diagnosanté » en Rhône-Alpes / Dominique Berger in Santé publique, n° 5 ([01/10/2012])
[article]
Titre : Démarche participative de santé globale en collège et lycée : le « diagnosanté » en Rhône-Alpes Type de document : Article Auteurs : Dominique Berger, Auteur ; Dominique Flengui, Auteur ; Stéphane Marchand-Maillet, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 387-401 Langues : Français (fre) Mots-clés : ADOLESCENT
AFFECTIVITE
BIEN-ETRE
COLLABORATION
CONDUITE A RISQUE
EDUCATION A LA SANTE
ENVIRONNEMENT
ESTIME DE SOI
ETABLISSEMENT D'ENSEIGNEMENT
ETUDE
HYGIENE
POLITIQUE D'EDUCATION
PRIORITE DE SANTE
PROGRAMME DE SANTE
PROMOTION DE LA SANTE
RELATION FAMILIALE
SANTE
SANTE COMMUNAUTAIRE
SANTE PUBLIQUE
SANTE SCOLAIRE
SOCIABILITERésumé : 2 553 élèves âgés de 14 à 18 ans de dix établissements du second degré de la région Rhône-Alpes ont suivi un programme de diagnostic participatif sur leur bien-être global : le « diagnosanté », incluant des questions sur l’hygiène de vie, l’environnement, les conduites à risques, la vie affective et l’estime de soi, la vie familiale et la vie sociale. Ce programme a été élaboré par les délégués d’Adosen Prévention Santé Mgen en partenariat avec la Région Rhône-Alpes et la Ligne Régionale d’Athlétisme. Les élèves devaient se prononcer sur dix-huit composantes de leur vie quotidienne qu’ils estimaient ou non impacter leur bien-être (santé perçue) et comment ils les vivaient réellement (santé vécue). Au-delà du diagnostic individuel que génère ce type d’investigation, les données recueillies permettent aux établissements, en comparaison à d’autres enquêtes nationales et internationales, de déterminer leurs actions prioritaires de santé. L’approche, qui ne stigmatise pas sur les comportements individuels, s’avère être un dispositif efficace pour donner du sens à la politique de promotion de santé menée par chaque établissement. Elle permet de mettre en exergue les éléments-clés des problématiques spécifiques à l’établissement ou au territoire, et ainsi d’élaborer efficacement les actions. Le diagnostic est dit participatif car, au-delà des résultats individuels, les échanges se construisent pour s’instituer en méthode de concertation en vue de l’intervention. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 5 [01/10/2012] . - p. 387-401[article] Démarche participative de santé globale en collège et lycée : le « diagnosanté » en Rhône-Alpes [Article] / Dominique Berger, Auteur ; Dominique Flengui, Auteur ; Stéphane Marchand-Maillet, Auteur ; et al., Auteur . - 2012 . - p. 387-401.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 5 [01/10/2012] . - p. 387-401
Mots-clés : ADOLESCENT
AFFECTIVITE
BIEN-ETRE
COLLABORATION
CONDUITE A RISQUE
EDUCATION A LA SANTE
ENVIRONNEMENT
ESTIME DE SOI
ETABLISSEMENT D'ENSEIGNEMENT
ETUDE
HYGIENE
POLITIQUE D'EDUCATION
PRIORITE DE SANTE
PROGRAMME DE SANTE
PROMOTION DE LA SANTE
RELATION FAMILIALE
SANTE
SANTE COMMUNAUTAIRE
SANTE PUBLIQUE
SANTE SCOLAIRE
SOCIABILITERésumé : 2 553 élèves âgés de 14 à 18 ans de dix établissements du second degré de la région Rhône-Alpes ont suivi un programme de diagnostic participatif sur leur bien-être global : le « diagnosanté », incluant des questions sur l’hygiène de vie, l’environnement, les conduites à risques, la vie affective et l’estime de soi, la vie familiale et la vie sociale. Ce programme a été élaboré par les délégués d’Adosen Prévention Santé Mgen en partenariat avec la Région Rhône-Alpes et la Ligne Régionale d’Athlétisme. Les élèves devaient se prononcer sur dix-huit composantes de leur vie quotidienne qu’ils estimaient ou non impacter leur bien-être (santé perçue) et comment ils les vivaient réellement (santé vécue). Au-delà du diagnostic individuel que génère ce type d’investigation, les données recueillies permettent aux établissements, en comparaison à d’autres enquêtes nationales et internationales, de déterminer leurs actions prioritaires de santé. L’approche, qui ne stigmatise pas sur les comportements individuels, s’avère être un dispositif efficace pour donner du sens à la politique de promotion de santé menée par chaque établissement. Elle permet de mettre en exergue les éléments-clés des problématiques spécifiques à l’établissement ou au territoire, et ainsi d’élaborer efficacement les actions. Le diagnostic est dit participatif car, au-delà des résultats individuels, les échanges se construisent pour s’instituer en méthode de concertation en vue de l’intervention. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Perception des adolescents et jeunes en matière de santé sexuelle et reproductive, République Démocratique du Congo / Gabriel Nsakala viodena in Santé publique, n° 5 ([01/10/2012])
[article]
Titre : Perception des adolescents et jeunes en matière de santé sexuelle et reproductive, République Démocratique du Congo Type de document : Article Auteurs : Gabriel Nsakala viodena, Auteur ; Yves Coppieters, Auteur ; Bruno Dimonfou lapika, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 403-415 Langues : Français (fre) Mots-clés : ADOLESCENT
AFRIQUE
AUTOMEDICATION
BESOIN
EDUCATION SEXUELLE
EMOTION-SENTIMENT
FILLE
GARCON
INFORMATION SANITAIRE
MEDECINE TRADITIONNELLE
MENSTRUATION
PARENTALITE
PERCEPTION
PROGRAMME DE SANTE
RELATION INTERPERSONNELLE
RELATION PARENT/ENFANT
REPRODUCTION
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
SANTE PUBLIQUE
SECRET
SEXUALITERésumé : Les adolescents et jeunes ont des appréhensions particulières des problèmes liés à leur santé sexuelle et à la reproduction. Cette étude identifie en milieu urbain de la RDC, les besoins et les perceptions des adolescents et jeunes liés à la santé de la reproduction, afin d’orienter les interventions dans ce champ. Il s’agit d’une étude qualitative utilisant des focus groupes réalisés dans trois villes de la RDC (Kinshasa, Matadi et Goma). Elle a ciblé les adolescents et jeunes des deux sexes, de différentes catégories sociales, âgés de 10 à 14 ans, 15-19 ans et 20-24 ans. Les filles mettent en avant les besoins d’informations sur le cycle menstruel et les expériences sexuelles. La pratique de la masturbation et les performances sexuelles sont prioritairement mentionnées par les garçons. Les relations affectives et la sexualité permettent en plus de résoudre certains problèmes sentimentaux et matériels non couverts en famille. L’éducation sexuelle est réclamée, mais exige une personne capable de garantir la confidentialité. Dans ce cadre, le personnel médical, les leaders religieux, les enseignants sont de loin préférés aux parents. Les médias constituent la principale source d’informations, cependant la communication interpersonnelle est vivement souhaitée. Les services de santé ne sont utilisés qu’en seconde intention, après l’automédication et le traitement traditionnel jugés plus accessibles.
Des programmes ont été développés en faveur des adolescents et jeunes en RDC pour concourir à la satisfaction et à l’amélioration de ces différentes questions.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 5 [01/10/2012] . - p. 403-415[article] Perception des adolescents et jeunes en matière de santé sexuelle et reproductive, République Démocratique du Congo [Article] / Gabriel Nsakala viodena, Auteur ; Yves Coppieters, Auteur ; Bruno Dimonfou lapika, Auteur ; et al., Auteur . - 2012 . - p. 403-415.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 5 [01/10/2012] . - p. 403-415
Mots-clés : ADOLESCENT
AFRIQUE
AUTOMEDICATION
BESOIN
EDUCATION SEXUELLE
EMOTION-SENTIMENT
FILLE
GARCON
INFORMATION SANITAIRE
MEDECINE TRADITIONNELLE
MENSTRUATION
PARENTALITE
PERCEPTION
PROGRAMME DE SANTE
RELATION INTERPERSONNELLE
RELATION PARENT/ENFANT
REPRODUCTION
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
SANTE PUBLIQUE
SECRET
SEXUALITERésumé : Les adolescents et jeunes ont des appréhensions particulières des problèmes liés à leur santé sexuelle et à la reproduction. Cette étude identifie en milieu urbain de la RDC, les besoins et les perceptions des adolescents et jeunes liés à la santé de la reproduction, afin d’orienter les interventions dans ce champ. Il s’agit d’une étude qualitative utilisant des focus groupes réalisés dans trois villes de la RDC (Kinshasa, Matadi et Goma). Elle a ciblé les adolescents et jeunes des deux sexes, de différentes catégories sociales, âgés de 10 à 14 ans, 15-19 ans et 20-24 ans. Les filles mettent en avant les besoins d’informations sur le cycle menstruel et les expériences sexuelles. La pratique de la masturbation et les performances sexuelles sont prioritairement mentionnées par les garçons. Les relations affectives et la sexualité permettent en plus de résoudre certains problèmes sentimentaux et matériels non couverts en famille. L’éducation sexuelle est réclamée, mais exige une personne capable de garantir la confidentialité. Dans ce cadre, le personnel médical, les leaders religieux, les enseignants sont de loin préférés aux parents. Les médias constituent la principale source d’informations, cependant la communication interpersonnelle est vivement souhaitée. Les services de santé ne sont utilisés qu’en seconde intention, après l’automédication et le traitement traditionnel jugés plus accessibles.
Des programmes ont été développés en faveur des adolescents et jeunes en RDC pour concourir à la satisfaction et à l’amélioration de ces différentes questions.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible « La santé, c'est un peu de la vie » : étude sur la santé perçue des enfants confiés en protection de l'enfance / Pierrine Robin in Santé publique, n° 5 ([01/10/2012])
[article]
Titre : « La santé, c'est un peu de la vie » : étude sur la santé perçue des enfants confiés en protection de l'enfance Type de document : Article Auteurs : Pierrine Robin, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 417-428 Langues : Français (fre) Mots-clés : AIDE SOCIALE A L'ENFANCE
AVENIR
CONFIANCE
DOULEUR
EDUCATION
EMOTION-SENTIMENT
ENERGIE
ENFANT
ESTIME DE SOI
FACTEUR SOCIOECONOMIQUE
INEGALITE DEVANT LES SOINS
INSTITUTION
ISOLEMENT SOCIAL
LIEN SOCIAL
MOBILITE
ORIENTATION SCOLAIRE
PERCEPTION
QUALITE DE VIE
QUESTIONNAIRE
RECONNAISSANCE
RELATION FAMILIALE
REPRESENTATION
SANTE
SOMMEILRésumé : Cet article s’intéresse à la santé perçue des enfants confiés à l’Aide sociale à l’enfance dans le département de Haute-Savoie. À partir d’une étude qualitative par entretiens semi-directifs auprès d’enfants accueillis à l’Aide sociale à l’enfance, associés à la passation d’un questionnaire auto-administré sur la qualité de vie, cette recherche vise à interroger les enfants confiés sur les représentations de leur santé. Elle permet d’attirer l’attention sur les multiples dimensions de la qualité de vie affectées chez les enfants accueillis, en termes d’énergie, de sommeil, de douleurs et de mobilité et de réactions émotionnelles. Cette étude témoigne aussi des difficultés perçues des enfants confiés dans leur relation à leur famille ainsi que dans leur éducation et leur orientation. L’article donne à voir un rapport passif à la santé chez les enfants confiés avec une tendance à taire les difficultés, en lien avec un sentiment d’isolement social et un manque de confiance dans les liens sociaux et dans les institutions. Comme pour les autres publics vulnérables, le rapport à la santé des enfants confiés convoque des problématiques plus larges, liées à l’estime de soi, à la projection vers l’avenir, et au rapport aux institutions. Cet article attire l’attention sur les facteurs sociaux explicatifs des inégalités de santé et confirment l’importance des liens sociaux, du sentiment de maîtrise de son existence, et de la reconnaissance dans le rapport à la santé. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 5 [01/10/2012] . - p. 417-428[article] « La santé, c'est un peu de la vie » : étude sur la santé perçue des enfants confiés en protection de l'enfance [Article] / Pierrine Robin, Auteur . - 2012 . - p. 417-428.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 5 [01/10/2012] . - p. 417-428
Mots-clés : AIDE SOCIALE A L'ENFANCE
AVENIR
CONFIANCE
DOULEUR
EDUCATION
EMOTION-SENTIMENT
ENERGIE
ENFANT
ESTIME DE SOI
FACTEUR SOCIOECONOMIQUE
INEGALITE DEVANT LES SOINS
INSTITUTION
ISOLEMENT SOCIAL
LIEN SOCIAL
MOBILITE
ORIENTATION SCOLAIRE
PERCEPTION
QUALITE DE VIE
QUESTIONNAIRE
RECONNAISSANCE
RELATION FAMILIALE
REPRESENTATION
SANTE
SOMMEILRésumé : Cet article s’intéresse à la santé perçue des enfants confiés à l’Aide sociale à l’enfance dans le département de Haute-Savoie. À partir d’une étude qualitative par entretiens semi-directifs auprès d’enfants accueillis à l’Aide sociale à l’enfance, associés à la passation d’un questionnaire auto-administré sur la qualité de vie, cette recherche vise à interroger les enfants confiés sur les représentations de leur santé. Elle permet d’attirer l’attention sur les multiples dimensions de la qualité de vie affectées chez les enfants accueillis, en termes d’énergie, de sommeil, de douleurs et de mobilité et de réactions émotionnelles. Cette étude témoigne aussi des difficultés perçues des enfants confiés dans leur relation à leur famille ainsi que dans leur éducation et leur orientation. L’article donne à voir un rapport passif à la santé chez les enfants confiés avec une tendance à taire les difficultés, en lien avec un sentiment d’isolement social et un manque de confiance dans les liens sociaux et dans les institutions. Comme pour les autres publics vulnérables, le rapport à la santé des enfants confiés convoque des problématiques plus larges, liées à l’estime de soi, à la projection vers l’avenir, et au rapport aux institutions. Cet article attire l’attention sur les facteurs sociaux explicatifs des inégalités de santé et confirment l’importance des liens sociaux, du sentiment de maîtrise de son existence, et de la reconnaissance dans le rapport à la santé. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Qualité des prestations vaccinales des centres sociaux publics d'Abidjan, Côte d'Ivoire / Issaka Tiembre in Santé publique, n° 5 ([01/10/2012])
[article]
Titre : Qualité des prestations vaccinales des centres sociaux publics d'Abidjan, Côte d'Ivoire Type de document : Article Auteurs : Issaka Tiembre, Auteur ; Joseph Vroh Benie-Bi, Auteur ; Harvey Attoh-Toure, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 429-438 Langues : Français (fre) Mots-clés : AFRIQUE
ASEPSIE
ASSISTANT SOCIAL
CONSERVATION
COTE D'IVOIRE
ETABLISSEMENT SOCIAL
ETUDE
FORMATION
INJECTION
MATERIEL MEDICAL
OFFRE DE SOINS
QUALITE
QUESTIONNAIRE
VACCIN
VACCINATIONRésumé : En dehors des établissements sanitaires, d’autres établissements notamment les centres sociaux effectuent des prestations vaccinales pour palier l’insuffisance de l’offre des activités vaccinales. Qu’en est-il de la qualité de ces prestations vaccinales effectuées par un personnel non médical ? Nous avons effectué une étude transversale descriptive sur 2 mois dans les 15 centres sociaux publics pratiquant la vaccination à Abidjan. La collecte des données a été réalisée par deux médecins à l’aide de trois questionnaires adressés respectivement aux responsables des centres, aux vaccinateurs et aux bénéficiaires des prestations vaccinales et de deux grilles d’observation dont l’une servait à vérifier le matériel de vaccination et l’autre à apprécier les comportements des agents vaccinateurs. Aucun centre ne disposait de groupe électrogène en plus de l’électricité. Un centre social ne disposait pas de réfrigérateur. Dans 14,3 % des centres, les réfrigérateurs n’étaient pas disposés dans un endroit aéré et dans 26,7 %, ces réfrigérateurs n’étaient pas destinés exclusivement à la conservation des vaccins. Aucun centre ne disposait d’incinérateur. 21,1 % du personnel ne connaissait pas la température de conservation des vaccins. Pour 88,9 % des injections vaccinales, le tampon de l’hémostase était le même que celui utilisé pour le nettoyage du site d’injection. Le site d’injection n’était pas aseptisé dans 10,8 % des injections. 73,9 % des bénéficiaires ignoraient le vaccin administré et 95 % la date du prochain rendez-vous de vaccination. Les prestations vaccinales dans ces centres présentent de nombreuses insuffisances. Pour y remédier, une politique de formation, d’équipement et de supervision des centres s’impose. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 5 [01/10/2012] . - p. 429-438[article] Qualité des prestations vaccinales des centres sociaux publics d'Abidjan, Côte d'Ivoire [Article] / Issaka Tiembre, Auteur ; Joseph Vroh Benie-Bi, Auteur ; Harvey Attoh-Toure, Auteur ; et al., Auteur . - 2012 . - p. 429-438.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 5 [01/10/2012] . - p. 429-438
Mots-clés : AFRIQUE
ASEPSIE
ASSISTANT SOCIAL
CONSERVATION
COTE D'IVOIRE
ETABLISSEMENT SOCIAL
ETUDE
FORMATION
INJECTION
MATERIEL MEDICAL
OFFRE DE SOINS
QUALITE
QUESTIONNAIRE
VACCIN
VACCINATIONRésumé : En dehors des établissements sanitaires, d’autres établissements notamment les centres sociaux effectuent des prestations vaccinales pour palier l’insuffisance de l’offre des activités vaccinales. Qu’en est-il de la qualité de ces prestations vaccinales effectuées par un personnel non médical ? Nous avons effectué une étude transversale descriptive sur 2 mois dans les 15 centres sociaux publics pratiquant la vaccination à Abidjan. La collecte des données a été réalisée par deux médecins à l’aide de trois questionnaires adressés respectivement aux responsables des centres, aux vaccinateurs et aux bénéficiaires des prestations vaccinales et de deux grilles d’observation dont l’une servait à vérifier le matériel de vaccination et l’autre à apprécier les comportements des agents vaccinateurs. Aucun centre ne disposait de groupe électrogène en plus de l’électricité. Un centre social ne disposait pas de réfrigérateur. Dans 14,3 % des centres, les réfrigérateurs n’étaient pas disposés dans un endroit aéré et dans 26,7 %, ces réfrigérateurs n’étaient pas destinés exclusivement à la conservation des vaccins. Aucun centre ne disposait d’incinérateur. 21,1 % du personnel ne connaissait pas la température de conservation des vaccins. Pour 88,9 % des injections vaccinales, le tampon de l’hémostase était le même que celui utilisé pour le nettoyage du site d’injection. Le site d’injection n’était pas aseptisé dans 10,8 % des injections. 73,9 % des bénéficiaires ignoraient le vaccin administré et 95 % la date du prochain rendez-vous de vaccination. Les prestations vaccinales dans ces centres présentent de nombreuses insuffisances. Pour y remédier, une politique de formation, d’équipement et de supervision des centres s’impose. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Les incapacités fonctionnelles des personnes âgées vivant à domicile à Bobo-Dioulasso, Burkina Faso / Abdramane Berthe in Santé publique, n° 5 ([01/10/2012])
[article]
Titre : Les incapacités fonctionnelles des personnes âgées vivant à domicile à Bobo-Dioulasso, Burkina Faso Type de document : Article Auteurs : Abdramane Berthe, Auteur ; Lalla Berthe-Sanou, Auteur ; Blahima Konate, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 439-451 Langues : Français (fre) Mots-clés : AFRIQUE
AIDANT
AUTONOMIE
BURKINA FASO
COMMUNICATION
COMPORTEMENT
DEFICIENCE MENTALE
DOMICILE
FAMILLE
HANDICAP
OUBLI
PERSONNE AGEE
PROGRAMME DE SANTE
PSYCHOLOGIE
SANTE MENTALE
SENS
SOCIETE
SOUTIEN A DOMICILERésumé : En Afrique subsaharienne, très peu d’études ont été réalisées sur les incapacités modérées à graves dans les domaines de la mobilité, de la communication et de la fonction mentale chez les personnes âgées vivant à domicile. Les études réalisées n’ont pas toujours décrit le contexte social qui permet de comprendre leurs résultats. Cette étude est réalisée au Burkina Faso pour combler les déficits d’informations scientifiques sur les incapacités dans ces domaines. Nous avons conduit une étude descriptive transversale qui s’est déroulée à Bobo-Dioulasso auprès de la population des personnes de plus de 60 ans. Leur statut fonctionnel a été évalué avec le Système de Mesure de l’Autonomie Fonctionnelle (SMAF). L’analyse des données a été réalisée à l’aide de Stata. Un échantillon de 351 personnes âgées a été interviewé. Les incapacités fonctionnelles modérées à graves ou les besoins de surveillance ou d’aide étaient de 10 % dans la mobilité, 28 % dans la fonction mentale et 37 % dans la communication. À l’intérieur de chaque domaine, ces proportions variaient selon les activités/items. Toutes les personnes en incapacités affirmaient disposer de ressources humaines quasi-stables pour les aider à gérer leurs incapacités. La famille constituait la principale ressource. La prise en compte du contexte social permet de mieux comprendre ces résultats. Les proportions d’incapacités trouvées dans cette étude sont supérieures à celles des études précédentes qui ont souvent mesuré les incapacités graves. Une bonne visibilité des incapacités modérées à graves devrait permettre la conception de bonnes politiques de soins et de supports aux personnes âgées. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 5 [01/10/2012] . - p. 439-451[article] Les incapacités fonctionnelles des personnes âgées vivant à domicile à Bobo-Dioulasso, Burkina Faso [Article] / Abdramane Berthe, Auteur ; Lalla Berthe-Sanou, Auteur ; Blahima Konate, Auteur ; et al., Auteur . - 2012 . - p. 439-451.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 5 [01/10/2012] . - p. 439-451
Mots-clés : AFRIQUE
AIDANT
AUTONOMIE
BURKINA FASO
COMMUNICATION
COMPORTEMENT
DEFICIENCE MENTALE
DOMICILE
FAMILLE
HANDICAP
OUBLI
PERSONNE AGEE
PROGRAMME DE SANTE
PSYCHOLOGIE
SANTE MENTALE
SENS
SOCIETE
SOUTIEN A DOMICILERésumé : En Afrique subsaharienne, très peu d’études ont été réalisées sur les incapacités modérées à graves dans les domaines de la mobilité, de la communication et de la fonction mentale chez les personnes âgées vivant à domicile. Les études réalisées n’ont pas toujours décrit le contexte social qui permet de comprendre leurs résultats. Cette étude est réalisée au Burkina Faso pour combler les déficits d’informations scientifiques sur les incapacités dans ces domaines. Nous avons conduit une étude descriptive transversale qui s’est déroulée à Bobo-Dioulasso auprès de la population des personnes de plus de 60 ans. Leur statut fonctionnel a été évalué avec le Système de Mesure de l’Autonomie Fonctionnelle (SMAF). L’analyse des données a été réalisée à l’aide de Stata. Un échantillon de 351 personnes âgées a été interviewé. Les incapacités fonctionnelles modérées à graves ou les besoins de surveillance ou d’aide étaient de 10 % dans la mobilité, 28 % dans la fonction mentale et 37 % dans la communication. À l’intérieur de chaque domaine, ces proportions variaient selon les activités/items. Toutes les personnes en incapacités affirmaient disposer de ressources humaines quasi-stables pour les aider à gérer leurs incapacités. La famille constituait la principale ressource. La prise en compte du contexte social permet de mieux comprendre ces résultats. Les proportions d’incapacités trouvées dans cette étude sont supérieures à celles des études précédentes qui ont souvent mesuré les incapacités graves. Une bonne visibilité des incapacités modérées à graves devrait permettre la conception de bonnes politiques de soins et de supports aux personnes âgées. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Quel est le coût réel de la couverture universelle en santé en Haïti ? / Jean-Patrick Alfred in Santé publique, n° 5 ([01/10/2012])
[article]
Titre : Quel est le coût réel de la couverture universelle en santé en Haïti ? Type de document : Article Auteurs : Jean-Patrick Alfred, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 453-458 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCES AUX SOINS
AMERIQUE
CATASTROPHE
COUT
COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE
FINANCEMENT
HAITI
INEGALITE DE SANTE
INEGALITE SOCIALE
OFFRE DE SOINS
ORGANISATION SANITAIRE
PAUVRETE
POLITIQUE DE SANTE
SANTE
SYSTEME DE SANTERésumé : Haïti est le pays le plus pauvre des Amériques avec une inégalité criante entre les citoyens. 75 % de la population haïtienne vit avec moins de 2,5 USD par jour [1]. La moitié de la population n’a pas accès au système de soin formel à cause de la barrière financière créée par le paiement direct des soins au point de service [2]. Le tremblement de terre du 12 janvier 2010 est venu aggraver la situation avec la destruction de 60 % des structures hospitalières des trois départements touchés. Le Ministère de la santé Publique et de la Population (MSPP) fonde sa politique sur les valeurs d’équité, de solidarité et de justice sociale [3]. Le respect de ces engagements signifie la mise en place progressive de la couverture universelle qui, aujourd’hui, encore reste un idéal. En effet, on ne pourra l’atteindre que lorsque tous les Haïtiens auront accès à un panier complet de services de santé de bonne qualité sans que leur capacité à payer soit un obstacle à leur accès. Le coût réel des diverses options politiques de mise en place d’une couverture universelle n’est pas connu, c’est pourquoi il est urgent d’attirer l’attention de la communauté scientifique pour qu’elle se saisisse de cette question dans le but de mieux orienter les décideurs politiques. L’étude des coûts est l’une des étapes importantes dans la mise en œuvre de la couverture universelle. Il est important de calculer ce coût, surtout en Haïti où les ressources sont limitées. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 5 [01/10/2012] . - p. 453-458[article] Quel est le coût réel de la couverture universelle en santé en Haïti ? [Article] / Jean-Patrick Alfred, Auteur . - 2012 . - p. 453-458.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 5 [01/10/2012] . - p. 453-458
Mots-clés : ACCES AUX SOINS
AMERIQUE
CATASTROPHE
COUT
COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE
FINANCEMENT
HAITI
INEGALITE DE SANTE
INEGALITE SOCIALE
OFFRE DE SOINS
ORGANISATION SANITAIRE
PAUVRETE
POLITIQUE DE SANTE
SANTE
SYSTEME DE SANTERésumé : Haïti est le pays le plus pauvre des Amériques avec une inégalité criante entre les citoyens. 75 % de la population haïtienne vit avec moins de 2,5 USD par jour [1]. La moitié de la population n’a pas accès au système de soin formel à cause de la barrière financière créée par le paiement direct des soins au point de service [2]. Le tremblement de terre du 12 janvier 2010 est venu aggraver la situation avec la destruction de 60 % des structures hospitalières des trois départements touchés. Le Ministère de la santé Publique et de la Population (MSPP) fonde sa politique sur les valeurs d’équité, de solidarité et de justice sociale [3]. Le respect de ces engagements signifie la mise en place progressive de la couverture universelle qui, aujourd’hui, encore reste un idéal. En effet, on ne pourra l’atteindre que lorsque tous les Haïtiens auront accès à un panier complet de services de santé de bonne qualité sans que leur capacité à payer soit un obstacle à leur accès. Le coût réel des diverses options politiques de mise en place d’une couverture universelle n’est pas connu, c’est pourquoi il est urgent d’attirer l’attention de la communauté scientifique pour qu’elle se saisisse de cette question dans le but de mieux orienter les décideurs politiques. L’étude des coûts est l’une des étapes importantes dans la mise en œuvre de la couverture universelle. Il est important de calculer ce coût, surtout en Haïti où les ressources sont limitées. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Gestion axée sur les résultats et stratégies de développement sanitaire en Afrique / Issa Wone in Santé publique, n° 5 ([01/10/2012])
[article]
Titre : Gestion axée sur les résultats et stratégies de développement sanitaire en Afrique Type de document : Article Auteurs : Issa Wone, Auteur ; Mohamed Nedhirou hamed, Auteur ; Anta Tal dia, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 459-464 Langues : Français (fre) Mots-clés : AFRIQUE
BUDGET
FINANCEMENT
GESTION
GOUVERNANCE
ORGANISATION SANITAIRE
PLANIFICATION
POLITIQUE DE SANTE
SENEGAL
SERVICE PUBLIC
SYSTEME DE SANTERésumé : La gestion axée sur les résultats (GAR) est une réforme prônée pour améliorer la gestion des services publics, à travers notamment la déclaration de Paris (DP) sur l’efficacité de l’aide lancée en 2005, et le Partenariat International pour la Santé (IHP+). Elle repose sur six principes : simplicité, apprentissage par l’action, responsabilité, adaptabilité, partenariat, transparence. Ces principes sont mis en œuvre dans les politiques de santé, en particulier pour l’élaboration et la mise en œuvre des Plans Nationaux de Développement Sanitaire (PNDS). L’expérience dans plusieurs pays d’Afrique permet d’observer les insuffisances et succès dans l’application de la GAR.
Au Sénégal, la formation insuffisante des acteurs a abouti à un manque d’appropriation du processus de planification, en particulier dans le volet d’élaboration des Cadres de Dépenses à Moyen Terme (CDMT).
Le Burundi, contre toute logique de résultat, a alloué dans son dernier PNDS 93 % de son budget de santé au niveau central, contre 1 % au niveau intermédiaire et 6 % au niveau périphérique. En Mauritanie, l’État n’a pas respecté les orientations du CDMT, après l’espoir suscité par un accroissement significatif des ressources allouées au secteur de la santé.
Au Rwanda par contre, l’élaboration harmonisée du PNDS et du CDMT qui l’accompagne, ainsi que le strict respect par le gouvernement des allocations budgétaires ont permis d’observer un progrès significatif des indicateurs de santé.
L’application étendue de la GAR à travers une meilleure gouvernance du secteur de la santé, le renforcement des capacités des acteurs sont les principales solutions aux défis.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 5 [01/10/2012] . - p. 459-464[article] Gestion axée sur les résultats et stratégies de développement sanitaire en Afrique [Article] / Issa Wone, Auteur ; Mohamed Nedhirou hamed, Auteur ; Anta Tal dia, Auteur . - 2012 . - p. 459-464.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 5 [01/10/2012] . - p. 459-464
Mots-clés : AFRIQUE
BUDGET
FINANCEMENT
GESTION
GOUVERNANCE
ORGANISATION SANITAIRE
PLANIFICATION
POLITIQUE DE SANTE
SENEGAL
SERVICE PUBLIC
SYSTEME DE SANTERésumé : La gestion axée sur les résultats (GAR) est une réforme prônée pour améliorer la gestion des services publics, à travers notamment la déclaration de Paris (DP) sur l’efficacité de l’aide lancée en 2005, et le Partenariat International pour la Santé (IHP+). Elle repose sur six principes : simplicité, apprentissage par l’action, responsabilité, adaptabilité, partenariat, transparence. Ces principes sont mis en œuvre dans les politiques de santé, en particulier pour l’élaboration et la mise en œuvre des Plans Nationaux de Développement Sanitaire (PNDS). L’expérience dans plusieurs pays d’Afrique permet d’observer les insuffisances et succès dans l’application de la GAR.
Au Sénégal, la formation insuffisante des acteurs a abouti à un manque d’appropriation du processus de planification, en particulier dans le volet d’élaboration des Cadres de Dépenses à Moyen Terme (CDMT).
Le Burundi, contre toute logique de résultat, a alloué dans son dernier PNDS 93 % de son budget de santé au niveau central, contre 1 % au niveau intermédiaire et 6 % au niveau périphérique. En Mauritanie, l’État n’a pas respecté les orientations du CDMT, après l’espoir suscité par un accroissement significatif des ressources allouées au secteur de la santé.
Au Rwanda par contre, l’élaboration harmonisée du PNDS et du CDMT qui l’accompagne, ainsi que le strict respect par le gouvernement des allocations budgétaires ont permis d’observer un progrès significatif des indicateurs de santé.
L’application étendue de la GAR à travers une meilleure gouvernance du secteur de la santé, le renforcement des capacités des acteurs sont les principales solutions aux défis.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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