Titre : |
La place du dégoût dans la relation de soin |
Type de document : |
Mémoire |
Auteurs : |
Louise Meynet, Auteur |
Editeur : |
Rennes : Pôle de Formation des Professionnels de Santé du CHU de Rennes |
Année de publication : |
2020 |
Importance : |
29 p. |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
CORPS DEGOUT EMOTION-SENTIMENT FIN DE VIE INFIRMIER RELATION SOIGNANT SOIGNE SOINS PALLIATIFS
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Résumé : |
Lors de la fin de vie, le corps peut être amené à s'abîmer. Le métier d’infirmier au coeur de cette prise en soin est confronté à la dégradation physique du soigné et à son intimité. Cette rencontre entre le corps du patient en fin de vie et le soignant est responsable de la naissance de multiples expériences sensorielles. Pourtant, cette sollicitation des sens n’est pas seulement agréable, elle est parfois génératrice de dégoût. En effet, l’odeur d’une escarre, la vue d’une plaie ou le toucher d’un corps amaigri par la maladie peut être saisissant. Par conséquent, l’infirmier est amené à utiliser des stratégies pour y faire face : utiliser un masque, recourir à l’aromathérapie ou solliciter l’aide de son collègue. Ainsi, ce travail de recherches en soins infirmiers a pour question de départ : en quoi le dégoût du soignant éveillé par le corps dégradé du patient en fin de vie interfère sur la relation de soins ? Pour cela, après avoir élaboré le cadre théorique, j’ai réalisé un entretien auprès de deux infirmières travaillant en soins palliatifs. L’intérêt est de confronter les pensées des professionnels du soin à celles des auteurs en y ajoutant mon point de vue. |
Cote : |
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Permalink : |
https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id |
La place du dégoût dans la relation de soin [Mémoire] / Louise Meynet, Auteur . - Rennes : Pôle de Formation des Professionnels de Santé du CHU de Rennes, 2020 . - 29 p. Langues : Français ( fre) Mots-clés : |
CORPS DEGOUT EMOTION-SENTIMENT FIN DE VIE INFIRMIER RELATION SOIGNANT SOIGNE SOINS PALLIATIFS
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Résumé : |
Lors de la fin de vie, le corps peut être amené à s'abîmer. Le métier d’infirmier au coeur de cette prise en soin est confronté à la dégradation physique du soigné et à son intimité. Cette rencontre entre le corps du patient en fin de vie et le soignant est responsable de la naissance de multiples expériences sensorielles. Pourtant, cette sollicitation des sens n’est pas seulement agréable, elle est parfois génératrice de dégoût. En effet, l’odeur d’une escarre, la vue d’une plaie ou le toucher d’un corps amaigri par la maladie peut être saisissant. Par conséquent, l’infirmier est amené à utiliser des stratégies pour y faire face : utiliser un masque, recourir à l’aromathérapie ou solliciter l’aide de son collègue. Ainsi, ce travail de recherches en soins infirmiers a pour question de départ : en quoi le dégoût du soignant éveillé par le corps dégradé du patient en fin de vie interfère sur la relation de soins ? Pour cela, après avoir élaboré le cadre théorique, j’ai réalisé un entretien auprès de deux infirmières travaillant en soins palliatifs. L’intérêt est de confronter les pensées des professionnels du soin à celles des auteurs en y ajoutant mon point de vue. |
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Permalink : |
https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id |
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