[article] 
inEnfances & Psy > n° 86 [01/09/2020]

Titre :	La longue histoire des « enfants Dépakine »
Type de document :	Article
Auteurs :	Antoine Leblanc, Auteur
Année de publication :	2020
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	ANTIEPILEPTIQUE AUTISME EMBRYON ENFANT FOETUS GROSSESSE MALFORMATION CONGENITALE MEDICAMENT TOXICITE
Résumé :	La Dépakine est un antiépileptique largement utilisé depuis sa commercialisation en 1967. Les premiers cas de malformations liées à la prise de ce médicament pendant la grossesse datent des années 1980, mais de nombreuses années se sont écoulées avant que l’on connaisse les différentes atteintes possibles et leurs conséquences chez l’enfant à naître. De plus, les mesures nécessaires, afin de limiter puis de contre-indiquer l’utilisation de la Dépakine et de ses dérivés chez les femmes en âge de procréer, ont tardé à se mettre en place en France. De nombreux enfants ont ainsi été exposés in utero à ce médicament avec un risque de malformations estimé actuellement autour de 10 % et de troubles du développement neurologique de 30 à 40 %. Cet article retrace l’histoire de la prise en compte de cette toxicité et celle de la responsabilité des différents acteurs concernés dans notre pays.
Cote :
Permalink :	https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

[article] La longue histoire des « enfants Dépakine » [Article] / Antoine Leblanc, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
in Enfances & Psy > n° 86 [01/09/2020]

Mots-clés :	ANTIEPILEPTIQUE AUTISME EMBRYON ENFANT FOETUS GROSSESSE MALFORMATION CONGENITALE MEDICAMENT TOXICITE
Résumé :	La Dépakine est un antiépileptique largement utilisé depuis sa commercialisation en 1967. Les premiers cas de malformations liées à la prise de ce médicament pendant la grossesse datent des années 1980, mais de nombreuses années se sont écoulées avant que l’on connaisse les différentes atteintes possibles et leurs conséquences chez l’enfant à naître. De plus, les mesures nécessaires, afin de limiter puis de contre-indiquer l’utilisation de la Dépakine et de ses dérivés chez les femmes en âge de procréer, ont tardé à se mettre en place en France. De nombreux enfants ont ainsi été exposés in utero à ce médicament avec un risque de malformations estimé actuellement autour de 10 % et de troubles du développement neurologique de 30 à 40 %. Cet article retrace l’histoire de la prise en compte de cette toxicité et celle de la responsabilité des différents acteurs concernés dans notre pays.
Cote :
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