[article] 
inDroit Déontologie & Soin > n° 3 [01/09/2020] . - p. 341-343

Titre :	Naissance d’un enfant en état de mort apparente : les fautes de surveillance commises sont-elles la cause des déficits ?
Type de document :	Article
Auteurs :	Camila Haboubi, Camilla, Auteur
Année de publication :	2020
Article en page(s) :	p. 341-343
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	ACCOUCHEMENT ENFANT HANDICAPE FOETUS MERE NOUVEAU-NE REANIMATION RYTHME CARDIAQUE SUIVI
Résumé :	Une femme, admise pour accouchement, est placée sous surveillance. Compte tenu d’anomalies du rythme cardiaque fœtal, le gynécologue obstétricien procède à une extraction instrumentale par ventouse. L’enfant naît en état de mort apparente, et après une réanimation, il reste très handicapé. La mère fait reconnaître que le dossier médical a été mal tenu, et que le rythme cardiaque fœtal n’ait pas été enregistré en continu du début à la fin du travail. Ces fautes sont établies mais, selon les experts, une souffrance per-partum passée inaperçue ne peut expliquer l’ensemble le lourd bilan séquellaire. Pour la Cour administrative d’appel de Lyon (2 avril 2020, no 18LY01911), le lien de causalité n’est pas établi, et les fautes commises ne peuvent engager la responsabilité.
Cote :
Permalink :	https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

[article] Naissance d’un enfant en état de mort apparente : les fautes de surveillance commises sont-elles la cause des déficits ? [Article] / Camila Haboubi, Camilla, Auteur . - 2020 . - p. 341-343.
Langues : Français (fre)
in Droit Déontologie & Soin > n° 3 [01/09/2020] . - p. 341-343

Mots-clés :	ACCOUCHEMENT ENFANT HANDICAPE FOETUS MERE NOUVEAU-NE REANIMATION RYTHME CARDIAQUE SUIVI
Résumé :	Une femme, admise pour accouchement, est placée sous surveillance. Compte tenu d’anomalies du rythme cardiaque fœtal, le gynécologue obstétricien procède à une extraction instrumentale par ventouse. L’enfant naît en état de mort apparente, et après une réanimation, il reste très handicapé. La mère fait reconnaître que le dossier médical a été mal tenu, et que le rythme cardiaque fœtal n’ait pas été enregistré en continu du début à la fin du travail. Ces fautes sont établies mais, selon les experts, une souffrance per-partum passée inaperçue ne peut expliquer l’ensemble le lourd bilan séquellaire. Pour la Cour administrative d’appel de Lyon (2 avril 2020, no 18LY01911), le lien de causalité n’est pas établi, et les fautes commises ne peuvent engager la responsabilité.
Cote :
Permalink :	https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id